12.

216 10 3
                                    



- Eren. Eren Jeager.

Oh merde.

- Je voit... tu veux acheter quelques chose ?
- Ne te fou pas de moi. Déménage.
- Ah d'accord donc on y vas direct, on se balance à la gueule ce qu'on veux comme ça ! Sans retenue ?
- J'ai pas de temp à perdre avec une pauvre fille.
- Déjà tu vas éviter de m'insulter. Ordonne-ai-je déjà énerver de sa venue ici.
- Oh pitié ! Dit il levant les yeux aux ciel. On sait très bien tout les deux que je te déteste, pas besoins de faire semblant.
- Très bien. Donc sa te dérange si je te demande d'aller te faire foutre loin de moi pour toujours et à jamais ?
- Mais tu compte gagner quoi en restant avec lui ? Tu ne sais rien de ce mec ! Tu n'as en aucun cas rien qui l'intéresse entre tes jambes à part ta vieille chatte.

Quand je le regarde dans les yeux j'ai envie de le tuer, de prendre sa tête et de la taper contre le mur pour que son sang gicle partout. Et je le ferrais laver sa propre merde avec sa langue.

- Tu n'as rien de ce qu'il faut pour le charmer. Regarde toi, tu me dégoûtes.

Et puis franchement, entre nous qui vas m'en vouloir hein ? Ce mec je le connais pas, ni lui, ni sa famille. Alors je me laisse... comment dire... aller... porter par le courant... et je prit... Prit pour que le poing que je viens de lui donner lui a casser le nez. Prit pour que je me fasse pas virée en le traînant par le col et en le jettent hors de la boutique. Prit qu'il ne me demanderas pas de dédommagement et surtout des excuses. Et je prit encore que mon patron ne soit pas trop en colère quand il verras que j'ai déserté le travail pour aller boire quelques pinte de bière bien fraîche.

******

J'en peux plus de ma journée, je suis épuisé. Je défait ma cravate en montant les escaliers. J'ouvre la porte d'entré, enlève mes chaussures et entre dans l'appartement.

- Je suis rentrée. Dit-Je pour annoncer ma présence.

Elle finit d'essuyer la casserole tout en me disant bonsoir. Je part dans la chambre pour adopter une tenue plus confortable. Quand je reviens, elle finit de mettre la table et je n'est cas m'assoir pour pouvoir commencer à dîner. Elle s'installe en face de moi, et commence elle aussi a manger en me souhaitant un bonne appétit.

Ce n'est pas comme si nous avions l'habeide de discuter jusqu'à en perdre haleine, mais aujourd'hui elle a l'air étrange. Son regard est lointain et fuyant. Elle était comme désemparé. Pourtant elle finit par lever subitement la tête vers moi.

- Je peut te poser une question ? Me demande t-elle.
- Essaye toujours.
- Es-tu homo ?
- Ce n'est pas évident ?
- Donc tu ne t'intéresses absolument pas aux femmes ?
- Je n'est pas dit ça.
- Je veux l'entendre clairement de ta bouche. Insiste t-elle.
- Ou veux tu en venir ?
- Tu me trouves attirante ? Finit elle par me demander en me mettant au passage mal à l'aise.

Pour le coup, je ne savais même pas où regarder à ce moment là. J'ose à peine croiser ces yeux de peur de m'y perdre. Je l'entend continuer à manger, sa a du lui passer.

Quand j'ai commencé à débarrasser la table, elle a disparut dans sa chambre. Je n'est pas chercher à comprendre ni encore moins à la questionner. Alors je finit de laver la vaisselle, pars me laver dans la salle de bain puis va en direction de ma chambre. Allongée dans mon lit en lisant un des livres que j'ai secrètement emprunté à Petra, je ne voit pas le temps passer.

Bon, je m'ennuie. Je sors de mon lit et vas dans la chambre de Petra. J'ouvre la porte sans toquer, une vieille habitude qui c'est installé. J'entre dans sa chambre et ferme la porte derrière sans pour autant lâcher mon regard d'elle. De là où je ,suis je ne voit que ses jambes et une partie de son dos. La fenêtre grande ouverte, elle tire sur la cigarette avant d'extirper la fumée de sa bouche. Je m'approche d'elle jusqu'à la décaler un peu pour pouvoir moi aussi poser mes coudes sur le rebord de la fenêtre. Elle continue à regarder la ville plonger dans le noir, sans vraiment faire attention à moi.

- La dernière fois que je t'est vue fumée une cigarette, c'était après la dernière
visite que tu as fait à Erwin. Lui dit-Je en lui volant sa cigarette entre ces doigts.

Après ce geste, j'ai soudainement attiré son attention. Je porte la cigarette à ma bouche, inspire de la fumée et le souffle doucement sur son visage. Elle n'as pas l'air d'apprécier, elle fait la grimace et s'évente le visage pour faire partir la fumée.

Je lui avais tendu une perche pour qu'elle m'explique ce qui ne vas pas, mais celle ci ne dit rien et continue à me regarder finir sa cigarette. Sans quitter son regard intense, j'écrase la cigarette sur le rebord tout en soufflant une dernière fois sur son visage.

- Roh mais t'arrête oui ! Dit elle enfin.

Allez savoir mes envies présent, pourquoi maintenant ? Pourquoi craquer face à cette mine dépitée. Je n'en est aucune idée, mais pourtant même sans savoir déjà ce que je fais ici, mes lèvres s'avancent naturellement vers les siennes et vient même les scellées dans un petit baiser chaste. Un peu perturbé par mon comportement, et ne préférant pas la gêner d'avantage, je m'écarte doucement quand je sent qu'elle m'agrippe le cou.

- Petra ? Lui demande je pour savoir ce qu'elle fait.
- Chut. Me donne t-elle comme réponse en continuant.

Pour qu'elle raison je devrais me sentir mal ? Après tout, si cela ne la dérange pas. Alors approuvant, je l'accompagne dans ce baiser qui avec le temps deviens de moins en moins chaste. Tout en l'embrassant j'en profite pour effleurer sa peau en passant mes mains glacer sous son débardeur.

Je la sent abandonner mon cou pour passer elle aussi ses mains sous mon tee shirt. Après ça je lui enlève totalement son débardeur en le jetant à travers la pièce quand elle se décale de moi en mettant ces bras sur ses seins nue.

- Mais t'est con ou quoi ! M'engueule t-elle.
Tu vois pas que la fenêtre est ouverte ? Poursuit t-elle dans le même élan.

Je tourne la tête en m'assurant que personne ne l'est vue. Je la ferme tout de suite après et tire les rideaux. Je pouvais encore sortir la chaleur de ses lèvres sur les miennes, mais trop têtu pour la laisser partir comme ça, je la tire vers moi reprenant ainsi notre baiser avant de la jeter sur le lit.

Tout deux finissons par arrêter par manque d'air. De ses yeux bruns, elle m'observe comme détaillant chaque partielle de mes pupilles. Elle me lit et me décrypte. Tout deux avons pris un moment pour nous observer, ont savait cas partir de maintenant, de ce qui va suivre, rien ne serras comme avant. La relation de colocataire qu'on avais investie, cette complicité, tout sa auras disparue au moment où je pénétrais en elle et que je croquerais voracement dans sa chair. Mais j'y suis prêt, cela ne me fait pas peur. Je veux qu'elle m'appartienne. Je comprend que ce sentiment est réciproque, quand elle enlève mon haut, puis quand elle dépose ses merveilleuses lèvres aux creux de mon cou scellant ainsi sa marque sur mon corps.

Pourquoi t'acharnes tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant