Une absence douloureuse.

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Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas de nouvelle d'Izuku et à vrai dire je ne lui en avait pas donner non plus me plongeant dans mon travail restant jusque tard dans la nuit. Mon quotidien se résumais à métro, boulot, dodo. Une routine qui ne me plaisais guère. J'étais à fleur de peau et en manque de sexe. '' Putain y'a fallu que je devienne accro '' pensais-je en tapant un rapport sur mon pc.

Une fois mon travail fini je pris comme d'habitude la direction de mon appartement. Une chose positive c'est que Shôto avait été virer de l'appartement mais pas de la boîte. Malheureusement je le croisais toujours au détour d'un couloir ou à la cantine de l'entreprise. D'après ce qu'Uraraka m'avais dit, il coulais des jours heureux avec Eijiro. Aucune tromperie, aucun soucis. Dans un sens j'étais heureux pour eux mais j'espérais qu'il souffre comme moi j'avais souffert de la perte d'Izuku et malgré le fait que je ne l'admettrais jamais en public, cet abrutis de patron me manquais. '' Un homme à tout de même sa fierté '' me dis-je à moi-même espérant me convaincre. 

Son absence dans mon quotidien était devenue douloureuse et chaque soir je ne pouvais m'empêcher de me donner du plaisir tout en imaginant que c'était Izuku qui me prodiguais ce plaisir tant rechercher. Au début ma main était suffisante pour m'apporter l'orgasme tellement rechercher mais bien vite cela ne fut plus le cas et je dû allez dans un sex-shop acheter quelques accessoires.

D'abord des choses anodine, une paire de menottes, un vibro-masseur, du lubrifiant puis au fur et à mesure je commanda sur internet d'autre petites choses, différentes sortes de cravaches, d'autres vibro, une barre d'écartement. Ma chambre devint à la fois un lieu de torture et un lieu de plaisir mais la seule chose qui manquais c'était Izuku là pour mon propre plaisir et ma propre douleur.

Je m'étais quelque peu renseigner au sujets des rêves que je faisait et je découvris avec stupeur qu'Izuku était un dominant et qu'il avait fait de moi son soumis, soumis dans le sens BDSM. Même si il n'avais jusque là jamais montrer de signe distinctif mes rêves me ramenais à la réalité.

Après une énième nuit à rêver de mon bel étalon, j'étais à mon poste comme d'habitude, las de tout cela. Je pianotais mécaniquement sur mon pc quand le bip de mes mails retentis dans mon bureau. J'ouvris celui-ci sans faire attention au destinataire et un frisson parcourus mon échine alors que je lisais le mail d'Izuku.


Très cher Katsuki,

Navré que tu es dû apprendre ma vrai nature de la sorte, je tenais à m'excuser en face à face autour d'un repas mais je n'est pas pu. Je suis parti pour Paris il y a 3 jours, mais tu me manque. Ton cul me manque, ta bouche insolente aussi.

Je rêve de te faire des tonnes de choses et j'espère que je te manque suffisamment pour que tu accepte que je vienne chez toi ce soir afin que l'on discute de tout ça.

J'attends ta réponse avec impatiente. Je me languis de toi.

Ton patron et amant qui s'en veux énormément.

Midoriya Izuku.

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Je manqua m'étouffer en lisant son mail et me renversa dans ma chaise un léger rire me secouant. '' Mon cul ? Ma bouche insolente. Il ne perd vraiment pas le nord celui-là ''


- Alors comme ça je te manque stupide patron ? Murmurais-je un grand sourire aux lèvres.


Je lui répondis rapidement, choisissant mes mots avec soin et entrepris de me remettre au travail. Malgré le fait que ce soit mon patron je ne pouvais m'empêcher d'éprouver différent sentiments à son égard, d'abord un sentiment de colère, car il n'avais pas eu suffisamment confiance en moi pour m'avouer être mon boss, ensuite un sentiment de désir et celui là était permanent, il me suivais comme un chien suivrais son maître.

'' Raaaaah !! j'en peux plus ! Il est H24 dans ma tête ! '' Pensais-je en me tenant celle-ci une mine désespérer sur le visage.

Il me restais une heure avant de pouvoir quitter mon poste, malheureusement pour moi, j'avais déjà fini toutes les tâches que l'on m'avais confier, aussi décidais-je d'envoyer un mail à Iida Tenya lui demandant si je pouvais quitter mon poste plus tôt. Sa réponse ne ce fit pas attendre et c'est avec une joie non dissimulée que je sortis de l'immense immeuble.

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Une fois arriver chez moi je me dirigea directement vers ma chambre, transformer depuis peu en temple de la luxure. J'avais besoin de me faire du bien, surtout après le mail d'Izuku qui m'avais quelque peu échauffer. Vérifiant que ma porte était bien fermer à clé, je récupéra ma barre d'écartement tout juste reçue et la positionna sur mes jambes, une fois fait je récupéra quelques jouets et un gros tube de lubrifiant que je posa à côté de moi sur le lit. La télécommande de ma chaîne Hi-Fi en main je l'actionna et le son de Bishop Briggs : River résonna dans la pièce, je pris le tube de lubrifiant et après en avoir mis sur mes doigts commença à me titiller, jouant avec mon trou, l'écartant comme il le fallait. Une fois prêt j'enduisis mon jouet préféré du moment, un god me rappelant le pénis d'Izuku et après avoir vérifier qu'il était bien glissant commença à me le mettre. La sensation était différente de celle que j'avais éprouver dans les bras d'Izuku mais la taille était presque la même alors laissant le son me transporter ainsi que mon imagination, je me laissa allez contre le montant du lit.

Mes sensations augmentèrent d'un cran et j'étais sur le point de jouir quand une voix rauque retentit dans ma chambre.

- Quel merveilleux spectacle... Pourquoi ne pas m'avoir attendu ?












Et voilà pour ce chapitre ! J'espère que cela vous plaît toujours autant. 


Malheureusement il ne reste plus que 2 chapitres après celui-là :p 


Et oui toutes bonnes choses ont une fin ;) 


Mais ne vous inquiéter pas ! Je prépare déjà la sortie d'une nouvelle Fan-Fiction ;) 

Si vous aimez l'univers Haikyuu elle seras faite pour vous ! En revanche ce seras une Fiction hétéro avec un de mes OC :3 

Ne rater pas la sortie de : Reste avec moi. 


Sur ce bonne nuit mes poulpes. 

Bisouilles

SoniaCrz

Un démon au visage d'ange. { Boku no Hero} [univers alternatif] TERMINEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant