IV. Le soleil

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« -C’est bien la première fois qu’un personne arrive à trouver les deux pierres ! Je te félicite. Lui dit la chauve souris.
-Enfin un compliment.
-Aller il ne te reste plus que l’émeraude. »

Layla pris le saphir le remis à sa place la même lumière surgit mais cette fois de lueur bleue, elle prit son courage à deux mains et toucha pour la dernière fois le cristal du milieu.

Après avoir oublié la nausée, elle observa la forêt autour d’elle, plusieurs rayons de soleil traversèrent cette dernière, elle avança en cherchant un animal. Sur son chemin un oiseau linotte l’interpella :

« - Bonsoir jeune fille, tu es en Amérique du nord dans la forêt de Lenapes.
-C’est pas une forêt appartenant au amérindiens?
- En effet, alors l’indice c’est : Le guerrier le plus courageux du ciel connait le lieu du soleil.
-Ca vient d’un conte amérindiens je suppose ?
-Oui, tu le connais ?
-Pas vraiment, tu peux me le raconter s’il te plait ?
-Je ne devrais pas faire un traitement de faveurs mais j’aime bien raconter ce conte, mon ancêtre en faisait même partie, alors :

Un jour, les oiseaux se réunirent afin de désigner celui d’entre eux qui volait le plus haut.
Le concours commença. Certains s’élevèrent très vite mais furent épuisés par leur effort et dépassés par d’autres plus puissants qu’eux. Puis vint l’aigle, et il les surpassa tous. Il allait fièrement proclamer partout sa victoire lorsque, un minuscule oiseau qui s’y était jusque-là caché, une linotte grise, parvint sans peine beaucoup plus haut!
Quand l’assemblée tint son conseil pour désigné le plus fort, elle attribuer la victoire à l’aigle. En effet, il était, d’entre tous, celui qui s’était le plus rapproché du soleil et le seul à avoir réussi cet exploit en portant sur son dos la linotte.

-Et depuis ce jour l’aigle était à la fois le plus courageux et le plus fort des guerriers, c’est pourquoi les amérindiens le porte en signe de respect.
-Donc, je dois chercher l’aigle qui connait le lieu du soleil, c'est-à-dire l’émeraude .
-Bonne chance, il est très fière, la meilleur façon de lui parler est de l’amadouer et pour négocier il faut raisonner. »

Layla continua son chemin dans la forêt après avoir remercié la linotte, la forêt était animée par le bruit des oiseaux et des rongeurs qui vivait ici.
Un arbre plus grand que les autres lui barra la route, une plume d’aigle se trouva sur une branche.

Layla Et Le CristalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant