Les Cullen Tome III Rosalie

Chapitre 2 : la fin d'un rêve

Ainsi suivit le fameux soir où Royce par l'intermédiaire de mon père me fit sortir. Nous allâmes au théâtre avec des amis de sa famille afin de nous chaperonner un peu, ensuite nous allâmes danser. La soirée fut exquise. Royce s'avérait être un bon danseur, il me faisait rire et était aussi très charmeur. Je crois que je lui plu également. Après cela il m'envoya des roses. Les soirs qui suivirent, je reçu des bouquets encore plus impressionnants ! Le charme avait opéré. Je me retrouvais ensevelis sous les roses, mes sœurs me taquinait car je sentais la rose. Royce trouva cela divin et ne pouvait s'empêcher de me voler des baisers. Mes yeux lui faisait penser à des violettes. Ainsi il m'envoya des roses accompagné de Violettes. Il était fou de moi et j'étais très éprise de lui. Il était le meilleur partit de la ville et moi la fille considérée comme la plus belle de la ville. Tout était réunis pour faire le plus beau des mariages.

Royce ne tarda pas à me faire sa demande. Je jubilais! tout se réalisait comme dans mes rêves les plus fous, sinon mieux. Les préparatifs du mariage commençait, mes parents décidèrent d'organiser cela dans notre magnifique jardin. Je décidait alors d'aller chez ma meilleure amie, Véra, pour la rendre folle de jalousie. Je passai la soirée chez elle et me mis à rêver du futur petit garçon que j'aurais bientôt moi aussi! Ce n'était maintenant plus qu'une question de temps.

Je m'étais un peu attardé chez elle et il se faisait tard. Je décidais de rentrer à pied car je n'habitais pas loin.

La suite tout le monde la connait.

Ce furent les dernières minutes de ma vie...

Allongés par terre à attendre la mort...Jamais je n'aurais cru cela possible de survivre à cela.

Je priai pour que ce soit un cauchemar. Je réussie à entrevoir une silhouette familière penché sur moi, Carlisle, l'être si magnifique, le médecin de la ville était là. Mais il ne pouvait rien faire, je sentais mes forces quitter mon corps lorsque soudain une douleur violente et aiguë se fit sentir dans mon cou, j'avais l'impression qu'on m'avait arraché la tête. Je sombrais peu à peu dans le néant. Mais cette douleur allait me maintenir éveillé pendant plusieurs jours.