criminel en liberté ...

Chapitre 3

 D'innombrables tests furent réalisés sur moi vu l'étonnement des médecins et l'impossibilité que je ne bouge ne serais ce d'un millimètre il devait avoir appliqué une substance , qui même les greffes réalisées , aucunes infections ou réactions ni effets négatifs n'apparurent en dehors de l'impossibilité de bouger le greffes ce n'est qu'après 3 semaines après mon arrivée a l'hôpital que lorsque les infirmières enlevèrent les fils de sutures et qu'elles remarquèrent que les tissus entre ma plaie et les greffes n'avaient pas cicatrisés mon corps faisait un rejet de la greffe !!!

Elles durent me transférer en urgence au bloc opératoire pour m'enlever les greffes de toute urgence il remarquèrent que jean Mcfielg avais mis une colonie de bactéries elle empêchais donc la cicatrisation entre les deux tissus , c'était pour cela que toutes les victimes mourais ... elle faisait un rejet de greffe a 100 pour 100 et contractaient des infections qui , par le sang transportaient des virus et , sans , qu'on le remarque causaient des infections dans tout le système nerveux c'est pour cela que même après tous ses efforts elle n'arrivais pas a bouger d'un millimétré , les deux autres femmes étaient décédées quelques semaines au par avant , des mêmes symptômes ... Elle ne voulait pas que son père la voit dans cet état la mais elle voulait lui parler , le voire , rigoler , plaisanter avant qu'elle ne soit , elle aussi , morte ...Lors de l'éxamination des médecins en salle d'opération ils remarquèrent que les os et nerfs avaient parfaitement étaient recousus et fixés il était donc impossible d'enlever les greffes sans couper quelques centimètres au dessus de la coupure faite originalement par jean Mcfielg ... elle y perdrait donc ses quatre membres sans parler de ses yeux dont l'implant réussi ne nécessitait donc pas de les lui retirer . Ce n'est que lorsqu'elle se réveilla dans la salle d'hôpital qu'elle avais jusqu'à maintenant occuper . A la seule différence que son père était endormis , assis sur une chaise a coté de son lit . Il s'était considérablement amaigrit depuis son enlèvement et son confinement en convalescence a l'hôpital . Dans un mouvement un grincement involontaire le réveilla en sursaut  et sanglota en voyant  le regard honteux de sa fille puis fondit en larme en parcourant son corps des yeux , restant muette fuyant le regard de celui de son père elle lâcha maladroitement un " Il a recommencé ... désolé tu vas encore te retrouver seul ... " puis elle fonda en larme en concert avec son père les infirmières n'entrèrent das la chambre d'hôpital qu'a la fin des heures de visites et les retrouvèrent tous deux endormis à force de pleurer mais c'est alors qu'elles allaient lui annoncer une mauvaise nouvelle : les infection transmises par le sang lui on causées une dysfonction  au niveau du cœur  si on ne la réglait  pas immédiatement elle risquait de mourir a tout moment !!! le matin venu elles purent enfin le lui dire mais n'en tirèrent pour réponse qu'une transition de ses sentiments  à l'état pur : " Il est préférable de mourir a tout instant que de vivre en étant dépendant de quelqu'un a cause de ce corps inapte a survivre sans aide extérieure , de ne plus pouvoir faire mon travail ; ne plus écrire ; marcher ; regarder quelqu'un dans les yeux sans qu'il n'en détourne le regard , confirma-t-elle en les regardant dans les yeux alors qu'elles le retournèrent aussi tôt , vous voyez ??!! Ma vie ne sera qu'il enfer si je reste en vie avec ce corps !!! Il est préférable de choisir la mort a cela !!! A moins que vous vouliez mener quelqu'un au suicide ...C'est déjà un miracle que mon père ne m'ai ne serait-ce que reconnut !!! Vous avez vus a quoi je ressemble ???Vous voulez savoir a quoi je pense depuis mon arrivé ici ?? Non ??!! Que j'aurait voulu mourir le jour ou l'on m'a amené a cet hôpital !!! " . Les infirmières furent ébahies par le fait qu'elle puisse prononcer tellement de mots en un si peu de temps mais d'autant plus par le fait que depuis son arrivé elle était restée muette sur son ressenti de l'histoire , restée indifférente  presque muette ne répondant jamais par un ressenti personnel ou une opignon personnelle , commençant à perdre son souffle elle continua de parler avec une vitesse impossible au point que même les  infirmières n'y purent même pas y placer un traître mot .