J'ouvris les yeux difficilement ne sachant plus vraiment où j'étais puis soudain les souvenirs me revinrent en mémoire. Ma rencontre avec Shoto et son... son mec, puis mon installation et les gémissements du bicolore. Je pris mon téléphone, regarda l'heure et vit que j'avais un message. Je déverrouilla l'engin et cliqua sur l'icône des sms.
De : Bébé ❤️
A : moi
Hello ! Alors mon ptit cul te manque bébé ? C'est avec grand plaisir que je viens ! Je partirais de bonne heure.
Tu me manque.
EijiroJe souris et un frisson parcouru mon corps a l'énoncer du mot cul. - Oh que oui mon ptit Eijiro, pensais-je. Ton ptit cul va ramasser comme il ce doit !
Maintenant excités et mon sexe pulsant douloureusement dans mon caleçon, je pris la décision de me faire du bien rapidement. Aussi je glissa lentement ma main sur mon membre et enchaîna les va et viens, parfois lent, parfois rapide en imaginant le cul de mon ex petit ami sur ma bite. Mon imagination débridés fit le reste et c'est dans un puissant râle que je me vida dans ma main le corps convulser de plaisir.
Je passa mon autre main dans mes cheveux en soupirant.
- Putain faut vraiment qu'il arrive ! Et vite parce que une branlette c'est vraiment pas suffisant. Dis-je tout bas.
Je me décida à me lever pour me laver les mains et en profita pour faire chauffer l'eau chaude de la douche, une fois celle-ci a la bonne température je me glissa sous le jet puissant tout en lâchant un grognement de plaisir.
Quelques minutes plus tard je sortis et m'ayant sécher méticuleusement j'enfila un short noir et un débardeur de la même couleur puis pris la direction de la cuisine et surtout de la cafetière. Je me fit couler un café et m'installa sur la terrasse une clope au bec, je répondis machinalement au rouge tout en savourant le liquide noir.
La réponse du rouge ne se fit pas attendre et j'appris qu'il serais là dans quelques minutes, j'écrasa mon mégot dans le cendrier et but le reste de mon café rapidement puis me redressant j'alla déposer la tasse dans le lave vaisselle. Je repris la direction de ma chambre une main me grattant l'arrière de la tête et l'autre me grattant le bas de l'abdomen, plonger dans mes penser je percuta violemment un truc dur et manqua de peu de me casser la gueule. Une main puissante me retenais par les reins, je releva la tête et tomba sur deux prunelles émeraude me fixant intensément. Je déglutis avec peine et un frissons parcourus mon épine dorsale, j'eus un mouvement de recul mais la prise du vert s'intensifia au creux de mes reins. Une bouffée de colère me submergea alors que l'homme en face de moi souriais ironiquement.- Lâchez-moi ! Fis-Je une colère sourde grimpant en moi.
Il me relâcha un rire rauque sortant de ses lèvres légèrement pulpeuse et mon cœur s'emballa. Raaaah !! Ça m'énervais vraiment de frissonner au moindre de ces contacts que ce soit physique ou visuel.
- Donc tu es Katsuki Bakugou ? Me demande-t-il toujours un sourire en coin perché sur ses lèvres.
- Ouais c'est moi.
Au fond de moi une légère colère commença à poindre le bout de son nez. Il avais du culot de me demander ça alors que je l'avais dit hier. Son sourire s'agrandit tout en me détaillant de haut en bas s'arrêtant sur la légère bosse de mon short. Je rougis légèrement et le contourna pour rejoindre ma chambre, mais monsieur en avais décider autrement et je fini coincer dos au mur entre deux bras puissants.
- Moi c'est Izuku, dit-il d'une voix étrangement sensuelle son souffle caressant mon oreille me provoquant une fois de plus des frissons incontrôlables.
Puis aussi vite qu'il était arriver il me lâcha et disparu de ma vue me laissant seul dans le couloir le cœur tambourinant dans ma cage thoracique à un rythme irrégulier. Je lâcha un profond soupir de colère et entra dans ma chambre en fulminant, puis je me déshabilla rapidement et malgré ma légère érection je m'habilla tout aussi rapidement afin de descendre attendre Eijiro au bas de mon immeuble.
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Un démon au visage d'ange. { Boku no Hero} [univers alternatif] TERMINER
FanfictionUn visage si enfantin et pourtant... Katsu qui rêve de la grande ville va enfin déménager ! Nouveau boulot, nouvel appartement, de quoi bien commencer sa nouvelle vie. Mais alors pourquoi ce sentiment d'oppression au travail ? Pourquoi ressent-il...