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La première fois que je l'est est vue était le jour où j'ai emménagé dans la résidence. Elle sortais de son appartement en pleurant. Quand elle a vue tout le monde a l'extérieur m'aidant à monter les cartons, elle essuya rapidement ses larmes avant de descendre les escaliers s'enfouissant pour partir dans la ville.

Ce soir là je l'est revue avec l'air plus apaiser. Elle m'as dit bonsoir et m'as souhaité la bienvenue avant de rentrer à nouveau dans son appartement.

Depuis je l'écoute à travers les murs de chez moi, ce qui n'est pas très difficile. Elle était malheureuse avec son mari, il passer leur soirée à se hurler dessus, elle crier toute sa haine et toute sa colère en pleine face. Lui aussi d'ailleurs, sa voix grave et forte résonne dans tout l'appartement au point que les autres voisins tapent contre le mur pour qu'ils cessent enfin leur bruit. Penchée sur le rebord de la fenêtre, je tire sur ma cigarette et laisse la fumer sortir de ma bouche quand j'entends à nouveau une énième dispute de la soirée puis une porte se claquer. Curieux de savoir qui a craquer, je marche rapidement vers la porte d'entré et l'ouvre en grand sans vraiment me soucier de quoi que se soit. Apparement j'ai le bon timing car je trouve juste en face de moi ma voisine qui se tient les coudes levant subitement la tête vers moi.

- Bonsoir messieurs Ackerman. Me dit elle en baissant légèrement la tête pour me dire bonsoirs.

Je lui répond aussi de la tête quand la porte s'ouvre à nouveau laissant voir son mari.

- Petra. Dit il fessant résonner sa voix dans le couloir.

Un homme blond qui doit faire deux fois ma taille. Il a un regard sévère et surtout d'énorme sourcil. Très rapidement il arrive à sa hauteur et empoigne son bras sauvagement. Elle tourne la tête vers moi d'un air gêné mais sont regard change rapidement en se posant à nouveau sur cette homme colossale.

- On rentres. Dit il en la tirant vers l'appartement.
- Tu as trois secondes pour me lâcher Erwin. Dit elle sans parler trop fort sûrement pour éviter de voir les autres voisin sortir.

Il n'as pas aimer ce ton, cela ce voit sur son visage, je l'est surtout remarquer quand il a commencer à lever sa main sûrement pour la frapper. Ma voisine, qui s'appelle Petra apparement, le fusille du regard comme pour l'inciter à ne pas le faire, mais celui ne semble pas vouloirs vraiment écouter. Instinctivement, je me suis élancer pour me mettre devant elle afin qu'elle ne se prend aucun coup. Erwin ne pouvais donc pas la toucher et est obligée d'abandonner son idée.

- Vous devriez sûrement la laissez prendre l'air. Sa nous feras du bien à tous. Dit-Je sans savoir pourquoi exactement je viens à son aide.
- Occupe toi de t'est affaires. Me répond t-il en fessant retentir sa voix.

Il a raison, je n'est pas à me mêler de ces affaires. J'en suis convaincue, je devrais les laisser faire ce qu'ils ont à faire. Et pourtant même en sachant cela je ne ne bouge pas d'un pouce. Pas que je souhaite rester, mais que je n'y arrives pas, je n'arrives pas a bouger. Je préfère simplement le regarder droit dans les yeux comme je le fait souvent, et cela a l'air de le perturber. Déterminer à vouloir me pousser de là, il s'approche à nouveau de moi en réduisant l'écart qu'il y avais entre nous.

- Je t'est demander de bouger de la minus. Ordonne t-il en articulant chaque mots.

Minus ? Il n'aurais pas pue trouver plus original ? Minable. Il ne vaut même pas mon intérêt. Je me retourne sur moi même pour me retrouver à quelques millimètre tu visage de la petite Petra. Elle devais faire que un ou deux centimètre de moins que moi, de là je peut regarder nettement son visage presque enfantin. De ces grand yeux brun, elle me regarde droit dans les yeux, de là où je suis je peut facilement me pencher vers elle pour y déposer un baiser sur ses lèvres légèrement rose, mais une certaine personne vient contrecarrer mes plans en me poussant violemment vers le mur. En même temps cette personne est son mari, si je lui avais rouler une pelle sa aurais était très problématique, surtout devant ce colosse.

Mais en même temps, même si cela m'arrange, sa me déplaît aussi la façon d'ont il m'as traité. Je monte en quart de tour et me précipite vers lui énerver avec un regard dur et sévère. Il en as tellement rien à faire de moi que je me demandes si il me voit, mais bien déterminer à me faire entendre, je l'attrape par le col et le tire violemment vers moi pour qu'il soit exactement à ma hauteur afin de lui cracher à la gueule mes pensées.

- Touche moi encore une fois et je te tue. Ne joue pas au plus malin avec moi c'est clair.

Je le pousse ensuite et retourne dans mon appartement en ne voulant pas croiser le regard de ma voisine. Arriver dans mon appartement je vais directement m'allonger dans mon canapé regardant mon plafond.

- Petra... Dis-je dans le vent.

Je revoie encore son visage à quelques centimètres du mien en me disant qu'elle aurais pue trouver largement mieux que ce vieux mec.

Pourquoi t'acharnes tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant