Do or Die [Tome II]

Chapitre 2

PDV Externe :

Dans un geste vif, le brun ouvrit la porte et tomba sur une chambre aussi grande que luxueuse. Les meubles de la pièce étaient, pour la plupart, fait des matériaux les plus riches qu'on pouvait trouver dans ce monde. Les rideaux et les draps étaient fait d'une soie au couleurs or et rouge.
Une grande vitre donnait sur une terrasse à laquelle Eren vu Livai. Ce dernier, qui avait remarqué la présence de l'intrus, rerentra dans la chambre.

Livai : Tiens ... On dirait que l'un d'entre eux a réussit à arriver jusqu'ici.

Le noiraud avait une telle prestance. Le bras était presque admiratif envers lui, impressionné par la taille de ses deux grandes ailes qui ornaient son dos. Il semblait totalement différent du jeune adolescent perdu et maladroit qu'il avait connu auparavant. Et même si, en ce moment-même, se dresser devant lui le soi-disant Dieu de la Lune, il avait encore du mal à croire que tout ceci était réel.

Livai : Qui es-tu ?

Eren fronça les sourcils, pourquoi ne se souvenait-il pas de lui ?

Eren : Livai ... Tu ne te souviens pas de moi ? C'est moi, Eren !

Il essaya de s'approcher de lui, avant de soudainement se retrouver à quatre pattes, le front contre le sol par une force inconnue. Comment arrivait-il à faire ça ?

Livai : Je ne suis pas Livai, je suis Selíni ! Je suis ton Dieu, tu me doit le respect !

Eren : Tu t'appelle Livai et tu es un humain ! Tu as peut-être était un Dieu dans une vie antérieure, mais cette vie est terminée : tu n'es plus Selíni ! Tu vis maintenant dans le monde des humains, avec ta famille et moi, la personne que tu aimes !!

Le Dieu afficha un air surpris, avant de lâcher un petit rire narquois.

Livai : Oh ... c'est mignon. La '' personne que tu aimes '' ... Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi niais. Tu crois réellement que c'était sincère notre relation ? Je me suis servis de toi. Ce qu'on a vécu, tout était faux. Je ne t'ai jamais aimer.

Eren : Q-quoi...?

Livai : Il faut que je te le dise en quelle langue ? Je ne t'ai jamais aimer. Je me suis servie de toi pour atteindre mon but plus rapidement, tout en restant discret.

Le brun pût enfin bouger à nouveau et se releva rapidement.

Livai : Au moins, tout ceci n'aura pas servit à rien ... Grâce à toi, j'ai pût retrouver mon corps d'Apollon et mes pouvoirs. Je devrais te remercier, mais je ne suis pas connu pou-

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que le brun l'envoya valser plus loin. Il s'écrasa contre la vitre, qui se brisa et il tomba dans le vide. Il déploya ses ailes mais le phœnix se jeta sur lui à nouveau, l'envoyant jusqu'au sol. Les deux mains du brun exerçaient une forte pression sur son cou, l'empêchant de respirer. Un son presque inaudible et aiguë sortit de sa bouche, alors qu'il sentit les flammes de ce dernier brûler sa peau.