SILENTIUM. []END[]

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/ Je tiens à précisé que j'écris par plaisir et pour vous faire explorer mon imaginaire. Oui, je sais. Les fautes d'orthographe, grammaire, ponctuation, ect ne sont pas à négligé mais je corrigerait TOUT une fois ce livre terminer. Excuser moi si ça pique les yeux./

Stiles dans la cave de sa maison à 3 heure 34 le 17 février.

Les murs étaient emplis d'humidité, les araignées y vivent en maître, ne prêtant même pas attention à Dimitri et moi même. Mon ami prit une chandelle dans sa main droite et éclaira l'autre moitié de la pièce. J'avance avec lui, cherchant quelque chose qui pourrais nous êtres utiles, et en effet, une malle avec des parchemins était entassé dans le coin de la pièce. La moisissure avais mangé le papier, et certaines bêtes y avais élu domicile. Dimitri dépose la chandelle à terre, et recula les feuilles pour ouvrir ce coffre en bois. Je l'aide à prendre plusieurs bouquin pour les remontés à la surface. Dimitri est un compagnon pour moi, une personne qui m'as fais sortir tout ce que j'avais enfuis en moi. Il m'as partager toute sa vie, comme si j'y étais avec lui. Il est un vampire de 250 ans, j'en suis un depuis 2 ans. Je pose les livres sur la grande table en bois massif, je fouille dans chaque page à la recherche d'information. En écoutant la maison, le silence règne en maître. Malgré tout, Dimitri en décida autrement pour faire pleins de bruit, m'agaçant légèrement.

« — Stiles, bouge ton cul et viens m'aider à tout récupérer en bas, il me faut absolument ces parchemins. Dit Dimitri en posant le reste des livres.
— D'accord. »

C'était sa, maintenant nos discutions, pas un mots pour rien dire, c'était bref et simple. Nous savions que cela ne servirais à rien de faire la conversation. D'un coup, les murs défila, devenant de plus en plus gris, voir noir. J'empile les parchemins et les emmena avec moi, cependant mon téléphone vibre dans ma poche, me fessant froncé les sourcils. Qui peut bien me téléphoner à cette heure ci tardive ? Je dépose une nouvelle fois la pile de feuille et prend mon téléphone, numéro inconnu. Je soupire et le place à mon oreille une fois décroché.

«— Allo ? Dis-je d'une voix rauque.
— Stiles ? Je te réveille ? Dit une voix familière.
— Qui est-ce ?
— Tu te souviens de moi ? Deaton. »

Je reste sans voix, pourquoi une personne de mon ancienne vie resurgit quand j'avais trouver la paix intérieur ? C'est tout bonnement une erreur.

« — Que me vaut cet appel Deaton.
— J'ai besoin de toi, je sais que toi et la meute êtes en froid mais ils ont absolument besoin de toi Stiles.
— Cela fait deux ans, je ne pense pas que ce soit urgent.
— Ton père est concerner Stiles ! Toute la ville subit.. Des changements.
— Comment sa ?
— Viens à Beacon Hills, tu en sauras un peut plus.
— J'ai tirer un trait sur Beacon Hills une fois que je suis partis, alors débrouillez-vous.
— Stiles s'il te plais... N'implora Deaton.
— Je dois être la le plus vite possible je suppose.
— S'il te plais.
— Très bien, je serai là avant 4 heure du matin. »

Je raccrocha, ne le laissant pas parler. Je soupire et glisse mon téléphone dans ma poche, continuant ce que j'avais à faire. Une fois à l'étage Dimitri me regarde, les sourcils dangereusement froncé, voyant qu'il était en colère.

« — Tu vas y aller et me laisser ? Dit Dimitri la voix froide.
— J'ai pensé y aller en effet, mais pas sans toi.
— Tu veux bien m'emmené ? Dit-il avec espoir.
— Bien entendu. Alors prépare t'es valises. »