dépression

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Ainsi je me mis de moins en moin à parlé. Je me mis de plus en plus a pleurer et était tous le temps en colère. Je passé mes journées dans ma bulle et mon patron n'en pouvait plus.Étant protéger par la loi des mineur il ne pouvait me viré seulement avec mon accord et sa il ne l'a jamais eu.
J'ai oublié un point primaurdiale: avant je me scarifié.
Alors j'ai recommence dans des endroit discret: le ventre , et les jambe.
Cela me faisait tellement de bien.Cette souffrance si reposante..
Voir ce sang couler -mon sang- était enivrant .
Ayant déjà  fini a l'hôpital par le passé parc que mon corp n'a plus suivi je fit tout de même attention.
Seulement sentir la  lame du couteau parfaitement eguise était si.... Si ha je ne saurai dire c'est indescriptible!
Seulement un jour alors que j'étais dans la salle de bain et que ma mère s'absenter faire des courses en me regardant dans le miroir j'explosai!
Frappent mon reflet dans le miroir je m'accroupis au sol puis éclata en sanglots ! Je pris le couteau cacher dans mes vêtements puis commença à m'ouvrir les veines.
Ah se sang ! Il en faut plus ! Plus de souffrance ! Encore et toujours plus !
-Nan sa n'est pas la souffrance qu'il te faut ma belle ,me chuchota une voix intérieur, sais ta morts !-
Oui! Elle a raison! Alors j'avise mon couteau.
- nan sais trop long va plutôt prendre des cachet dans l'armoire à pharmacie, me susurra la voix insidieuse-
Alors docile je l'écouter.
Je me dirigea vers l'armoire à pharmacie , l'ouvrit , et sortie une boite de pilule dont j'ai oublié le nom.
J'en pris 2.
- Allon ne sois pas timide 2 pilule n'est pas suffisant-
Alors je vidait un caché par un caché le flacon en les faisant passé par l'eau du robinet.
Alors je m'allonger au sol .Tout d'abord je me mit a commate puis peu a peu sa devin brumeux.
CLIC
-Clic....maman.....pas ....sa
Je suis plongée dans des abysses noir.

L'homme de la ruelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant