Tristes fantômes d'un monde désarticuléIls tendent leurs branchages morts au froid plus mort encore
Funambules sans équilibre dans ce monde noir
Tétaniser face à ta présence ô vent terrible
Ton souffle furieusement les dépouillent de leur bien le plus précieux
Mais ne savent il dont pas
Que de leurs cendres bientôt il renaîtrons ?
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Le cœurs des cœurs
Poetry« Lire un objet ça demande de s'oublier un peu pour laisser la place au passé d'un autre. Passer les miroirs, ça demande de s'affronter soi-même. » (p. 63) Christelle Dabos la passe-miroir Entre donc lecteur et laisse toi le plaisir d'errer dans ce...