tend moi la main

Jour 2

ON ENTRE ! 

Il est la toujours dans mes bras à sa haïr , sa fait plusieur heure que je ferme les yeux quand il se met à crier , à s'insulter ou à se frapper . Se sentir impuisssante est terrible . Mais je le sais entre de bonnes mains avec les infirmiers . Il faut que je prenne l'air... Je sors des toilettes et mes bras sont réapparuent avec des point de sutures . D'ailleurs qu'es qu'ils m'ont fait depuis que je suis partie ? Je me dirige jusqu'à mon corps et je suis allonger dans une salle sombre . Je suis seul et dans le coma . Comme dieu me l'avais dit ... Mes bras ont plusieurs point de sutures . Faut dire que je me suis pas louper ... Je suis fatigué de ma journée et je me sens absorber dans mon enveloppe pour y passer la nuit au chaud . Je me repose ainsi queqlues heure et j'y repense . Dans cet hôpital je ne suis surement pas la seule à être condamné au coma pour quelques jours ...! Je me lève de mon lit dans l'espoir de ne pas passer le séjour de punition seul ! Je me dirige vers les salles de repos où se trouve les gens dans le coma . J'entre dans plusieurs pièce , j'y croise des enfants dont la plupaarts ont mon âge , certains sont malades ou gravement bléssé mais les plus nombreux sont les personnes agés qui eux s'en vont très vite... Mais je ne croise aucune âme . A mon grand désespoir... Je me dit que sinon se ne serais pas une punition... 

Je repense à Loïc , je n'arrête pas... Quand un bruits de gens affolé se fait entendre depuis le hall ! J'y descends pensant reconnaître la voix de mes parents .... Je n'avais pas tord ... 

Ou est notrre fille ! Elle va bien !? Que lui est-il arrivé ? Et ou est-elle ! 

Mes parents sont à la fois fou de rage et fou d'inquiétude , l'infirmière leur demande de passienter dans la salle d'attente vant qu'un médecin ne vienne leur expliquer . Ma mère est au bord des larmes et mon père ne cesse de la tenir fort contre elle . J'ai peur pour la santer de ma mère . Elle fait la durs mais le stresse est son pire ennemie ! 

Maman je vais bien ! Je suis là et je vais m'en sortir ! J'en ai pour 3 jour de repos en attendant prend soin de toi ! Je t'aime tellement ...! 

Je me retiens de pleurer parce que je pense que les âmes de mouchoir ça n'existe pas ! Mes parents rentre dans la salle d'attente et je vois Loïc dans un coin qui prend trois chaise pour dormir . Il est juste muni d'un sac pour oreiller et de mon écharpe comme couverture . Je lui avait passer quand j'était venu chez lui ... Son geste me fait sourire . 

Papa et maman : Loïc ? 

Loïc : PARDON ! JE NE VOULAIS PAS ! Pardonnez moi pitié !

Papa : QU'ES QUE T'A FAIT A MA FILLE !

Maman : Calme toi on est dans un hôpital chérie !

Papa : T'en mieux il sera plus vite soigné !

Loïc : J'étais au parc avec elle et elle avait des problème à l'école ! Je n'ai pas su l'aider et elle a couru sans que je puisse la rattraper ! 

Maman : QU'ES QUI LUI EST ARRIVER ENSUITE !

Papa : QUEL GENRE DE PROBLEME ! 

Loïc : Le genre qui lui collé à la peau ! Des garçon l'ont harcelé et j'ai voulu l'aider mais elle à refuser mon aide ! Elle leur à réglé leur compte mais ensuite il y à eu des gens qui ont pirater sont portable et une photo d'elle photoshoper à leur avantage à été diffuser dans son école . Elle n'en pouvais plus et elle à trouver un couteau sur son passage et à tenter de mettre fin à ses jours dans une plaine du parc ... 

Il s'effondre en larme devant mes parents en répétant une prière de pardon . Il ne leur à pas raconter ce qu'il m'avais fait mais de toute manière je n'aurais pas voulu .

Ce n'est pas sa faute pitié ! Je ne peux pas avoir de contact avec vous alors ne le laisser pas dans le froid s'il vous plaît . 

Je le sers dans mes bras alors qu'il est à genoux devant mes parents . Ceux ci sont choquer . Tendis que mon père se retourne et accours redemander des informations sur mon états , ùa mère relève Loïc et le remet sur la chaise .

Maman: Sa va aller mon grand elle va s'en sortir ... 

Il passe toute la soirée ensembles en attendant les médecins qui viennent leurs expliquer que je suis pour l'instant dans le coma pour une durée indéterminé et les procédures à suivre . Mes parents sont inquiet . Ils préviennent la famille et Loïc retourne avec sa mère chez lui . J'ai essayé de le suivre mais il y à comme une barrière qui m'empêche de sortir... 

Loïc.... me laisse pas.... 

Le plus durs c'est de lui tenir la main et de la voir partir là où je ne peux pas le suivre ... Pourquoi j'ai fais ça... Mais il me reste mes parents ! Je les rejoins et un truc me dérange ... Il ont pris 30 ans en quelques heures ... Tous sa c'est ma faute . Jamais je n'aurais dut faire un truc pareil ... Je ne me sens pas bien du tous . Loïc , mes parents , ma familles ... je les ai tous fait pleurer ... par ma faute ils s'inquiètent pour moi alors que...que il ne faut pas  ... 

Mais en y repensant ... Lorsque on fait ça , dans la logique c'est qu'on a besoin d'aide . C'est un appel . Et je déteste l'idée qu'on s'intéresse à moi . Je n'en vaux pas la penne ! non ? Depuis toujours on m'a très peu demander comment ça aller.. Et quand c'était la cas je disais que oui . Je ne voulais pas attiré le regards sur moi et pourtant . C'est ce que je viens de faire .... Mais quel idiote ! Je me hais ! J'ai besoin de dessiner , j'en ai vraiment besoin ... Il faut que je puisse posé sur le papier ce qui m'arrive ! Sa me ronge ! Toutes ses information , toutes ses répétition d'une même perpétuelle pensée . Je pense savoir quel mal cela me fait réellement depuis toutes ses années . Tu m'étonnes que mon corps est décidé d'en finir ! Mais il était là , lui , je ne pouvais pas lui faire ça... 

Plongée dans mes pensée j'oublie que la nuit tombe . Je me balade à nouveau dans l'hôpital et tombe sur ma porte ouverte . L'infirmière s'occupe de moi ... Gênant ... Je vais dormir avec mes parents ce soir ... Je les suis à leur chambre pour dormir à l'hôpital . Je viens de pensée que au final je vais plutôt dormir dans mon corps . Oui quand je vois mes parents se tenir la main ça me rappel qu'ils sont en couple et que même en tant qu'âme je leur doit un peu d'intimité ! 

Je m'endors alors dans mon enveloppe encore une nuit , la dernière normalement ! 

Allez ! J'espère que de là bah tu penseras toujours à moi Loïc ! Mais ne pleure pas ... je t'aime ...