[ Chapitre 16 ] Calme...

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Tout était calme,  un petit vent caresser votre visage,  le chant des arbres vous bercer doucement et l'herbe vous chatouiller.  Vous étiez bien, allongé dans l'herbe,  porfitant de ce moment de calme. 

Vous ne pensiez plus à rien,  plus à vos soucie.  Vous étiez en paix.  Vous saviez aussi,  que ce n'etait pas éternel et que le retour à la réalité aller être brutal et blessant.  Mais juste pour un petit instant,  juste un minute,  vous vouliez la paix.

Malgré cet paix apparente,  vous souffriez énormément.  Votre coeur était gros et les larmes menacés de couler.

Deux mois....  Deux long mois, sans une seule nouvelles d'eux.  Ils vous manquaient horriblement.  C'etait comme un vide dans votre poitrine.  C'etait un vide énorme que même un moment calme comme celui-ci ne pouvait apaisé.  Mais vous saviez que c'etait pour le mieux.  Vous les auriez fait souffrir...  Vous l'aviez déjà assez fait comme ça. 

Les événements de ce jour maudit vous reviennent en mémoire.  Vous souvenez de la peur et de l'horreur que vous avez ressenti. Vous vous souvenez du cri de douleur de Ink,  il venait vous hanter tout les soirs comme pour vous rappelez votre pêcher. 

Votre pêcher?  Selon vous,  votre propre existence.  C'est pour cela que vous êtes parti dans cette campagne paumé au beau milieu de nulle part.  Vous êtes parti pour évitez qu'ils souffrent et qu'ils vous oublient.  C'est mieux pour eux.  C'est ce que vous vous disiez mais le vide était de plus en plus gros chaque jour qui passe. 

Vous étiez parti en cachette tandis que Blue et Papyrus étaient allé rendre visite à Ink.  Vous vous n'osiez plus lui faire face depuis ce fameux jour.  Une fois les frères partis,  vous avez vite préparer quelques affaires avant d'ecrire un petit mot à l'intention de tout le monde avant de partir à votre tour les larmes aux yeux.

Finalement vous êtes arrivés ici et vous ne regrettez pas.  Cet endroit est coupé du monde. C'est tranquille et l'air qu'on y respire est pur.  Malgré la pureté de l'endroit, vous n'êtes pas au mieux de votre forme.  Les cernes sous vos yeux peuvent témoigner de vos longues nuit d'insomnie.  Impossible de fermer l'oeil,  les événements revenaient vous hanter,  encore et encore. 

Malgré le faite que vous appréciez la tranquillité de l'endroit, il manque quelque chose.  Il manque une petite touche de follie made un Blue.  Et voilà,  vous pensez encore à eux mais c'est plus fort que vous.  Et les larmes coulent de nouveau en abondance. 

L'excitation et la joie de vivre de Blue vous manquez.  Les blagues de Papyrus aussi.  Vous auriez aimé vous excusez auprès d'Ink.  Et puis il y avait Nightmare.  Comme vous regrettez votre discussion,  vous vous étiez énervé contre lui alors que celui-ci avait tentez de vous aider.  Il vous avait même pris dans ses bras.

Cette accolade,  vous n'etiez pas prêt(e)  de l'oublier.  Vous vous étiez jeter dans ses bras par réflexe,  parce que vous en aviez besoin.  Lorsqu'il avait répondu à votre étreinte cela vous aviez rendu un peu mieux.  Vous vous étiez senti(e)  si bien dans ses bras.  Vous auriez pu rester la pour l'éternité et c'est ce que vous auriez voulu.  Mais vous aviez tout foirer.  Alors vous déclarer tout haut ce que votre coeur hurle.

(t/p) :  Je suis desolé Nightmare....

??? :  Vraiment?

Vous ouvrez les yeux de surprise en sursautant.  Nightmare se tenait au dessus de vous,  vous cachant le soleil.  Vous n'aviez même pas senti sa présence.  Vous étiez sûrement trop perdue dans vos pensées. 

Le voir ici vous rends vraiment heureux(se),  votre coeur bat la chamade. Vous vous relevez brusquement et le regarder surprise.  Celui-ci ricana de votre réaction. 

Nightmare:  Tu ne m'avais pas senti?

(t/p): ..... Non.....  Qu'est que tu fais ici?

Nightmare:  Je suis venu te voir.

(t/p):  Comment tu m'as retrouvé?

Nightmare:  Tu broie tellement du noir que c'est comme se diriger vers un objet qu'on a sous les yeux. Si tu veux vraiment m'echapper,  il va falloir faire un peu mieux que ça.

Dit il un sourire moqueur.  Vous auriez bien envie de faire semblant de bouder mais vous étiez trop heureux(se)  et à la fois honteux(se).  Vous baissez alors la tête,  ne souhaitant pas voir son regard. 

Vous voyant faire,  vous pouvez deviner que Nightmare a perdu son sourire et avait retrouver sa tête sérieuse.  Vous vous mordez la lèvre sentant déjà les larmes revenir.  Mais apparemment Nightmare n'est pas de cet avis, car il utilisa une de ses tentacules pour que vous le regardez.

Bizarrement,  son regard ne reflète aucune colère,  aucune déception.  Son regard est neutre...  Enfin presque...  Vous percevez quelque chose au fond,  quelque chose que vous avez rarement vu chez lui....  De.... L'inquiétude?  Rien que le faite de penser que Nightmare puisse s'inquiéter pour vous, vous fait rougir.  Puis il prends la parole,  sa voix est plus douce que d'habitude,  plus incertaine?

Nightmare:  Retourne la bas...

(t/p) :  Je ne peux pas.... Tu le sais.... 

Nightmare:  Tu n'es pas le(la) seul(e)  à broyer du noir.

(t/p) :  Comment ça?!

Nightmare:  Le petit bleu tout excité ne l'est plus du tout et le papyrus fume plus encore.  Ils s'en veulent et pensent que c'est de leur faute si tu es parti. 

Les larmes coulent encore et vous cachez votre bouche pour éviter de sangloter.  Vous vous imaginez un Blue tout calme et triste,  un Papyrus qui fume plus et qui va encore plus chez Muffet,  tout cela vous brise le coeur.  Et Nightmare a du le remarquer puisqu'il continue. 

Nightmare:  Tu m'as donner un Conseil avant de partir?  Et bien applique le. 

Vous le regardez quelques instant avant de vous lever et d'hocher vigoureusement la tête.  Et puis vous vous souvenez que vous étiez dans un trou paumé.  Votre détermination s'est un peu envolé. 

Face à votre changement de comportement si soudain,  Nightmare ne peut s'empêcher de ricaner.  Vous levez les yeux au ciel avant de soupirer.  Nightmare semble comprendre votre désarroi,  soupire et vous tends la main.

Nightmare:  Allez viens je t'emmene.

Vous lui faite un grand sourire, qui avait disparu depuis presque 4 mois.  Cela semble surprendre Nightmare qui détourne le regard.  Vous vous demandez pourquoi mais abandonner.  Vous attrapez sa main et fermez les yeux.  Puis cette sensation désagréable revient et pendant une minute vous ne sentez que ça. 

Finalement la sensation s'est arrêtée et vous avez ouvert les yeux.  Vous étiez dans une petite ruelle sombre, cela vous rappeler des souvenir.

Nightmare:  On est juste à côté file maintenant. 

(t/p) :  Merci!!

Vous lui faites un autre sourire avant de partir en courant.  Vous cherchez la maison des frères squelette et foncez devant.  Vous soupirez et entrer dans la maison,  la tête pleine d'excuses. 

Ce n'est qu'un cauchemar [Nightmare x Reader ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant