Et si ?

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La douleur qui étreignais mon cœur était intense, j'étouffais alors que les deux hommes ce rhabillais en hâte.

J'étais à l'ouest, mon esprit était embrumer et ma vue brouiller. Comment avait-il pu me faire ça à moi ? Est-ce qu'Izuku était au courant ? Serais-ce pour cela qu'il m'a conseiller de rentré au plus vite.

Une main se posa sur mon bras et je repris pied en regardant la personne. Eijiro essayais de me parler mais mon esprit était focaliser sur sa trahison.

Je dégagea mon bras de son étreinte et le gifla, tellement fort que sa tête bascula.

- Alors c'était pour ça que tu ne répondais plus à mes messages ?! Tu t'envoyais en l'air avec mon colocataire !

Ma voix était dure, froide, implacable.

- Je... Je peux t'expliquer... Katsu...

- J'ai compris Eijiro... J'ai tout compris... Fait ce que tu veux. Toi et moi c'est officiellement terminer.

Puis me tournant vers Shôto mon regard ce fit dur.

- Tu seras heureux avec lui. Du moment qu'il ne va pas forniquer ailleurs.

Me détournant des deux hommes je ressortis de l'appartement, j'avais besoin de partir, l'envie de m'échapper de cette endroit.

Je me mis à déambuler dans les rues et pour finir échoua dans un bar. Je souhaitais me soûler afin d'oublier le temps d'un instant cet épisode sinistre. Les verres s'enchaînaient et mon esprit était partis loin, bizarrement loin de disparaître, l'épisode de la partie de jambes en l'air d'Eijiro et Shôto ne cessait de revenir en boucle comme un vieux film d'horreur. Un sanglot m'échappa et soudain une main se posa sur mon bras m'empêchant ainsi de porter le breuvage alcoolisé à mes lèvres.

- Tu ne devrais pas boire autant chaton, fit une voix sensuelle près de mon oreille.

Mon regard se porta sur l'homme qui m'empêchais de picoler comme je le souhaitais. Une touffe verte m'apparus ainsi que deux prunelles d'un verts profonds.

- Izuku...

Je m'accrocha à lui et mon regard se voila, les larmes coulèrent le long de mes joues, ses bras se resserrèrent autour de moi. J'avais envie de lui et maintenant qu'il était là pourquoi ne pas en profiter ? Mes lèvres se posèrent sur les siennes en un baiser d'abord timide. Je pensais qu'il allais me repousser mais au contraire il répondit à mon baiser de façon passionné.

Puissant. Chaud. Doux.

Il resserra son étreinte sur moi et sa langue pénétra ma bouche et emmena la mienne dans un ballet enflammé et endiablés. Mon jean se resserrais dangereusement. '' Ok, il va falloir qu'il me prenne vite sinon je risque de le sucer devant tout le monde '' pensais-je.

Il se stoppa d'un coup et essuya mes larmes d'un léger mouvement de la main. Puis après un chaste baiser sur mes lèvres il sortis le seul truc qu'il ne fallait pas me dire à cet instant précis.

- Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Tu es complètement bourré.

Je me colla à lui de façon lascive.

- Moi je pense au contraire que c'est une très bonne idée, répondis-je d'une voix sensuelle.

~

~

Un camion de chantier était en train de faire un chantier dans mon crâne quand j'ouvris les yeux. La cuite de la veille ne m'avais vraiment pas réussis et les images de la veille revinrent par brides dans mon esprit. Le souvenir du baiser échanger avec Izuku me revint en mémoire comme un gifle mais surtout l'épisode Shôto/ Eijira. Les larmes menacèrent de nouveau de couler quand le bruit d'une porte que l'on ouvre me fit lever la tête.

- Alors la belle à la cuite, bien dormi ?

- Izu... Izuku, fis-je complètement déboussolé maintenant, je ne reconnaissais pas les murs de la chambre dans laquelle je me trouvais.

- Oui, c'est bien moi, alors bien dormi ? Tu en tenais une bonne hier soir. Continua-t-il un léger sourire aux lèvres en déposant un plateau de victuailles à mes côtés.

Mon regard alterna entre le plateau et le visage de l'homme en face de moi. Une bouffée de chaleur s'engouffra dans mon bas-ventre. '' STOP ! '' pensais-je immédiatement.

- Oui, ça va ! En dehors du camion de chantier dans mon crâne, j'ai relativement bien dormi, répondis-je d'une toute petite voix. '' Mon Dieu ! J'ai la pâteuse ! ''

Son sourire grandis et il me tendis un croissant.

- Non merci ! Je n'est pas faim.

Ma phrase fut noyer par un énorme gargouillement en provenance direct de mon ventre. L'odeur était alléchante.

Un rire le secoua.

- Je crois que ton estomac n'est pas de cet avis.

Je le remercia d'un bref hochement de tête et pris la nourriture. Ce croissant était tout simplement exquis et l'odeur ce faufilais dans mes narines à mesure que je mangeais. Une fois rassasier sous l'œil bienveillant de mon sauveur il récupéra le plateau et le déposa sur la petite table basse. Je suivais le moindre de ses mouvements espérant secrètement qu'il ne me demande pas de le remercier avec mon corps. Quoique quelque peu horrifié à cette idée, mon corps lui était d'un tout autre avis, mon membre c'était durcis comme pour valider mes pensées libidineuse.

Soudain je sursauta. Izuku venais de se ré-installer à mes côtés et me fixais sans aucune gêne. Son visage s'approcha du mien et je recula instinctivement. Un sourire carnassier vint orné ses lèvres et je me surpris moi-même à les fixer. Il pris soudain la parole :

- Katsuki ? Et si.... ? 





























Et voilà la suite mes poulpes.

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SoniaCrz

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