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Dimitri, dans la maison à 17 heure 14 à Beacon Hills.

«—TU AS QUOI ?! Criais-je, rouge de colère.
—Oh c'est bon c'est pas la mer à boire. Stiles prend un verre de jus de pomme et me sourit en buvant goulûment. »

Cet enfant est à pendre. Je le regarde complètement en colère. Il as osé s'en prendre à un groupe de jeune qui c'étais approché trop près de sa bécane. Je vais l'étranglé, seulement il faut que je reste calme et réagir en tant que mentor pour me coup.

«—Et tu ne la pas emmené à l'hôpital je suppose ?
—Bien sûr que non ! Je la connais pas, puis il y avais assez de gens autours d'elle pour l'aider hein. Dit-il simplement en nettoyant son verre. »

Je soupire et part finalement regarder la télé. Sa sert strictement à rien de lui dire de pas recommencé, car sinon il vas recommencé pour rire. J'espère juste ne pas avoir de problème avec l'école et les parents des gosses. J'allais m'endormir lorsqu'on toque à ma porte, je baille en râlant et ouvre la porte. C'était une femme et un homme. Qu'est ce que je vous disais ?

«—Nous avions rendez-vous ? Dis-je en ricanant.
—Pas du tout, j'aimerais voir le gamin qui vit ici.»

Je fronce les sourcils et voit deux gosses derrières leurs parents. Stiles vas me rendre dingue.

«—Si ce n'est pas pour un rendez-vous vous pouvez partir merci.»

J'allais refermer ma porte lorsque l'homme entre doucement chez moi.

«—Je crois que vous ne nous comprenez pas, dit l'homme menaçant. Appelez moi ce morveux. »

Je le regarde et hausse un sourcils et regarde les deux autres qui baissèrent leurs tête. Je soupire et laisse les adultes entré, ainsi que les deux mongoles.

«—Voulez vous quelque chose à boire ? Demandais-je poliment.
—Appeler le garçon qui as fait sa à mes enfants ! Dit la femme d'un ton hystérique.
—Vous êtes flics ? Non car en fait, je n'ai pas d'enfant. Dis-je en pouffant de rire.
—Ne joue pas à ça avec nous, dit l'homme en me prenant le bras.»

Il n'aurais pas dus me touché. Je lui éclate le bras en un mouvement et il ce retrouve avec un bras complètement déformé.

«—Essayez de tenir vos gosses avant de venir me chercher des poux. »

L'hurlement de l'homme me tape sur le système alors j'appel Stiles par télépathie et il apparaît.

«—Ne laisse aucune traces sinon tu n'auras plus rien à bouffer pendant une semaine. Dis-je simplement.»

La femme me regarde avec terreur tandis que Stiles avais déjà vidé le sang de la fille. En une fraction de seconde la mère avais arrêter de respiré, et le garçon avais essayé de s'enfuir. Stiles avait été plus rapide que lui et lui avais tranché la gorge puis avais bus l'entièreté de son sang. Stiles ce dépêche de nettoyé et de brûler les corps tandis que moi je retourne à ma télévision.

[]En pleins rêve[]

La forêt vaste et sombre donne à Dimitri une peur enfuis au fond de lui. Cette peur est pourtant incompréhensible pour lui. Le silence aussi est effrayant, même quelques fois assourdissant. À part le vent qui frappe sur le feuillage des sapins, aucune trace d'animation vivante n'est visible.

«—Il y a quelqu'un ?! Crie-t-il, la voix tremblante.»

Rien, cela n'as servis à rien cependant il marche vers l'obscurité, espérant trouver quelqu'un. Bien que la peur au ventre fus présente, il espère tout de même pouvoir trouver quelqu'un. La solitude lui pèse et le silence n'arrange rien. Il regarde au dessus de lui croyant avoir entendu un bruit, mais tout ce qu'il voit c'est la lune, pleine. Un craquement venant de derrière lui le fait se retourner. Dans le noir, se trouve une ombre forte et imposante. Dimitri trembla de peur et recule doucement, cependant la masse noir ce déplace et s'approcha de moi, je découvre ces yeux rouge, emplis de soif de sang. Son museau bougea au fur et à mesure qu'il renifla l'air. Dimitri ne pouvais pas réagir aussi vivement que d'habitude, pourtant il sentais le danger à dix kilomètre. Alors essayer de partir en courant n'étais pas une bonne idée non plus, la bête risque de sauté sur lui et le tué. Un grognement puissant ressort, le faisant vibré de tout son être Dimitri tombe à terre, manquant de force de pouvoir le vaincre. Une voix arrête alors les tremblements de Dimitri qui lui ce retourne plusieurs fois, essayant de savoir d'où venais ces cris. Lorsqu'il veux pour regarder le loup, il n'étais plus là. C'est seulement alors que Dimitri ce lève et voit une femme avec un homme, inquiet. L'homme au cheveux noir corbeau fit les cents pas devant une maison, et le loup s'approche des personnes. Un grognement sourd ce fait entendre de la part du loup, lorsque les deux jeunes gens souriaient en voyant la bête. La femme s'approche un peu plus du loup, tenant dans ces bras un petit paquet. Elle le tendis et lui le renifla et viens lécher joyeusement. Cependant la femme l'arrêta le sourire au lèvre. Le loup féroce et angoissant ce transforme en un homme nu, qui n'hésite pas à prendre le paquet dans ces mains et pleurer légèrement. Il le serra doucement et le rendis au parents, s'éloignant non sans un regard. Dimitri mordille ça lèvre inférieur et commence à hurler le prénom des personnes.

[]Fin du rêve[]

Mes hurlements fit alerté Stiles, le front en sueur et mes tremblements m'empêche de voir Stiles arrivé complètement paniqué. Je me retrouve allongé sur le canapé, je compris alors seulement maintenant que ce n'étais qu'un rêve. Stiles me prenais dans ces bras, ne me lâchant pas. J'étais encore bouleversé du rêve que j'ai fait. Stiles partis chercher quelque chose, pendant ce temps je me calma. Il arrive deux minutes plus tard avec un verre de sang qu'il me tend.

«—Qu'est ce qu'il sais passer ?
—Je... J'ai rêver de mes parents.. Et d'un loup qui.. Non rien..
—Je vois, tu devrais boire.»

J'hoche la tête et met mon verre de sang à mes lèvres. Je n'en reviens pas du rêve que j'ai fait. Je soupire et allais boire le verre lorsqu'un rire sinistre sort de la bouche de Stiles. Je pose rapidement le verre sur la table basse et Stiles me prend par la gorge et essaye d'aspirer quelque chose. Mais il fut vite surpris que rien ne sort de ma bouche. Il essaye de prendre mon âme, voilà ce que font les métamorphes. Je lui tranche la tête d'un coup sec et le jette à mes pieds. Heureusement qu'il n'as pas réussis à me contrôler. Je dois faire plus attention à Stiles. Certes il n'as plus d'âme mais j'ai peur qu'il ce fasse berner. Bien qu'il m'as prouver le contraire avec son âme-sœur. Je soupire et la porte s'ouvre et ce ferme rapidement. C'est Stiles.

«—Déjà réveillé ? Me demande-t-il en me souriant.
—Ouais. Dis-je ironiquement. »

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Chapitre très dur à sortir (J'avoue je l'ai laisser sur le côté)
Mais il est enfin là !

1154 mots.

SILENTIUM. []END[]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant