Cela faisait déjà trois jours depuis l'incident dans l'ascenseur et je n'en pouvais plus. Mon désir était tellement intense que j'en rêvais la nuit, quand c'était comme ça je me réveillais en sueur et la bite tellement dur que ma main seule n'était plus suffisante. En plus je n'avais aucune nouvelle d'Eijiro ce qui me frustrais au plus au point et m'énervais car je ne pouvais assouvir ce besoin de plus en plus grandissant. Aujourd'hui nous étions jeudi et exceptionnellement je ne travaillais pas le lendemain. - Un week-end de trois jours ! Que demander de mieux. -
Je pianotais sur mon ordinateur, retranscrivant chaque détails de le réunion que j'avais eue avec Tenya. Une grosse réunion sur l'ouverture d'une succursale en France, effectivement les produits que vendaient l'entreprise Midoriya faisait fureur sur le marché et d'après mon boss, le grand patron aimais la France. Donc en toute logique ce serais le prochain à accueillir une succursale. Et moi en bon employé que je suis, je fait mon job. Pourtant malgré cela le visage d'Izuku ne quitte pas mon esprit. J'ai juste l'impression de vivre pour lui alors que je ne le connaît pas, ne l'est vue que rarement et que ce goujat c'est permis de pénétrer mon espace vitale Et loin de le repousser je l'avais attirer au plus près de moi ressentant un désir insoupçonnés pour cet homme.
Après un énième soupir et après avoir relu en détails les notes retranscrites sur mon ordinateur, je pu enfin savourer un moment de pause, je descendit prendre un café et me dirigea vers la sortie mon paquet de clopes dans une main et la boisson dans l'autre. Je m'installa à une table prévue pour les employés en pause et alluma une cigarette, tout en tirant une bouffée de cette drogue qu'est la nicotine je me perdis dans mes songes. Je devais envoyer un sms à Eijiro afin de lui proposer de venir passer ce week-end de trois jours avec moi, j'espérais qu'il pouvais car j'avais besoin de ressentir ma bite dans son cul et peut-être, oh oui peut-être que j'arriverais à me satisfaire. Je récupéra mon téléphone dans la poche de mon pantalon et pianota quelques mots à son attention, une fois fait je remis l'appareil dans ma poche et fini ma clope et mon café.
Une ombre ce dressa derrière moi et je me retourna afin de voir qui osais troublé ainsi mon moment de solitude au soleil. Quelle ne fut pas ma surprise en apercevant Izuku, un soupir m'échappa et je pu voir l'ombre d'un sourire se dessiner sur ses lèvres. '' Humm, ses lèvres... '' - Ta gueule me dis-je. -
- Que me vaux ce déplaisir ? Fis-je d'une voix que je voulais détacher, mais un léger tremblements l'animais.
- Voyons, rien de bien méchant je te rassure. Répondit-il d'une voix suave. Je me demandais quand est-ce que tu allais te laisser allez plutôt que renier ta nature profonde, continua-t-il tout aussi suave.
Je me surpris à hausser les épaules et à la regarder franchement.
- Je suppose qu'avec toi c'est impossible.
Clair. Net. Précis.
Un rire le secoua et une bouffée de chaleur ce propagea dans mes veines allumant un incendie sur son passage - Putain mais il va me rendre dingue -
Sa voix s'éleva rauque et chaude : - Je sais que tu en meurs d'envie et puis tu sais, j'ai rompu avec Shoto. Il ne m'apportais pas ce que je cherche. En revanche d'après ce que j'ai compris il a déjà trouver quelqu'un d'autre.
J'haussais les épaules signifiant que je m'en foutais royalement, quand son sourire ce fit plus dangereux encore et il repris :
- Tu serais surpris de la personne avec qui il sort, murmura-t-il d'un ton malsain.
De nouveau je le regarda une lueur interrogative dans mes yeux. Son ton malsain me faisais peur. Il ne voulais pas en dire plus, cela ce voyais, toutefois, avant de ce détourner et partir il lâcha une phrase, une seule.
- Tu ferais bien de te dépêcher et de rentré pour en avoir le cœur net chaton.
Le ton dans sa voix et le surnom me fit hésiter quelques secondes, puis une fois qu'il eue disparu, mon esprit se mis à tourner à plein régime apaisant quelques peu mon feu intérieur. Qu'avait-il voulu dire par : tu ferais bien de te dépêcher de rentré. Une question qui me trotta dans l'esprit alors que je reprenais la direction de mon bureau, où une note avait été déposer à mon attention.
- Tu peux rentré chez toi. Merci de ton travail à Lundi.
Le petit mot poser sur un post-it me fit sourire. Enfin je pouvais rentré chez moi et alors que je prenais la direction de ma voiture la phrase d'Izuku me revint une fois de plus en mémoire et je me pressa de rentré.
Une fois arriver je pris l'ascenseur le cœur tambourinant follement dans ma cage thoracique, une fois à mon étage je pris la direction de mon appartement, la respiration saccadées. J'ouvris la porte d'entrée en entendant du bruits à l'intérieur et ce que je vit me choqua et failli me faire vomir. Effectivement Shoto avait trouver un nouveau copain, mais pas n'importe qui... Une colère intense grimpais en moi rapidement et mes yeux ne pouvais se détacher du spectacle qui était offert à ma vue. Shoto et Eijiro, en train de baiser dans le canapé du salon, Eijiro martelais le cul de Shoto de façon saccadées et leurs gémissements résonnais dans ma tête comme une sordide mélodie. Plus que la colère, les larmes menacèrent de couler.
- Je comprend mieux pourquoi tu ne me répond plus depuis une semaine, fis-je d'une voix assez forte et énervé. J'espérais avoir mis suffisamment de ma rage dans mes paroles.
Le temps paru ce suspendre alors que les deux amants ce retournais et me regardais les yeux ronds.
Plus personne ne bougeais, parlais. La douleur en moi était vive, intense.
Une désillusion totale.
Je sais que j'ai pas mal de retard pour la plupart de mes fictions, que certains sont déçus que cela n'avance pas plus vite. Mais je vous assure que je fait de mon mieux.
Je travaille sur plusieurs projets en parallèle et j'espère sincèrement réussir à écrire de nouveau.
En attendant un petit chapitre pleins de promesses.
Bisouilles mes poulpes.
SoniaCrz
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Un démon au visage d'ange. { Boku no Hero} [univers alternatif] TERMINER
Fiksi PenggemarUn visage si enfantin et pourtant... Katsu qui rêve de la grande ville va enfin déménager ! Nouveau boulot, nouvel appartement, de quoi bien commencer sa nouvelle vie. Mais alors pourquoi ce sentiment d'oppression au travail ? Pourquoi ressent-il...