X

965 51 24
                                    

PDV Newt

Je marche depuis un moment, plusieurs heure en faite. Je cherche Evangelyne partout, mais aucune trace d'elle n'ai visible.
Sonya et Jacob sont venu avec moi et m'aide, chacun dans une direction différente.
J'ai emmené quelque vivre ne sachant pas combien de temps j'allais être partis n'y dans quel état j'allais la retrouver. Je dois avouer être fatigués, mais je ne lâcherais pas l'affaire tant que je ne l'aurais pas trouver.

- Je suis désolé.

Des sanglots et une voix que je pourrais reconnaître entre mille. La derrière la rivière, après quelque arbre juste avant une assez grande descente faite de pierre se trouve assise par terre ma belle Evangelyne.

- Evangelyne !

A l'entente de ma voix Ève relève son visage vers moi, les yeux et le visage mouillé par les nombreuses larmes qui ont du s'écouler.

- Newt.

Je descends prudemment la descente et la rejoins. Elle a une jambe salement abîmé : enne est pleine de sang est et complètement ouverte avec plein de saleté dedans. Son tee-shirt -ou plutôt se qu'il en reste- me laisse voir l'épaule d'Eve complètement bleu avec des traces violacé.

- Comment tu as fais ton compte ?
- Je suis tombé.

Evangelyne ne cesse de me regarder. Sa voix est devenu calme, effacer et elle semble comme dans les vapes.

- C'est douloureux.

Je pose ma mains sur son épaule et vois son visage affichée une grimace de douleur.

- Oui.

Je la regarde dans les yeux, et son visage reviens à un aire songeur. Je l'observe quelque seconde, j'ai beau être détruit à l'idée de pas être celui qu'elle aime sa ne m'empêche pas d'être près à mourir pour elle.

- Sa va aller, je suis la. Je vais prendre soins de toi.

Eve eu un brève et legé sourire.

- Je n'ai peur de rien quand tu es la, j'ai tout confiance en toi Newt.

Ses mots me firent un bien fou, j'avais besoin de l'entendre, j'en avais envie, très envie. Je retire ma veste et la lui m'est prudemment, délicatement pour évité d'agraver sa blessure et augmenter sa douleur. Je la referme pour cacher son corps, bien que cette vu ne sois pas faite pour me déplaire je préfère la protégé du froid. Je sors mon sac de mes épaules et y prend les bandage que j'y est mis, je l'enroule autours de sa jambe, je remarque qu'elle pince les lèvres de douleur.

- Désolé.
- Tu veux de l'eau.

Elle accepte et bois quelque gorgé avant de me rendre la gourde. Une fois mon travail terminé je passe son bras valide autours de mes épaules, je passe un bras derrière son dos et l'autre sous ses jambes puis la soulève de terre. Evangelyne s'accroche à moi et regarde le sol avec inquiétude.

- Ne pas peur je ne te laisserais jamais tomber.

Ses yeux s'embrume légèrement, sans que je m'y attende Eve pose un baiser une ma joue et me chuchote :

- Tu as toute ma confiance Newt, et bien plus encore.

Sa révélation me fais pousser des ailes, elle me fait confiance, c'est un bon début.
Je souris et commence à marcher en direction du camps.

- Eve essaie d'attraper le talki qui est dans mon sac, sur une poche de ton côté.

Elle souris et essaie l'attrape.

- Je fais quoi avec.
- Appuis sur le bouton du côté est m'es le près de ma bouche.

Elle s'exécute.

- Ici Newt, j'ai retrouvé Evangelyne, je la ramène au camps.

Elle relâche le boutons et m'observe.

- J'aime bien quand tu m'appel Eve.

Oups

Je l'ai appelé Eve sans le vouloir. Il n'y a pas de problème aller vous me dire, mais j'ai des souvenir de mon passer qui me son revenu depuis mon retour des morts. Parmis eux il y avais l'histoire qu'une femme lisais -j'ai cru comprendre qu'il s'agissait de ma grande soeur- elle me lisais la bible, elle adoré l'histoire d'Adam et Eve, elle m'a dit qu'elle adorerais qu'un homme lui dise un jour qu'elle est son Eve, c'est sûrment stupide mais c'est la raison pour laquelle je l'appel comme sa.

- Il paraît que la plus pars des gens donne des surnoms à se qu'il aime.
- Eve et Newty. T'en penses quoi ?
- Je pense que tu devrais arrêté de faire semblant de m'apprecier.

J'y suis peut être aller fort mais au moins elle sait se que je pense maintenant. Evangelyne me regarde avec incompréhension et colère, je n'y fais pas attention et continue ma route avec Eve dans mes bras.

Les minutes passent, je continue de marcher sans regarder ou même parler à Eve.

- Pourquoi tu dis une chose pareils Newt ?
- Fais pas semblant, j'en est ma claque de toi et t'es connerie.

Je n'aurais pas du dire une chose pareille, je m'en veux instantanément. Visiblement moi je m'en veux mais Eve m'en veux encore plus.

- Pose moi.

Je ne l'écoute pas et poursuis ma route, sa voix est pourtant très menacente mais qu'importe.

- Newt, pose moi.

Je sent sa voix trembler, quelque chose ne va pas, et la je ne peux pas continuer à faire l'indiferent. Je la pose doucement sur le sol, a peine effleure telle la terre qu'elle s'écarte vivement de moi, elle est limite à me pousser pour évité tout contact avec moi. Malheureusement Eve ne tiens pas très bien en équilibre avec une jambe en moins, elle trébuche et manque de s'écrouler au sol. Je voulu lui évité une chute en la rattrapant, au lieu de sa elle se rattrape de justesse grace à un arbre, et elle vomis. Non je ne déconne pas, elle vomis littéralement.
Je m'approche d'elle en voulant la retenir et la réconforter, je voulais mettre mon égo de côté pour me montrer présent. Au lieu de m'accepter elle repousse violemment violemment et se tourne vers moi dans une colère noir.

- CASSE TOI ! JE T'INTERDIT DE ME TOUCHER !

Bon la c'est définitif elle m'en veux vraiment, mais je lui en veux aussi. J'ai beau l'aimer plus que n'importe qui sa n'excuse pas se qu'elle m'a fais, elle m'a vraiment fais souffrir en préfèrent mon meilleur ami à moi.

- Eve...
- NON ! Il n'y a pas de "Eve" qui tienne, JE TE DÉTESTE ! Va t'en, et ne t'approche plus de moi. Sale connard !

Labyrinthe : les retours des mortsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant