L'âge Daedrique

Chapitre cinq

- Sa fais longtemps, junior.

Cette voix, c'est Gwenaël.

- Je ne savais pas que tu viendrais si tôt, tu ne m'a même pas laisser le temps de préparer ta chambre. C'est fâcheux, tu ne trouve pas?
- Je peux très bien dormire dans une auberge tu sais. Dis-je, sourire au lèvres.
- Hum, attrapé-les.

Oh oh, je crois qu'on a un problème, enfin qu'ils ont un problème. Et pas un petit, oh non, loin de la même. Deux assassin, un loup-garou et un mage.

C'est pas une partie de plaisir.

-Sur de vouloir faire ça? Je ne voudrais pas abîmé ma dague.
-Tu peux toujours te rendre.
-Alors je préfère combattre.

Et s'en suit je ne sais combient de coup de dague, d'épée, de hache, des flèche, enfin bref vous avez compris.
Alors comme ça Gwen veux ma mort, ou plutôt ma capture. Elle risque d'être déçu, je ne suis pas un homme facile, dans tous les sences du terme.

Je pare une épée qui, si je n'avais pas été attentif, aurais fini sa course dans mes côtes, et trancha la tête de la femme qui la tenais bien entendu, attrapa un des homme de Gwen et m'en servi comme d'un boucliers, le laissent retombé au sol après le coup de son frère d'arme qui, bien sûr, fini sa course la tête encastré dans la pierre.

Utilisent ma capacité à me déplace dans un flache de brume pour glissé dans le dos du mage, un peu plus loin du combat, et lui assena un violant coup dans le bas du dos avec pommeau de ma dague.

Attrapent une flèche au vol puis la re-tira vers l'arche qui l'avais décoche.

Après bien cinq minutes de lutte et une fois la poussière retombe, il ne restais plus que Cicéron, Kéran, Rowan et moi debout.

-Alors, c'est tout? Tu me déçoit vraiment Gwen. Dis-je un demi sourire sur le visage.

La dit Gwen étais à genoux au sol, un bras bloqué dans son dos par Rowan et l'autre tombant mollement au sol, sûrement cassé. Son souffle étais irrégulier et son armure à moitié brûlée, signe que Kéran s'en étais occupé.

-Par ordre du Jarl, pas un pas de plus!
-Tout mes excuse pour ça, on vas nettoyer, ne vous en faite pas.
- Ça ne change rien à rien vous..
- Avez tuer des homme et femmes qui se sont jeter sur nous pour nous tué, sous ordre d'elle.

Il a pas du tout l'air convaincu de se que je lui raconte. Mais bon, pas ma faute.

-Écoute, je sais que nous n'avons pas l'aire crédible mais c'est la vérité. Vous pouvez me croire.
-Vous direz sa au Jarl.

Et merde, c'est bien la dernière personne avec qui je veux avoir des ennuis. Mais bon, pas le choix, on y vas.

On enferme Gwenaël dans une cellule, pas le choix puisqu'on y est nous aussi, mais pas pour longtemps, oui j'ai aussi des contacte ici à Épervine.
On nous sort de cellule, enfin on me sort de cellule et me conduit devant le Jarl.

Ça fais déjà plus de dix minutes que je suis devant le Jarl, et ça commance vraiment à m'ennuie. D'un côté le garde qui nous a trouver qui persiste à dire qu'on a commis des meurtre et de l'autre côté, le conseiller du Jarl qui continue à nous défendre. Bref c'est long.

Je crois que je vais mourire, d'ennui, et au vus de la tête que fais le Jarl il est de mon avis. Il est aussi intéresser par la discutions entre les deux hommes que moi par la politique. Je lui jete un regard compatisent mais empli d'exaspération et d'ennui. Regard qu'il me rend bien. Surprennent d'aieur.

Je me demande comman il fais pour les supporter, vraiment. J'ai déjà envie de leur frappé le crâne avec une casserole, or ça fais que 15 minutes que je les écoute, alors lui j'imagine pas.