XIII

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PDV Evangelyn

Thomas me regarde, encore sous le choque de ma révélation.

- Tu est entrain de me dire que tu es à l'origine du virus qui a décimé les habitant notre planète ?

Je baisse la tête honteuse de moi même, dans un sens ma réaction est stupide en sois puisque je n'ai jamais voulu tuer ces gens. J'ignore encore comment une chose pareille à pu arriver.

- J'en reviens pas.

Térésa semble tout aussi perdu que son amant. Je n'ose même pas les regarder. J'entends une personne entré dans la tente, mais je ne regarde pas, je n'ose pas j'ai trop honte. La personne en question ce mes face à moi et l'enlace, je reconnais l'odeur de Newt qui me rassure.

- Ça ne change rien pour moi.

Les battements de mon coeur ralentissent, je me sens mieux. Je le prend à mon tour dans mes bras. Heureusement que notre dispute de la veille n'a pas durée sinon je me sentirais bien seule en ce moment.
Je me détache de Newt pour me positionner face à mon jumeau qui semble perdu au fond de lui même.

- Thomas, tu es l'antidote uniquement parce que je suis le virus.

Il relève la tête et me regarde avec douleur, une douleur que je ressent également, elle est si forte qu'elle me transperce le coeur.
Il fini par ce levè et me regarder droit dans les yeux avant de sourire faiblement.

- Peut m'importe que tu sois à l'origine de cette maladie ou non, tu reste ma soeur, ma seule famille, celle que j'aime.

Je me sens revivre. Prise d'un élan d'affection je me jette sur mon frère que je sert plus fort que jamais dans mes bras.

***

Une pomme, deux pommes, trois pommes, oui je compte les pommes et alors ? On s'occupe comme on peut, et puis je ne fais pas que les comptes je les ramasses aussi.

- Eve je peux te parler s'il te plaît ?

Je pose mon panier de pomme au sol et rejoins Newt avec un immense sourire au lèvre.

- Oui ?

Il sourit à son tour en voyant la joie qui m'anime.

- Hum tu veux bien qu'on s'éloigne un peu des autres ? C'est important et un peu gênant ce que j'ai à te dire.

La il a piqué ma curiosité je dois dire. Je hoche de la tête, Newt prend ma mains et m'amener à l'entrée de la forêt. Ainsi nous sommes un peu éloigné des autres, il ne nous entende pas et je suis sur qu'il ne nous remarque pas non plus, bref nous pourrions les observer sans qu'ils en rendent compte.

- Alors de quoi voulais tu me parlais Newt ?

C'est amusant mais jamais je ne l'avais vu aussi mal à l'aise, il est tremblant et semble avoir chaud, j'ignore ce qu'il a me dire mais ça doit vraiment le gêné. Il baisse la tête et inspire un grand cous avant de me regarder à nouveau dans les yeux.

- Ce que j'ai à dire n'est pas facile à avouer et en plus je n'ais jamais fais ça avant donc j'ai du mal.

C'est tellement mignon de le voir timide est gêné comme ça, c'est adorable j'adore ça.

- Contente toi d'être toi même, et déballe ce que tu as à me dire.

Il vire au rouge vif, pour un j'éclaterais de rire, mais j'ai trop de respect et d'amour à son égard pour lui rire au nez.

- Bon d'accord. Tu m'as sauvé la vie, tu m'as ramené d'entre les morts et ça je te le dois, je te dois tout. Et c'est pourquoi je veux t'offrir ma vie, elle n'a pas beaucoup de valeur mais je sais que tu seras lui en donner.

Je ne rêve pas ? Mon plus grand espoir est entrain de ce réaliser ? Newt me dévoile t'il sa flamme ? J'en est bien l'impression.
Il m'observe et continu de parler mais je ne l'entend plus, j'entends seulement des voix qui résonnent dans ma tête.

- Ne fais pas ça, tu es ma soeur.

Mon coeur bat de plus en vite et je chercher désespérément l'air, j'ai l'impression d'agoniser. J'ai beau ne pas l'entendre je vois Newt s'inquiète de mon état, il pose ses bras sur mon épaule et me secoue légèrement en m'étant ses yeux dans les miens comme pour chercher mon attention.

- Désolé petite soeur, mais tu ne me laisse pas le choix !

Mon coeur accélère encore, je reconnais la voix de Bapsid, elle a donc retrouver ça soeur ? Apparemment ça ne la pas réussi, je sens une horrible douleur traversé ma chaire, je tombe au sol et hurle de douleur. Une deuxième balle et tiré et atterrie dans la jambe de Bapsid, je ressent toute ça douleur, elle se vide lentement de sang. Un pois ce pose sur mon abdomen, puis une voix parle doucement à mon oreille.

- Sois libéré de se monde ma douce soeur.

J'entends Bapsi la supplier de ne pas faire ça, une main ce pose sur ça gorge et se sert de plus en plus fort. Elle étouffe, de plus en plus et je sombre avec la. Une partie de moi s'arrache violemment, la douleur et immense plus que jamais au paravent. C'est tellement puissant que je m'evanouie, ou peut être que je suis morte ? Newt n'aura jamais pu me dire qu'il m'aime, et je n'aurais jamais pu lui dire combien moi aussi je l'aime et combien je ne peut pas me passer de lui parce qu'il est bien plus que l'un de mes petits. Je l'aime et il fais parti de moi.

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Salut les amis 👋 je sais je n'ais pas publier depuis un moment mais pour mon excuse (qui n'en est pas vraiment une) j'ai étais très occupé c'est dernier temps, j'espère que vous pardonnerais 😢
J'espère également que ce chapitre vous a plus et que vous l'avez savoir car il y a de forte chance que je publie pas avant un moment : entre deux et trois semaines, ne m'en voulais pas 😭😭😭. En tout cas je vous souhaite une bonne soirée et une bonne semaine allez à plus les amis 👋👋👋

Labyrinthe : les retours des mortsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant