Primal Rage [EN PAUSE]

Chapitre • I

Trois ans après la mort du seigneur des pirates, Gol D. Roger, un heureux événement arrivait sur île de Towika. Tout le village était attroupé autour d'une bâtisse blanche avec en son centre une croix et un ''H'' rouge. Dans la chambre six cent soixante six de ce bâtiment, les sages-femmes courraient dans tous les sens allant chercher du matériel.

Un grand homme brun aux yeux rouge faisant les cents pas au milieu de celles-ci tout affolées. Un docteur en blouse blanche essayait tant bien que mal de le calmer mais rien n'y faisait. L'homme ne se détendait pas. Son stresse était du manque d'information sur sa petite sœur qui se trouvait dans la salle d'à côté. Dans cette chambre une femme dont des gouttes de sueurs perlaient sont front était en plein travail, son accouchement était des plus difficiles. Accouchée d'une paire de petites jumelles n'était pas une masse à faire.

Ses cheveux écarlates légèrement mouillés par les efforts, ses yeux rouges humides et son visage crispé se détendirent à l'arrivée de ses deux petites filles.

Prenant une à une les deux enfants dans les bras, il les donnait à la mère biologique qui sourit tendrement à leur vue en versant une petite larme.

Son frère fut amené dans la chambre où les petits pleures résonnaient. En entrant dans la chambre, la jeune maman dont le regard était rivé sur ses filles, tourna la tête vers son frère au bruit de la porte.

Elle lui lança une doux et détourna son regard vers les deux petites. Le grand ne dit rien et partit se jeter dans les bras de sa petite sœur la serrant dans ses bras. Il se décala légèrement et observa ses deux nièces.

Ne réalisant pas tout de suite, il resta de marbre et changea du tout au tout quelques secondes plus tard. Le visage de l'homme fut maintenant rempli de larme toutes aussi grosses les unes que les autres.
La jeune femme rigola doucement à cette vue émouvante. Un nom. Il fallait leur donner un nom.

« _Maëlys et Amélys. »

Il posa son front contre celui de sa sœur en la félicitant pour son magnifique travail qu'elle avait fournie. Après ce moment, émotion, l'homme courut jusqu'à la fenêtre, l'ouvrit en grand, passa sa tête ainsi que son torse dehors et cria la nouvelle a la foule. Ce fut comme un boom chez les habitants en bas. Tous sautèrent et crièrent de joie lançant tout ce qui leurs passés sous la main.

Seulement, un an après la joyeuse nouvelle, le malheur commença à s'abattre sur les deux jeunes enfants. À ce moment, leur oncle et les autres habitant de la joyeuse ville de Towika avaient tous changeais. Les habitants si joyeux avec leurs visages pleins de gaietés, toujours le sourire aux lèvres avant étaient maintenant remplis de haine.

La raison ?

Elle était inconnue. Personne ne leur avait jamais dit. Ils préféraient les méprisaient de loin comme des lâches. Quand elles sortaient des phrases haineuses leurs parvenaient de partout.

« _Leurs naissances sont elles-mêmes des erreurs »,
« _Personne ne les aimeras »,
« _Leurs propre suivies est une punition »,
« _Elles ont en elles, le pêche Akêdía ».

Cela ne se serait jamais produit, s'ils ne l'avaient pas appris. Tous ces regards de peur mélangés à une grande colère.

Qu'avaient-elles fait pour qu'ils les détestent ainsi ?

Seulement, le destin, ne voulant leurs bonheurs, une maladie incurable toucha leur mère, deux ans après la naissance des deux petites. Une maladie remplissant, peu à peu, les poumons de sang provoquant un étouffement chez la victime. Elle la maladie l'emporta six mois après le diagnostic.
Ne connaissant pas l'identité de leur père et étant considérées comme de la mauvaise herbe dans leur village natale, les deux petites filles étaient maintenant livrées au monde cruel qu'était la vie.