On Se L'est Promis

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Je vais passais 8 mois et durant ces 8 mois je mettais marié religieusement avec Qassim, j'allais quand je le pouvait voir ma mère sans que mon père ne le sache, je recevais des insultes de toute part que ça soit d'inconnu ou de ma famille, même des messages de mort de mes cousins comme quoi ils allaient m'étrangler me couper en morceaux me brûler. Et j'avais appris que j'étais enceinte aussi Qassim était super heureux puisque c'était des jumeaux et des garçons en plus. Moi ? J'étais choqué et perdu j'avais eu mes 20 ans mais tout était aller très vite, d'une fille à la vie paisible, j'ai eu une vie toute chamboulé.

Je l'avais dit à ma mère pour ma grossesse car mon ventre grossissait rapidement. Puis un jour ma mère me proposa de venir manger à la maison avec Qassim, mon père n'allait pas y être, j'ai bien sur accepter en informant Qassim.

Qassim- D'accord pas de problème.

Moi- T'est sur ça te dérange bébé ?

Qassim- Bien sur que non, tant que ça te fait plaisir ça me fait aussi plaisir princesse.

Je le regarde en souriant ah mon beau Qassim, il à toujours fait passer mon bonheur avant le sien. J'analysais tout son visage,sa peau tellement belle, ces yeux qui se plissent à chaque sourire sur son visage, sa bouche bien tracer. Je remerciais Dieu de me l'avoir mis sur mon chemin. Mais à ce jour-ci je regrette qu'il ce soit mis sur mon chemin il ne savait ce qu'il attendait et malheureusement ni moi.

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20h.Il ce gare et me regarde en replaçant une mèche derrière mon oreille.

Moi- Je sais pas je le sent pas ce dîner.

Qassim- Pourquoi? Tu veux qu'il ce passe quoi?

Moi- Je sais pas tu veux pas qu'on rentre on dit à ma mère qu'on ne peux pas aujourd'hui.

Qassim- Aller Nawell descend, il ne va rien ce passer de grave à part si ta mère intoxique mon plat "Rire"

Ah mon beau Qassim, si j'aurais insisté plus, tu serait encore parmi nous.

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22h.

Fin de repas tout c'était très bien passait et on était sur le point de partir. Quand la porte d'entrée claqua et mon père ainsi que mes cousins entrèrent avec des armes de chasse, je regardais ma mère paniquait et elle de même. Mon père regarda mon ventre les sourcils froncés puis Qassim.

Mon père- Alors c'est comme ça il t'engrosse et tu revient quand même ici pour nous humilier c'est ça.

Il s'approche de moi mais Qassim le stop, je lui tient son bras comme pour être protéger.

Mon père jeta un coup d'oeil à mes cousins et leur fis un signe de tète, c'est à ce moment la que j'ai compris qu'il allait ce passer une chose effroyable juste pour l'honneur de la famille.

Mes cousins étaient des hommes grands et plutôt bien muscles, ils s'approchent de Qassim et l'attrape pour l'immobiliser. Je criais pour qu'il le laisse en les poussant mais mon père me prit en me poussant au sol, ma tète tapa la table et mon crane s'etait ouvert, ma mère pleurait et criait.

Qassim se débâtait autant qu'il pouvait mais ce fut la fin quand mon père tira droit sur sa tête, mon cœur ce déchira en deux et mon père continua à lui tirer dessus alors qu'il était déjà mort ça haine remporta sur ces principes de religion.

Je me leva mais ma mère se jeta sur moi en me criant des choses incompréhensibles et moi je pleurais avec rage quand le corps de Qassim tomba je me précipita à coter de celui-ci en lui répétant que j'allais le venger.

Mon père était toujours debout face à moi l'arme pointait sur moi sur le coup si je mourrais je n'en n'avais rien à faire, on m'avait déjà enlever ma moitié.

Moi- Tire, ALLER TUE MOI PUIS ENSUITE T'EXPLIQUERA A TOUS LES VOISINS QUE POUR L'HONNEUR DE LA FAMILLE TA TUER TA FILLE!! SALE MERDE QUE T'EST

Ma mère ce mis entre nous deux désempares.

Yemma- Laisse la partir, je t'en supplie !!

Prise adrénaline je pris le pot de vase qui se trouva sur la table basse poussa ma mère et jeta sur le crane de mon père il tomba à terre et je pris son arme en le pointant sur lui

Mes cousins me regardèrent en fronçant les sourcils et en me criant que j'allais faire une grosse erreur et ma mère pleurait en me tenant le bras mon père lui,  était à terre me regardant avec pitié. Oui maintenant qu'il est en position de faible il me demande d'avoir pitié de lui mais ça ne marche pas comme ça.

Moi- Tu m'a juste pourris la vie.

Ce fut la fin pour lui, une seule balle et son cœur s'arrêta de battre.

Je venais de tuais mon père. Ce père qui trompait ma mère qui ne me calculait pas ou ne faisait attention à moi que lorsque j'ai eu mon premier amour. Ce père qui pour l'honneur de ma famille à tuait l'homme dont je porte les enfants.