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Depuis que l'été est arriver au Japon, sortir dehors est insupportable. Je n'en peux plus, je sort seulement pour aller travailler et faire mes courses. J'ai l'impression de suffoquer, même la climatisation allumer. Je me lève alors d'un bond et ouvre mon frigo espérant trouver une bière fraîche, malheureusement j'ai finie la dernière hier. J'ai envie de me rafraîchir, alors je me motive, enfile un débardeur, et ouvre la porte de mon appartement.

Elle était là, les coudes sur le rebord regardant le paysage, portant une robe légère et une glace dans sa main. J'ai du rester quelques minutes à l'observer lécher sa glace heureuse d'avoir quelques chose pour se rafraîchir. Je me rend compte que je suis là depuis quelques minutes quand je sent une goutte de sueur couler le long de ma joue. Je cligne plusieurs fois des yeux comme pour sortir d'un rêve puis je ferme la porte derrière moi.

Quand je me retourne, elle me regarde avec un large sourire sur le visage, elle baisse légèrement la tête pour me dire bonjour et je lui répond en fessant de même.

Je finis par rentrer, montant les escaliers et est surpris de la revoir mais cette fois si assise contre le mur les yeux fermer. Pensant qu'elle dormais, je me suis dirigée sans bruit vers mon appartement. Mais au moment d'ouvrir la porte, la peur me gagne et je me précipite vers elle. La respiration saccadé, j'essaye d'approcher ma main tremblante vers elle, vers son visage apaisé. Je dépose ma main au dessus de sa tête et chuchote.

- Petra... Commence-je.

Elle ne prend pas longtemps pour réagir et ouvre les yeux instinctivement. Je regarde intensivement son visage pour détecter quelques chose de travers et pourtant je n'y trouve rien. Elle a l'air parfaitement normal et en bonne santé. Elle lève les yeux au ciel pour regarder ma main poser sur ses cheveux puis sont regard revient vers moi me détaillant.

- Messieurs Ackerman ? Demande t-elle en élevant ma main. Vous allez bien ?
- Heu... oui, j'ai crue que vous... enfin ce n'est rien.

Je me lève et retourne dans mon appartement sans me retourner trop honteux d'avoir agit ainsi avec elle.

Il n'était que huit heures du matin et la chaleur était déjà insupportable. Quand je sors de l'appartement, je voit mon voisin Erwin titubant vers moi. Il avais l'air complètement soûl est à dû boire jusqu'au matin pour être dans cette état. Préférant éviter d'avoir des soucis juste avant d'aller travailler, je l'ignore en passant à coter de lui mais celui ci n'as pas l'air du même avis en me jetant violemment contre le mur, mettant une pression dans mon cou.

- Toua... je t'est vue... Dit il d'un ton lent.

Son haleine me répugne, je n'avais vraiment pas le temps pour ça. Alors ne comprenant pas ce qu'il voulait dire, j'ai donner un coup dans son genou et il c'est écrouler en moins de temps qu'il n'en faut. Sans me dépêcher pour lui montrer que ses menaces ne m'atteint pas, je descend les escaliers pour ensuite prendre ma voiture et aller au travail.

Le soleil est en train de se coucher quand je rentres chez moi, traînant mon corps dans les escaliers, j'arrive enfin à mon étage. Mes pieds s'arrêtent instinctivement devant la porte de mes voisins en les entendant hurler à nouveau. Je regarde la porte me demandant comment pouvais t-elle faire pour accepter un tel traitement ? Trouvant mon comportement ridicule, j'avance un peu. La porte s'ouvre d'un coup évitant de peu de me bousculer violemment. Petra complètement remonter sort de l'appartement en marchant tout droit et attrape la rembarre en face d'elle. Juste à côté d'elle, une bouteille vide s'éclate à ses pieds. Doucement, elle tourne la tête vers ses pieds, et se baisse en prenant soin de prendre un morceau à bout pointu. Elle tourne sur elle même, et toujours son bout de verre dans la main, marche vers l'appartement. Elle aller faire une bêtise, je le sentais, alors j'ai attrapé son bras. Surprise elle tourne la tête vers moi les yeux écarquillés.

Je sentait qu'elle avais l'air de comprendre le message que je veux lui faire passer, mais moi aussi j'ai compris le siens dans ses yeux me demandant clairement de lui laisser s'occuper de ses affaires. Je n'est pas attendue longtemps pour la lâcher.

Elle reprend son chemin et ferme la porte derrière elle. Même si je le voulais, mes jambes ne me répondent plus, j'écoute à nouveau ce qui passe. Un silence, puis un cris grave, et pour finir un nouveau silence. Je repart vers mon appartement, et finit ma soirée en me prélassant dans mon canapé.

******

Je suis réveillé par des bruits incessant contre le mur. Des bruits réguliers, pas d'humains, sa taper encore et encore. J'éteins la télé qui est rester allumer, pour entendre plus précisément. Ces coups contre le mur étaient accompagnée de grincements. J'ai eu des haut le cœur quand j'ai enfin compris de quoi il s'agissait. Mes voisins copulent sans aucune retenue, quand ils ne font pas de bruits avec leur voix, c'était avec leur bassin qu'ils m'empoisonnent. Comment pouvais t-elle se donner ainsi après la manière dont il la traite ?

Tous deux m'écœure. Me répugnent. Préférant ne plus penser à ça, je me lève du canapé ou je me suis endormit, puis pars me reposer dans ma chambre où je m'endors rapidement.

Pourquoi t'acharnes tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant