chapitre 1 - La rentrée

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*RING*

La sonnerie annoncant le premier cours de l'année rententit dans mes oreilles comme le bruit du premier éclair qui nous informe qu'un orage commence.

Je commences l'année en francais. Ma professeur se présente. Elle se nomme Marie-Ève, elle à 26 ans et débute sa 3ième année d'enseignement à notre école.Elle est plutôt jolie avec ses longs cheveux roux bouclés qui dessendent jusqu'aux bas de sont dos, ses yeux d'un vert éclatant et ses petites tâches de rousseur qui lui recouvrent partiellement son nez et ses joues.Dans ma classe, il y a 3 éleves qui me sont inconnus, probablement des nouveaux. Il y a aussi des joueurs de l'équipe de soccer, le genre de garçons populaires qui se croient tout permi, des meneuses de claque qui sont les filles les plus populaires et les plus désirer de l'école, des musiciens qui joueuent pour la fanfare de l'école, quelques intellos du club scientiques et moi, le rejet

qui n'a aucun ami et donc personne ne souhaite apprendre à connaître.

Je me suis installé au fond de la classe pour être remarqué le moins possible, mais Alex, le capitaine de l'équipe de soccer juvénile, détruit toutes mes chances de passer innapperçu en lança à partir du devant de la classe : "HEY GROSSE TAPPETTE, TU ES AVEC MOI EN FRANÇAIS CETTE ANNÉE. COOL ! JE VAIS POUVOIR BIEN RIGOLER. PIS PAS BESOIN DE TE CACHER

DANS LE FOND, T'ES TELLEMENT GROS, IMPOSSIBLE DE TE MANQUER, TU SAUTES AU YEUX !" Je détourna sont regard et fit comme s'il ne s'addressait pas à moi. J'avais tellement honte. Une meneuse de claque me défendit :

Meneuse de claque : Alex regarde toi avant de parler, personne n'est parfait alors arrête d'insulter les autres sa sert à rien.

Alex : Justement, je me suis regarder dans le mirroire ce matin, pis je suis toujours aussi irresistible. Aucune fille peut me réssister, même pas toi Annabelle.

Annabelle : Ark, si tu crois que tes airs de matcho me font fantasmer tu te trompes !

Alex : tu verras, dans quelques semaines, tu seras à mes pieds.

Voilà une année qui commença brusquement. J'ai déjà hâte que l'année se termine, que se cauchemar finisse, que cet orage prend fin.

IncompatibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant