«Melvyn» [II]

14, final.

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- Dans le 77.

Aaron - Où dans le 77 ?

- C'est ça le problème.

Aaron - On va pas faire toutes les maisons du 77 quand même.

- Oh !

Il m'a regardé.

- La gadji de Kerim à ken avec Hassan !

Aaron - Jure ?

- Ouais.

Aaron - Oh mais la pute.

- Donc elle doit avoir des informations sur Hassan normalement non ?

Il me regarde et prend son téléphone.

Aaron - On y va.

__

Aaron - On l'a traumatise ouuuu ?

- Laisse moi faire.

La porte s'ouvre enfin sur cette Louna, jolie fille en plus.

Louna - Je peux vous aider ?

- Louna c'est ça ?

Louna - Oui... vous êtes qui ?

- Des amis proches à Kerim ; on veut juste te parler quelques secondes.

Louna- Mais je vous connais pas..

Aaron tchip et sort son arme.

Aaron - Et lui tu le connais ?

- Aaroooon !

Aaron - On a pas le temps gros.

Elle a essayé de fermer la porte mais je l'ai bloqué et j'ai l'ai attrapé par la gorge.

- Reste calme et tout va bien se passer.

Elle à essayé de crier mais j'ai posé ma main sur sa bouche et Aaron à fermé la porte.

- Je ne veux pas me servir de mon arme ma jolie alors tu va m'écouter attentivement bien.

Elle avait peur, ça se voyait dans ses yeux.

Elle hoche la tête positivement et je l'emmène au salon.

- Elle est où ta fille ?

Louna - Ch- chez ma mère.

Aaron - Melvyn, le temps.

- Je vais pas y allez pas 400 chemins, je veux que tu me donne une seule et unique information.

Elle me regarde et regarde Aaron pour ensuite hoché la tête.

- Je veux que tu me donnes l'emplacement exact de Hassan, le mec que tu te tape derrière le dos du père de ton enfant.

Louna -...

Aaron - Active putain !

Louna - J- je ne vois pas de quoi vous parlez ! Je ne le co- connais pas.

Je l'attrape par le cou et l'a colle au mur.

- La vie de ma famille est en jeu Louna et crois moi, je ne veux pas joué, ni rigoler alors si tu veux pas mourir aujourd'hui, dis le moi.

Je l'a lâche pour qu'elle reprenne sa respiration.

Louna -.. si vous me tuez, vous n'aurez plus d'adresse.

J'ai voulu l'attraper par les cheveux mais Aaron m'a attrapé la main.

Aaron - Tu a perdu le goût de la négociation mon frère, laisse moi faire.