Les Hobbits revinrent au petit salon, et il furent surpris de voir que la pièce était baigné dans la pénombre. En un rien de temps, un feu crépirait joyeusement.
La lumière était maintenant présente dans la pièce, et le spectacle qu'ils virent les surprirent, voir même les effrayé. Eliane et Grands-Pas étaient adossé au mur à les observer!
- qui êtes vous et que voulez vous? S'écria pipin.
- on m'appelle Grands-Pas, dit il.
- et moi je suis Eliane Godwin. Bien qu'il l'ait peut être oublié, votre compagnon nous a promit d'avoir avec nous un tranquille entretient, Dit Eliane, avec un visage fermé.
- vous avez dit que je pourrais apprendre quelque chose qui me sera utile.
- plusieurs choses, répondit Grands-Pas. Mais, j'ai mes conditions.
- que voulez vous dire par là? Demanda Frodon.
-N'ayez pas peur! Il veut seulement dire ceci: on vous dira ce que l'on sait, on vous donnera des conseils et en échange, il faudra une récompense. Dit Eliane
- et qu'elle en sera elle?
Il soupçonner maintenant d'être tombé sur des fripons. Certe il avait apporté de l'argent mais peu pour satisfaire des coquins.
- pas pas plus que vous ne le pouvez! Dit elle comme si elle avait deviné les pensées de Frodon. Simplement ceci:
Il faudra nous emmener avec vous jusqu'au moment où nous voudrions vous quitter.
- ah vraiment? Même si je voulais un compagnon supplémentaire, je voudrais en savoir un minimum sur ceux ci avant qu'ils m'accompagnent.
- excellent! S'écria Grands-Pas. Vous êtes revenu à la raison et tant mieux! Vous avez été beaucoup trop insouciant jusqu'à présent!Maintenant, nous allons vous dire ce que nous savons, et peut être qui sait, que votre décision changera après nous avoir écouté.
- alors, dites nous ce que vous savez. S'impatienta Frodon.
Il n'eut pas à impatienter d'avantage
Avant de raconter leurs récit, Eliane alla fermer la porte après avoir regardé au dehors. Ils leurs racontèrent à tour de rôle ce qu'ils savaient: le vrai nom de Frodon, qu'il avait l'anneau unique, que lorsque qu'ils allaient aller dans le grand salon, ils voulaient leurs empêcher -car cela n'était pas très prudent, et leurs pressentiment étaient fondé vu l'accident qui c'était produit.
Ils leurs dirent qu'ils avaient pourtant essayé de leurs empêche d'aller dans le grand salon, mais le vieux Poiredebeurré n'a pas voulu les laisser entrer pour les voir ni meme se charger d'une commission.
- pourquoi donc? Demanda Frodon.
- il n'aime pas trop les gens de notre espèce. Répondit Eliane. J'avais crut que vous l'aviez comprit lorsque vous discutiez avec lui.
- qu'entendez vous par" les gens de votre espèce"?
- nous avons l'air de gredins, non? Demanda Grands-Pas.
- eh bien, commença Frodon, dans un premier temps si, mais lorsque que l'on vous regarde, vous deux, vous êtes beau. Il me semble que vous possédez une certaine prestance.
A ce moment là, on toqua a la porte.
Monsieur Poiredebeurré venait, chandelle à la main suivit de Nob, qui portait des bacs d'eau chaude. Eliane et Grands Pas se retirèrent dans un coin sombre.
- je suis venu vous dire bonne nuit. Nob! Apporte l'eau dans les chambres!
Celui ci monta l'escalier, tandis que le vieux Poiredebeurré entra dans la pièce et referma la porte.
Eliane et Grands -Pas se cachèrent dans l'ombre.
- voilà comment cela commence: il y a quelques semaines on m'avait charge de guetter des Hobbits de là Comté, surtout un prénommé Sacquet, dit l'aubergiste.
- et en quoi cela a un rapport avec moi? Demanda Frodon.
- je ne vous trahirais pas mais on m'a dit que ce Sacquet était déguisé en souscolline et un signalement qui vous convient assez, je dois dire.
- vraiment? Eh bien,donnez le donc! Dit il
- " un gros petit bonhomme aux joues rouges." Dit il solennellement.
Sur ce Pipin gloussa mais Sam était indigné.
- " cela ne vous sera pas d'un grand secours; ça convient à la plupart des Hobbits, prosper, qu'il m'a dit, poursuivit il, jetant un coup d'œil à Pipin. Mais celui ci est plus grands que la moyenne et mieux que le plupart et il a une fente dans le menton: un type déluré, a l'œil brillant. Sauf votre respect, c'est lui qui l'a dit, pas moi.
- lui? Et qui était ce, lui? Demanda Frodon avec grand intérêt.
Voici, comment, par une nuit pluvieuse, Prosper dit à Frodon de nombreuses choses, qui lui revinrent a l'esprit petit à petit. Dans un premier temps, " lui" était tout simplement Gandalf. Celui ci avait chargé à Monsieur Poiredebeurré de fair porter un message dans la Comté, et il lui donna une lettre. Sur l'enveloppe, on pouvait lire: MONSIEUR FRODON SACQUET, Cul- de - Sac, Hobbitbourg dans la COMTÉ.
Indépendamment de celle ci, Il avait promit a Gandalf de l'aider, si il avait des ennuis et lui avait dit qu'il s'appellera Souscolline.
Mais ce que le vieux Prosper dit par la suite glaça le sang aux Hobbits et à lui même.
Il y avait maintenant quelques jours de cela, deux hommes noirs étaient à la porte et qu'ils avaient demander si il y avait un Hobbit du nom de Sacquet. Prosper leurs dit de passer leurs chemins et leurs claqua la porte. Ils avaient posé les mêmes questions jusqu'à archet d'après ce qu'on lui avait dit.
Puis il parla Mll Godwin et de grands-pas, en parlant de fait qu'il avaient posé des questions et voulaient les voir.
- En effet, dit brusquement Eliane, s'avançant dans la lumière. Et beaucoup d'ennuis auraient été évité si vous les aviez laissés entrer, Prosper.
Grands Pas s'avança , afin qu'il soit lui aussi visible.
On pouvait lire l'étonnement dans le visage du vieux Prosper.
- Vous! S'écria il. Vous êtes tout le temps à surgir brusquement. Que voulez vous maintenant?
- ils sont ici avec ma permission, dit Frodon. Ils sont venu m'offrir leurs assistance.
- vous faites ce que bon vous semble. Mais si j'étais dans cette situation, je ne fréquenterai pas des Rôdeurs,dit-il en regardant Eliane et Grands-Pas.
- et qui fréquenteriez vous donc? Demanda Grands-Pas. Un gros aubergiste qui ne se rappelle son propre nom parce qu'on le lui crie toute la journée? Ils ne peuvent rester au poney à perpétuité.Ils ne peuvent rentrer chez eux. Ils ont une longue route devant eux. Les accompagnerez vous et tiendrez vous les hommes noirs à distance?
- Moi? Quitter Bree! Je ne ferais pas ce pour tout l'or du monde, s'écria le vieux Prosper. Mais pourquoi ne voulez vous rester un peu ici tranquillement, Monsieur Souscolline? Qu'est-ce que ces bizarres menées? Que veulent ces hommes noirs et d'où viennent ils, je voudrais bien le savoir?
- je regrette, mais ne peut m'expliquer. Je suis fatigué, très préoccupé et c'est une longue histoire. Mais si vous voulez m'aider, je dois vous avertir que vous serez en danger tant que je resterai dans votre maison. Ces cavalier Noires: je ne suis pas sur, mais je crois, je crains qu'ils ne viennent du...
- Ils viennent du Mordor, Dit Eliane.
- Oui, renchérit Grands-Pas. De Mordor, Prosper, si cela signifie quelque chose pour vous.
Celui ci poussa un cris d'effroi.
- Mais, que puis je faire?demanda il d'une voix tremblante.
- vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour les aider, dit Eliane. Oubliez le nom de Sacquet, préparez leurs un petit déjeuner, très tôt, le matin. Nous partirons très tôt.
Le vieux Prosper alla vers la porte et rajouta:
" ces cavalier noirs ne vont pas passer les portes de cette auberge, où il faudra me passer sur le corps!
Il parti, après avoir refermé la porte. Eliane et Grands-Pas se retourna vers Frodon et dirent en même temps:
" alors, qu'attendez vous? Ouvrez cette lettre!"
Frodon regardât le cachet et le rompu. A l'intérieur, tracé de la vigoureuse mais élégante écriture de Gandalf, se trouvait le message suivant:
" LE PONEY FRINGANT, BREE. Jour de la mi- année 1418 de là Comté.
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Le seigneur des anneaux: Eliane et la communauté de l'anneau.
FantasyAprès avoir participer à la reprise d'Erebor, Eliane, une rôdeuse et femme de lettre, sœur d'Aragorn, va être l'un des membres de la communauté de l'anneau, afin d'aider Frodon à détruire l'anneau de pouvoir. Remplie de nostalgie et de tristesse, el...