Après cette incident, les gens ont commencé à ce lassé de toi. On ne parlais plus de cette "pauvre Laura" qui c'était fais harceler. Moi pourtant, je continuait à te regarder. De loin, bien sûr. Jamais il ne me serais venu à l'idée de te parler. Je crois, de temps à autre avoir perçu ton regard chocolaté allez vers moi. Et je m'en contentais. Si tu savais ce que tu étais pour moi. Oui Laura je t'aimais. Mais je n'étais pas assé courageux pour te le dire. Alors je t'observais de loin pendant que l'année suivait son cour. Arriva vite les révisions pour le bac. Toujours enfermé chez moi ou dans la bibliothèque, je ne t'a percevais même plus. Sauf ce jour. J'avais du temps devant moi et je te vis près d'un arbre, à parler toute seule. Je me suis approché, assis à côté de toi. Rien que pour te regardé de plus près. D'ici je pouvais voir tout les détails de ton visage. Et là tu m'avais surpris Laura, car c'est toi qui avait lancé la conversation.
Tu avais juste dit "comment tu t'appelle? " mais pour moi c'était incroyable. Tu comprends, j'étais aussi sociable que toi. Pas par une extravagance spéciale, tout simplement car j'étais timide. Pas un peu timide. Une timidité maladive. Je ne pouvais pas prononcé un mot devant quelqu'un autre que ma famille. Et encore. Je ne cois pas que ce soit une maladie mais ça devrai en être une car je ne pouvais même pas faire les oraux dans les langues et autre matière. Revenons à ce moment. Comme tu le sait, je n'ai pas prononcé un mot. Je t'ai juste regarder et après je t'ai montré mon cahier. Celui où il y avait une étiquette avec écrit:
Tino Seloder
Et c'est ainsi qu'à commencer notre amitié. Une amitié silencieuse. Maintenant on avait un réputation à deux:
La folle et le muet. Et au fond j'aimais bien ça. Ce "et" qui nous liait.