Sirène

Partie 9 / Coercition

Après être partit j'étais un peu perdu au milieu de tous ces bâtiment. Je marcher sur un chantier d'autoroute en cherchant à penser à rien. Je ne voulais plus me torturer d'avantages mais tout cela me dépasser. Un homme accompagner d'une femme venait me barrer la route. Leur veste appartenait à l'armée, alors sur mes gardes j'écoute ce qu'il avait à dire.

Dialogue

- Tiens, tiens ne serais ce pas notre délinquante de l'accident.

- Tss

- Patroka ?

La jeune femme ne parler pas et laissa l'autre homme m'attaquer. Il était vif mais j'eus la chance d'esquiver en laissant une égratigner sur ma joue. Sans arme j'espère de faire appel à Sirène mais ce Mickaël m'en empêcha. Pas le choix, je me servis donc uniquement de mes mains. Sont défaut c'est qu'il était trop ambitieux et laisser paraître ces mouvement trop facilement. A son prochain coup j'attrape sa main qui tenait son couteau pour le plonger par terre. Neutraliser je regardée Patroka. Elle ne semblait pas vouloir sauver sont amis, en le regardant un large sourire était apparue sur son visage.

De la même manière que moi des particules vinrent à se coller à lui pour le revêtir d'une armure noire. Persuader sa puissance il sortit deux sabre puis s'élance. De même, sachant que je ne faisais pas le poids je revêtir l'armure de Sirène. Un premier choc provoqua un tremblement faisant s'effondrer le sol sous nos pieds. Je sentais alors le sol s'effondrer sous mes pieds. Mon mécha Sirène arrive à temps pour me sauver. Des hauteurs je regardais dans un nuage de poussière une forme noire ne ressemblant pas à un homme mais bien plus gros un autre mécha. Le sol c'était changer en lave, je le sentais s'enflammer à l'idée de me combattre. Sa puissance de feu était bien plus destructrice. En me visant avec ces missiles il détruisit avec cette attaque l'un des gratte-ciel. Était-il conscient de ce qu'il faisait? J'esquivais avec grand mal ces attaque dévastatrice et dès que l'occasion se présenter je riposter avec quelque balle. Les bâtiments frissonnèrent à notre passage cet homme, Michael c'était mis en tête de me chasser jusqu'à la mort. Une des balles avait atteint son bras. Démembrer il se l'arracha lui-même pour le lancer dans un immeuble. Il s'avance vers moi puis disparue, en réalité dans mon dos il même poussa sur le gratte-ciel d'en face. En mauvaise posture je descendis de Sirène traversa l'immeuble puis sauta su haut de celui-ci. M'accrochant en enfonçant mon épée dans le béton j'espère que mes pouvoir revienne. Je le restai sur des écrans d'ordinateur mais tout était briser. Tanpis il fallait le tenter. Michael m'appeler cherchant à tous les étages. Cacher derrière un bureau je me lançai. Couru puis je sautai sur Pygmalion. Il commença d'abords à se remuer mais après étrangement il c'était arrêter. C'était le bon moment j'usai de mes pouvoir pour contrôler cette choses. Michael était sorti de son poste pour m'attaquer par derrière mais avant qu'il ne puisse m'atteindre l'appareil se mit à tomber. Pour sauver ma peau je pris le contrôle de Sirène qui me rattrape en plein vol. Je laissai Michael tomber dans sa folie avec le mécha. Je commencer à croire que toute cette histoire avec ces mécha rende les gens fous. Pieds à terre Patroka constata les dégâts. Sur mes garde je garder toujours ma forme en armure mais celle-ci ne fit rien.

Dialogue

- Il est bien mort

- Hein

- Tu n'as rien à craindre c'était une sorte d'expérience

- Comment ?!

- Mickaël n'était sûrement pas à la hauteur

-Elle était partit comme si de rien n'était. Épuiser je tombais au sol et m'assoupit un moment.

A mon réveil j'étais dans un autre monde. Un lit des plus luxueux et une chambre mondaine. Que m'était-il arrivé ? Un homme entra sans prévenir et y déposa des vêtements sur un bureau. C'était ainsi que je remarquai que j'étais complètement dénuder. Rouge de honte je regardai avec insistance le majordome.

-Si vous me le permettre voici vos vêtement pour la suite je vous attendrez dehors.

Il sortit après avoir fini sa phrase. Très vite j'enfilai mes affaires puis suivi cet homme. Il disait s'appeler Alfred et personne ne l'appeler autrement.

Dialogue

- Où sommes-nous ?

-Madame le sera bien assez tôt

Cette réponse insatisfaisante, nous atteignons un balcon. Curieuse de connaitre ce lieu je regardai à travers la fenêtre. J'y vis une vaste étendu d'eau avec à l'horizon le ciel de couleur bleu et les nuages si haut teinté de rose.

Dialogue

-Eh bien êtes-vous si surprise de voir la mer ?

-Dans mes souvenirs je ne l'avais jamais vu aussi bleu.

Ce n'était plus le majordome qui me parler mais ce Sieg. En voyant son visage j'eus un sursaut de peur et recula de quelque pas.

Dialogue

- Toi !

- Ne t'en fait pas je ne suis pas là pour me battre, Reyes

J'imagine à ce moment à quel point mon nom pouvait être célèbre.

Dialogue

- Où sommes-nous

- A l'une des base de l'armer

- L'armer hein pourquoi je n'y suis pas penser plus tôt, alors tu travailles encore pour eux j'imagine que la destruction du labo était aussi de votre ressort

- Hélas oui, je travaille en tant qu'observateur mais tu devrais te reposer après ton combat contre Mikaël

- Pourquoi m'va-t-il attaquer et cette autre femme ...

- Michael devait être testé et Patroka le surveiller, je m'excuse j'ai du travail.

- oui

Etre passé dans le camp ennemis hein c'était quelque choses quand j'imagine Simon ça me rend triste. Sans lien je pouvais facilement m'enfuir mais je décider de rester voir si je pouvais récolter d'autre information à propos d'Oblivion et d'Ophion.

Je passai la nuit à ruminer sous ma couverture pensant à ce que pouvait bien faire mes amis à cette heure-ci. Enfin il ne fallait pas trop m'inquiéter pour eux j'ai fait un choix et je dois mis tenir. Malgré tout défiant tout logique je n'arriver pas à dormir alors je me levai pour respirer un peu. Que se fut ma surprise qu'en ouvrant la porte je découvris Sieg agir de façon étrange. Il me paraissait bien peut sûr de lui a traînait dans les couloirs de nuit alors je me mis à le suivre. Il s'infiltra dans un bureau qui m'était inconnue et emprunta un livre. En l'enlevant de son étagère un passage secret c'était alors ouvert. Je fis la même chose en prenant soin de regarder derrière moi. Intriguer par cette histoire je parcouru de long couloir fait de pierre et de boue jusqu'à atteindre une étrange porte que Sieg passa sans problème. Je me mis à réfléchir sur la façon dont je pouvais passer mais rien ne me vint en tête jusqu'à qu'une main se posa sur mon épaule pour me ligoter par la suite. Emmener de force je découvrit alors tout un autre monde.