chapitre UN

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-Enfin te voilà, dis-je dans un soupire
-Cicéron s'excuse oreille noir mais vous n'étiez pas des plus facile à trouvé , répondit-il un léger sourire au lèvres
-Oui oui maintenant libère moi de cette cage.

Cicéron s'éxécuta et ouvri la porte de ma cellule. Une fois sortie je me dirigea vers le bureau du gardien. Je réclama sa dague à Cicéron et entra dans la pièce, je sauta sur l'homme qui si trouvais et ni une ni deux je lui trancha la gorge, le bougre se vida lamentablement de son sang. Après l'avoir tué je me dirigea vers un coffre et repris mon armure de la confrérie noir, la lame de la souffrance, ma sacoche contenant mes gemes spirituelle,mes potions de soin et de vigueur, ma bourse et bien sur mon précieux et fidèle wabajack. Je pris au passage la longue cape noir du gardien et la mis, je rabats la capuche sur ma tête afin de dissimuler mes long cheveux roux qui par ailleurs contraste énormément avec ma peau pâle , bien trop pâle pour un elf des bois mais bon. Une fois sortie je pris une grande inspiration, cela fesais bien un mois que j'étais enfermé dans cette cellule humide et sale. Je me dirigea ensuite vers le ragnard pervers, une fois entré j'avanca vers le contoir et commanda deux chopes d'hidromel, celle si servi je me retourna et pris place au côté de Cicéron, qui se trouvais assis à une table au fond de la pièce et lui tendi l'une des deux chopes. Deux hommes se mire à avancé vers nous , une fois à notre hauteur le premier m'adressa un sourire provocateur.

-Qu'est ce que tu veux , dis-je froidement
-Ta tête, rajouta le deuxième.

Normal qu'ils veulent ma mort, ma tête est mise à pris, 2000 ceptimes rien qu'à solitude.
Sens plus de cérémonies,je vida ma chope d'une traite, me releva attrapa ma chaise et la fracasa sur le crâne de se dernier. Cicéron qui comme à son habitude me suis dans les fait et geste avait cloué le second à la table et comme si se n'étais pas suffisant un garde entre au même moment, quel hasard. Par reflex, je sortis ma lame de son foureux et attrapa une jeune serveuse qui s'était dirigé vers nous, tres belle serveuse pour tout dire.

Cette dernière, dont je tenais le bras dans le dos, glissa discrètement un bout de parchemin dans ma main, je fis un faible sourire et ordonna au garde de se dégage de l'entrée se qu'il fis sens discuté, ou il allais avoir un mort civile sur la consiance. Une fois devant la porte je chuchota à l'oreille de la jeune femme,

-Merci, ma soeur
- Parté oreille noir, me dit-elle avec un demi sourire sur les lèvres.

Nous sortons de l'auberge et courons immédiatement jusqu'aux écurie de Solitude, là-bas se trouvais Crindombre, mon cheval. Je monta sur son dos et attrapa la main de Cicéron pour le faire monté avec moi. Je pris la direction d'Aubetoile afin de rejoindre notre sanctuaire. Après une journée ou plutôt une nuit à cheval nous étions arrivé à bon port, je desendi de mon cheval et m'approcha de la porte noir, une fois à sa hauteur j'entendis des paroles que je ne connaissais que trop bien ,

-Quel-est la plus grande illusions de la vie ?
-L'innocence mon frère, repondi-je en même temps que Cicéron
-Bienvenu cher vous .

Au même moment la porte s'ouvri et nous permettent d'entre dans notre sanctuaire. Je me dirigea vers ma chambre, saluent Babette au passage.

Une fois arrivé je détacha mes cheveux retira mon équipement et le déposa sur la table qui se trouvais non loin de la porte , je retira également mon armure et enfila une simple tunique qui m'arrive au genou . Je m'efondra sur mon lit pour me reposer un minimum, j'allais mendormire quand j'entendis quelqu'un frappé timidement à ma porte. Je donna la permission de rentré à la personne que je pense être Nazir car Babette entre sens prevenir et les autres fracase leurs point sur la peuvre porte. Je me redresa et fis Cicéron se tenir devant cette dernière.

Je me releva et m'approcha de lui afin de lui demande la réson pour la quel il était la car il ne vien jamais dans ma chambre.

-Oreille noir?questiona-t-il
-Que se passe-t-il Cicéron ?
-Cicéron à remarqué que l'oreille noir n'allait pas bien
- Et donc vous voulez savoir se qui se passe je suppose ?
-Non , Cicéron veux juste faire sourire l'oreille noir, dit-il avec un léger sourire.

Je ferma les yeux quelque secondes avant de sentir des mains se posse dans mon dos et des bras entouré mon corps. J'ouvris les yeux et fus surprise de voire Cicéron, l'homme le moin sérieux que je connaisse, me serrer dans ses bras mais je dois dire que se n'est pas désagréable. Je lui rendis son éteinte avant de me décolle à contre coeur de lui. Il riait en regaedent mes cheveux. J'attrapa mon miroire de poche et me regarda, j'avais les cheveux en bataille car je les avais détache sens les coiffé.

- Oreille noir, votre tête est des plus drole, dit-il un grand sourire au lèvres.
- Si je suis mal coiffé dit le tout de suite au lieu de te moquer, dis-je tout en prenant ma brosse en main pour essayée de dompté ma chevelure.

Face à ma galère Cicéron ne pus que rire de plus belle. Je senti un poids sur le lit et une main se posse sur la mienne et prendr ma brosse de mes main. Je lâcha cette dernière et le léssa faire, je ne le savais pas si délicat. Quand il eu fini je me pancha en arrière et m'appuia contre le torse de Cicéron se dernier possa sa tête dans mon cou et uma mon odeur.

- Vous avez une bonne odeur de fleurs.
- Vous trouvé ?
-Oui, oh que oui. Lavande.

Il possa l'une de ses main dans mes cheveux à présent coiffé et l'autre il la possa sur mon ventre. Je me redresa pour pouvoir me retourné et lui faire face, une fois fait je me blotti contre lui, ce dernier se léssa tombé sur le lit, m'entraînent dans sa chute. Je possa ma tête sur son torse me lèsent bersé par les batement de son coeur. Sens m'en rendre compte mes yeux se ferme et je me léssa emporté par le someille. Je me réveilla quelques heure plus tard dans les bras de Cicéron, son visage endormi est des plus magnifique, je remarqua rapidement qu'il ne portait plus son chapeau se qui lesait voir ses cheveux mi-long aussi roux que les miens. Je le détailla une dizaines de minutes, ses lèvres fine, son nez drois, ses yeux clos mais malgré sa doux. Je ne l'avais jamais vus de si près, je déposa délicatement mes lèvres sur son front avant de me relevé et de sortir de mon lit. Je retira ma tunique et la possa sur le rebord du lit, j'enfila un pantalon noir, avec une tunique écarlate à long manche, des bottes en cuir noir accompagné d'une cape noir et un long chapeau lui aussi noir décoré d'un ruban et bien noir. Je pris ma fidèle arme daedrique, la lame de la souffrance, une petite sacoche en cuir dans la quel j'avais mis ma bourse, deux fiole de poison, mon cahier de note ainsi que celui de dessin et bien sur de quoi écrire et illustré. Une fois paré je m'approcha de mon lit et réveilla Cicéron qui jusque là dormais à point fermé, ce dernière réveille je sorti de ma chambre et me dirigea vers notre salle commune. Je pris place à la table ou étais assi Nazir, et le salua d'un geste de la tête. Pas plus d'un quart d'heure plus tard le rouquin fis sont apparition, il étais vêtude son éternel tenue de bouffon et comme à son habitude avais une dague d'ebonite accroché à sa ceinture. Il portait en plus de tout sa l'une de mes cape bien évidement noir, Cicéron pris place au côté de Nazir. Le silence étais maître jusqu'à se que se cher Nazir décidé de le brisé

-Pouvons-nous savoir se que vous faites avec la cape de l'oreille noir, Cicéron
-Pauvre Cicéron avais froid, repondit-il sens quite Nazir des yeux.

Alors que le silence retombais je sorti de ma poche le bout de parchemin que la serveuse du ragnard pervers m'avais donné et commenca à le lire à voix haute

-" Junior, j'ai grandement besoin de ton aide, retrouve-moi à Épervier au plus vite. Ne parle et ne fais confiance à personne
Gwenaël "
- Alors , que fait-on, me demanda la petite vampire qui, comme à son habitude, ne préviens pas lorsqu'elle est dernière quelqu'un
- Je suppose que vous vous en occupé avec Cicéron, rajouta Nazir.

Il y eu quelque seconde de silence avant que je ne prononce trois mots qui rendis immédiatement son sourire à Cicéron,

- On attend quoi?

Hey voilà le chapitre un, j'espère qu'il vous plaît n'hésite pas à commenté et à me dire si quelque chose ne vas pas dans ma fanfic. Bien sûr se je vous dit au revoir et on se revois au chapitre deux.

L'âge Daedrique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant