Episode 7

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Ryan continue à me mettre des coups, je lui sert de punching-ball. Il est plus âgé que moi de trois ans, avoisinant les 1m90, un teint claire, plus physique que moi. Attristée de me voir dans cette situation, elle intervient :
- Emma : Arrêtes déjà Ry.
- Ryan : Fermes ta gueule, tu m'as dit qu'il t'a juste utilisé sexuellement et qu'ensuite il t'a laissé tomber. Je suis venue le tabasser parce que j'en ai eu assez de te voir pleurer pour ce con.
- Emma : Il y'a deux ans, c'était pourtant ton ami.Laisses le s'il te plaît Ry.
- Ryan : C'est bon tu m'as soûlé. Je vais à la maison. Si je te vois encore pleurer pour lui, tu verras.
Il s'en va, je suis assis à même le sol, elle vient vers moi et essuie mes égratignures avec un mouchoir. Je me rend compte que je l'avais profondément blessé avec mon attitude.
- Désolé de t'avoir appelé Alice pendant nos ébats. Ce n'était pas un fait exprès, j'ai quelques soucis avec elle.
- Emma : Excuses acceptées.
Elle est gentille, des sentiments pourraient peut-être naître en la côtoyant un peu plus. Je lui fais un bisous et me sépare d'elle en lui disant que je dois me rendre autre part. Je propose donc par messagerie à Dylan et Yanis d'aller manger à la Bodega, un restaurant situé à Mbolo dans lequel nous avons l'habitude de manger. Ils sont d'accord, chacun rentre d'abord à la maison prendre un bain et porter un vêtement adéquat. Je met un pantalon jean, une basket Adidas Stan Smith blanche, un sweat-shirt blanc Tommy Hilfiger. Papa me tend un billet de dix-milles francs pour la sortie, je le remercie et je prends un taxi pour Mbolo. Je retrouve mes compères juste à l'entrée puis on se dirige vers le restaurant. À l'entrée de ce dernier, on aperçoit Alice, Emma, Ludmilla et une belle inconnue en train de prendre des glaces. Elles nous font des signes de main pour qu'on puisse se joindre à elles. Mince je n'avais pas envisagé un tel scénario. On est arrivé à leur table, on fait des bises aux filles (putain je ne voulais pas rencontrer Alice, elle m'énerve à un point). La belle inconnue me regarde assez froidement. Emma m'explique que c'est la cousine d'Alice et qu'elle s'appelle Lucie. Je comprends maintenant pourquoi elle me dévisage autant depuis mon arrivée. Elle a un teint marron, porte des lunettes, un jean skiny, une vans old school noire, un Marcel noir pour femmes laissant apparaître son ventre plat. Elle est courte, visage assez rond, beau physique et de belles formes dans l'ensemble. On mange, Dylan et Yanis discutent avec Alice, Ludmilla et Lucie, tandis que j'ai une conversation avec Emma. On parle de tout et de rien. Tout à coup, Dylan nous propose d'aller finir la soirée chez lui, personne n'y voit d'inconvénients. On règle l'addition et on prend des taxis pour Batterie IV. Je profite pour aller saluer mes grands-parents pendant ce temps, les autres s'installent chez Dylan.
- Hey papi et mami, vous allez bien?Vous m'avez manqués.
- Mami : Je vais bien merci Jojo et toi ?
- Je vais bien mami merci.
- Papi : Viens dans mon bureau Jojo.
Il n'a pas l'air d'aller bien, je le suis jusqu'à son bureau il me dit de fermer la porte et se met à me parler :
- Papi : Jojo écoute moi attentivement. Je sais que tu as eus des attaques nocturnes récemment. Tu crois que ce ne sont que des rêves mais c'est réel. J'ai essayé de lutter spirituellement contre ces ombres qui te cherchent, mais je ne suis plus aussi puissant spirituellement que lorsque j'étais dans la fleur de l'âge. J'ai reçu un coup fatal pour te protéger, c'est pour ça que tu ne faisais plus de malaises ni de mauvais rêves depuis peu. Je ne mourrai pas maintenant mais je ne pourrai plus te protéger spirituellement. Je vais par contre te léguer un grand pouvoir qui se transmet depuis nos ancêtres et que ton père aurait dû obtenir. Mais tu es plus dans le besoin que lui.
- Papi tu sais bien que je ne crois pas en ces choses la.
- Papi : tends ta main pour recevoir le pouvoir.
- Kiakiakia on dirait une phrase que j'ai entendu dans Naruto papi. Je te laisse, je vais à une fête chez Dylan là.
- Papi : Non Jojo tends d'abord ta main.
- Okay vas y tiens ma main, de toute façon il ne se passera rien comme d'habitude.
Comme prévu, il touche ma main et rien ne se passe. Je lui dis donc au revoir, je fais de même avec ma grand-mère et vais chez Dylan. En arrivant, j'ai constaté que tout le monde était déjà détendu. Yanis et Ludmilla fument de la Marijuanas, Dylan boit du Kinprisky avec Emma, Alice et Lucie. Je leur demande si ils veulent que je leur cuisine des spaghettis avec du poulet grillé. Ils sont d'accord. J'enlève mon sweat-shirt, ne portant que mon débardeur marcel. Je vais à la cuisine préparer, Lucie me suit en prétextant m'aider. Je reçois un message de Yanis sur mon phone, il me dit de ne surtout pas aborder Lucie parce qu'il voudrait vraiment avoir une relation avec elle. De toute façon elle a la haine contre moi parce qu'elle est du côté d'Alice. Elle commence à frire le poulet, et je lance la conversation :
- Pourquoi tu as l'air si remontée contre moi ?
- Lucie : Tu te comportes mal avec ma soeur. Tu m'énerves.
- Elle te raconte de la merde. C'est elle qui se joue des hommes. Bref mieux on n'en parle plus.
- Lucie : Ohhhhh dja dja il y'a pas moyen dja dja genre !
- Mdr tu te prends trop pour Aya.    Quelques heures plus tard, le repas est prêt, on passe à table. On mange tout en discutant, tout le monde apprécie le plat. Puis je vais à la terrasse avec mes bro, et on fait le point.
- Dylan : Oui les gars je vais encore me faire Ludmilla cette fois-ci. Elle a dit qu'elle dormira avec moi.
- Yanis : Wahhh les gars j'essaie de dormir avec Lucie, elle est trop en forme la meuf, en plus elle a du caractère. Ne la touchez pas , elle me plaît vraiment.
- Je suis exténué les gars, en plus Alice me soûle et je ne veux pas dormir avec Emma. Je vais dormir seul.
Je préviens papa que je passe la nuit ici, dis bonne nuit à tout le monde et je vais dormir. Lucie ouvre la porte de la chambre et s'énerve contre moi parce que je les laisse pour aller dormir. Elle me traite d'irrespectueux et me gifle. Putain déjà que j'ai naturellement un comportement machiste, recevoir une gifle de la part d'une fille n'arrange pas les choses. Je la pousse violemment et la plaque contre la porte, je lui donne une gifle puis l'étrangle légèrement. Elle me regarde dans les yeux, des larmes coulent des siens. Elle rapproche  doucement son visage du mien malgré mon étreinte. Elle m'embrasse, je continue à étreindre son cou avec ma main droite tout en l'embrassant. On va sur le lit, mon cœur bat la chamade, je lui demande quelles sont ses zones érogènes.
- Lucie : Je suis en extase quand on me caresse le bas ventre ou le bas des cuisses.
Je m'exécute, j'enlève son marcel et son jean skinny, je fais des suçons un peu partout sur elle, j'embrasse ses cuisses, ainsi que le bas de ses cuisses, je touche ses tétons en même temps elle gémit. Elle me dit que depuis qu'Alice lui a racontée comment je l'ai b****, elle rêve de le faire avec moi. J'enlève mon débardeur, la fait asseoir sur mon sexe, elle pousse des cris stridents. Je fais des vas et viens quand soudain j'entends quelqu'un cogner à la porte, je demande qui s'est et je me rends compte par la voix de la personne que c'est Yanis... ta gueule, tu m'as dit qu'il t'a juste utilisé sexuellement et qu'ensuite il t'a laissé tomber. Je suis venue le tabasser parce que j'en ai eu assez de te voir pleurer pour ce con.
- Emma : Il y'a deux ans, c'était pourtant ton ami.Laisses le s'il te plaît Ry.
- Ryan : C'est bon tu m'as soûlé. Je vais à la maison. Si je te vois encore pleurer pour lui, tu verras.
Il s'en va, je suis assis à même le sol, elle vient vers moi et essuie mes égratignures avec un mouchoir. Je me rend compte que je l'avais profondément blessé avec mon attitude.
- Désolé de t'avoir appelé Alice pendant nos ébats. Ce n'était pas un fait exprès, j'ai quelques soucis avec elle.
- Emma : Excuses acceptées.
Elle est gentille, des sentiments pourraient peut-être naître en la côtoyant un peu plus. Je lui fais un bisous et me sépare d'elle en lui disant que je dois me rendre autre part. Je propose donc par messagerie à Dylan et Yanis d'aller manger à la Bodega, un restaurant situé à Mbolo dans lequel nous avons l'habitude de manger. Ils sont d'accord, chacun rentre d'abord à la maison prendre un bain et porter un vêtement adéquat. Je met un pantalon jean, une basket Adidas Stan Smith blanche, un sweat-shirt blanc Tommy Hilfiger. Papa me tend un billet de dix-milles francs pour la sortie, je le remercie et je prends un taxi pour Mbolo. Je retrouve mes compères juste à l'entrée puis on se dirige vers le restaurant. À l'entrée de ce dernier, on aperçoit Alice, Emma, Ludmilla et une belle inconnue en train de prendre des glaces. Elles nous font des signes de main pour qu'on puisse se joindre à elles. Mince je n'avais pas envisagé un tel scénario. On est arrivé à leur table, on fait des bises aux filles (putain je ne voulais pas rencontrer Alice, elle m'énerve à un point). La belle inconnue me regarde assez froidement. Emma m'explique que c'est la cousine d'Alice et qu'elle s'appelle Lucie. Je comprends maintenant pourquoi elle me dévisage autant depuis mon arrivée. Elle a un teint marron, porte des lunettes, un jean skiny, une vans old school noire, un Marcel noir pour femmes laissant apparaître son ventre plat. Elle est courte, visage assez rond, beau physique et de belles formes dans l'ensemble. On mange, Dylan et Yanis discutent avec Alice, Ludmilla et Lucie, tandis que j'ai une conversation avec Emma. On parle de tout et de rien. Tout à coup, Dylan nous propose d'aller finir la soirée chez lui, personne n'y voit d'inconvénients. On règle l'addition et on prend des taxis pour Batterie IV. Je profite pour aller saluer mes grands-parents pendant ce temps, les autres s'installent chez Dylan.
- Hey papi et mami, vous allez bien?Vous m'avez manqués.
- Mami : Je vais bien merci Jojo et toi ?
- Je vais bien mami merci.
- Papi : Viens dans mon bureau Jojo.
Il n'a pas l'air d'aller bien, je le suis jusqu'à son bureau il me dit de fermer la porte et se met à me parler :
- Papi : Jojo écoute moi attentivement. Je sais que tu as eus des attaques nocturnes récemment. Tu crois que ce ne sont que des rêves mais c'est réel. J'ai essayé de lutter spirituellement contre ces ombres qui te cherchent, mais je ne suis plus aussi puissant spirituellement que lorsque j'étais dans la fleur de l'âge. J'ai reçu un coup fatal pour te protéger, c'est pour ça que tu ne faisais plus de malaises ni de mauvais rêves depuis peu. Je ne mourrai pas maintenant mais je ne pourrai plus te protéger spirituellement. Je vais par contre te léguer un grand pouvoir qui se transmet depuis nos ancêtres et que ton père aurait dû obtenir. Mais tu es plus dans le besoin que lui.
- Papi tu sais bien que je ne crois pas en ces choses la.
- Papi : tends ta main pour recevoir le pouvoir.
- Kiakiakia on dirait une phrase que j'ai entendu dans Naruto papi. Je te laisse, je vais à une fête chez Dylan là.
- Papi : Non Jojo tends d'abord ta main.
- Okay vas y tiens ma main, de toute façon il ne se passera rien comme d'habitude.
Comme prévu, il touche ma main et rien ne se passe. Je lui dis donc au revoir, je fais de même avec ma grand-mère et vais chez Dylan. En arrivant, j'ai constaté que tout le monde était déjà détendu. Yanis et Ludmilla fument de la Marijuanas, Dylan boit du Kinprisky avec Emma, Alice et Lucie. Je leur demande si ils veulent que je leur cuisine des spaghettis avec du poulet grillé. Ils sont d'accord. J'enlève mon sweat-shirt, ne portant que mon débardeur marcel. Je vais à la cuisine préparer, Lucie me suit en prétextant m'aider. Je reçois un message de Yanis sur mon phone, il me dit de ne surtout pas aborder Lucie parce qu'il voudrait vraiment avoir une relation avec elle. De toute façon elle a la haine contre moi parce qu'elle est du côté d'Alice. Elle commence à frire le poulet, et je lance la conversation :
- Pourquoi tu as l'air si remontée contre moi ?
- Lucie : Tu te comportes mal avec ma soeur. Tu m'énerves.
- Elle te raconte de la merde. C'est elle qui se joue des hommes. Bref mieux on n'en parle plus.
- Lucie : Ohhhhh dja dja il y'a pas moyen dja dja genre !
- Mdr tu te prends trop pour Aya.    Quelques heures plus tard, le repas est prêt, on passe à table. On mange tout en discutant, tout le monde apprécie le plat. Puis je vais à la terrasse avec mes bro, et on fait le point.
- Dylan : Oui les gars je vais encore me faire Ludmilla cette fois-ci. Elle a dit qu'elle dormira avec moi.
- Yanis : Wahhh les gars j'essaie de dormir avec Lucie, elle est trop en forme la meuf, en plus elle a du caractère. Ne la touchez pas , elle me plaît vraiment.
- Je suis exténué les gars, en plus Alice me soûle et je ne veux pas dormir avec Emma. Je vais dormir seul.
Je préviens papa que je passe la nuit ici, dis bonne nuit à tout le monde et je vais dormir. Lucie ouvre la porte de la chambre et s'énerve contre moi parce que je les laisse pour aller dormir. Elle me traite d'irrespectueux et me gifle. Putain déjà que j'ai naturellement un comportement machiste, recevoir une gifle de la part d'une fille n'arrange pas les choses. Je la pousse violemment et la plaque contre la porte, je lui donne une gifle puis l'étrangle légèrement. Elle me regarde dans les yeux, des larmes coulent des siens. Elle rapproche  doucement son visage du mien malgré mon étreinte. Elle m'embrasse, je continue à étreindre son cou avec ma main droite tout en l'embrassant. On va sur le lit, mon cœur bat la chamade, je lui demande quelles sont ses zones érogènes.
- Lucie : Je suis en extase quand on me caresse le bas ventre ou le bas des cuisses.
Je m'exécute, j'enlève son débardeur et son jean skinny, je fais des suçons un peu partout sur elle, j'embrasse ses cuisses, ainsi que le bas de ses cuisses, je touche ses tétons en même temps elle gémit. Elle me dit que depuis qu'Alice lui a racontée comment je l'ai b****, elle rêve de le faire avec moi. J'enlève mon débardeur, la fait asseoir sur mon sexe, elle pousse des cris stridents. Je fais des vas et viens quand soudain j'entends quelqu'un cogner à la porte, je demande qui s'est et je me rends compte par la voix de la personne qu'il s'agit de Yanis...

Chronique de John : entre amitiés et rencontres dangereusesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant