Le seigneur des anneaux: Eliane et la communauté de l'anneau.

Chapitre 1: le rendez vous a l'auberge du poney fringant partie 2/2

La raison pour laquelle frodon était tombé, était simple.
Son anneau  était attaché sur son cou grâce à une chaîne. Au moment où il tomba, celle ci se brisa et l'anneau s'en détacha.
Ayant peur que l'anneau se perde, frodon essaya de le rattraper au cour de sa chute,mais il glissa sur son annulaire, le faisant disparaître devant plusieurs personnes.

Frodon était dans une forêt et vit les mystérieux cavalier noir qui les pourchassaient auparavant.Puis, il entendit une voix qui lui disait:
" vous ne pouvez pas vous cacher, je vous vois."
Il vit un œil sans cils, ni paupières qui le scrutait de  son iris rouge comme la braise. Il se rapprocha de frodon et dit:
" il n'y a pas de vie dans le néant, seulement la mort"
Frodon ressentit le besoin d'ôter son anneaux. Il l'enleva et lâcha un soupir de soulagement: il était retourné à l'auberge.
A peine fut il sortit de sa bêtise, qu'il vit plusieurs hommes qui quittaient la salle, il n'aimait pas l'air de ces hommes.
- alors? Dit Grand-Pas quand il réapparu. Pourquoi avez-vous fait cela? C'était pis que tôt ce qu'auraient pu raconter vos amis!
- vous avez mis les pieds dans le plat!dit Eliane, ou devrais-je dire le doigt?
- je ne vois pas ce que vous entendez par là, dit il d'un ton effrayé.
- oh que si, répliqua Grand-Pas, mais vaut mieux attendre que le tumulte soit éteint.
- alors, si vous plaît monsieur Sacquet dit Eliane, nous aimerions avoir un entretien tranquille avec vous.
- à quel sujet? Demanda Frodon négligeant son véritable nom.
- sur une affaire d'une.... Certaine importance. Répondit elle.
- tant pour vous que pour nous,coupa Grand-Pas en le regardant dans les yeux. Vous pourrez apprendre quelque chose d'utile pour vous.
- très bien, répondit Frodon. Je vous parlerais plus tard.
Soudain, il entendit un Hobbit qui parlait de ce qu'ils avaient vu à monsieur de poiredebeurré.
- je l'ai vu monsieur poiredebeurré! Ou tout du moin je l'ai plus vu, si vous voyez ce que je veux dire. Il s'est simplement volatilisé dans l'aire comme qui dirait.
- pas possible, monsieur Larmoise ! Dit l'aubergiste perplexe.
- si! Répliqua Larmoise et c'est bien ce que je veux dire, qui plus est..
- il y a une erreur quelque par, dit  monsieur poiredebeurré. Il y avait trop de Mr souscolline pour pouvoir disparaître ainsi dans l'air ou en fumée, ce qui serait plus vraisemblable dans une salle pareille.
- eh bien, où est il à présent? Crièrent plusieurs hommes.
- comment voulez vous que je le sache? Il est libre d'aller où il veut tant qu'il paie au matin. Voilà monsieur Touque: il n'a pas disparut. Dit il en désignant pipin.
- enfin, j'ai vu ce que j'ai vu, et j'ai vu ce que je ne voyais pas. Répliqua l'armoise avec obstination.
- et moi, je dit qu'il y a une erreur répéta l'aubergiste en ramassant les morceaux de poterie brise qui étaient tombé lors de la chute de Frodon.
- bien sûr qu'il y a une erreur! S'écria Frodon. Je n'ai pas disparut. Me voici! J'ai simplement eu un petit entretien avec Grand-Pas et Eliane, dans le coin.
Mais les gens n'en furent pas plus convaincu, et partirent se coucher dans  leurs  chambres, sans  aucune envie de se divertir davantage ce soir là,et sans dire bonsoir à Frodon ni a Sam, Merry et pipin.
Bientôt, il ne restait  plus que Grand-Pas et Eliane, qui restaient dans un coin.
Au moment où Frodon, Sam Merry et pipin allaient partir du grand salon, l'aubergiste appela Frodon et dit:
- et maintenant, qu'avez vous donc fait, monsieur souscolline? A effrayer ainsi mes clients et à briser mes poteries avec vos acrobaties!
- je suis désolé d'avoir causé des ennuis, dit Frodon. Ce n'était aucunement intentionnel, je vous l'assure. C'était un très malheureux accident.
- bon, bon. Mais si vous voulez faire vos acrobaties, tout  de prestidigitation ou ce que ça pourrait bien être, vous ferez bien d'avertir les gens avant et de m'avertir moi. On est un peu soupçonneux ici, tout ce qui sort un peu de l'ordinaire.
- je ne le referai plus, monsieur poiredebeurré. Vous avez ma parole. Et maintenant, je crois que je vais me coucher. Nous partirons tôt demain, pourriez vous préparez nos poney pour huit heures?
- très bien! Mais avant votre départ, j'aimerais vous dire un mot en particulier, monsieur soucolline. Quelques chose vient de me revenir à l'esprit que je crois devoir vous dire. J'espère que vous ne le prendrez pas de travers. Quand j'aurais règle des petites affaires, j'irais vous trouver dans votre chambre. Si vous le voulez bien.
- certainement! Dit Frodon.
Mais le cœur lui manquait et il se demandait combien d'entretient particuliers il lui faudrait avoir avant de ce coucher, et ce qu'ils révéleraient....