Chapitre trois

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Juste regarder bien la photo de Sheogorath et Cicéron, elle est juste GÉNIAL. ( Ils sont aliéné ces deux là 😂 mais bon, on les aime comme sa.) Et les images ne m'appartient pas.
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Après m'être réveiller, je balaya la chambre du regard et, noté l'irronie, fus surprise de trouver Cicéron endormi juste à côté de moi.
Je me releva, pris mes vêtement et les enfila, en prenant le sois de bien caché mon visage, avant de réveiller Kéran et Cicéron qui, au vus de leur tête, avais très peux dormi de la nuit.
Je sorti de l'auberge, et me dirigea vers Ford Dragon pour m'entretenir avec le Jarl Balgrufe. Une fois arrivé je demanda au garde de me laisser passé pour voir le Jarl.
Forte heureusement pour moi je n'ai pas du attendre trop longtemps, j'ai de la patience, mais pour se que je veux, c'est à dire pas grand chose.

-Oreille noir.
-Puis-je m'entretenir seul avec vous je vous prie.
-Certainement.

Je suivi Balgruf jusqu'à ses quartiers et lorsque les gardes nous abandonna seul à seul, je retira le tissu couvrent mon visage et inspira profondément. Un fois fais  je sorti de ma poche un parchemins enrouler et attacher avec une petite corde que je tendi au Jarl, se dernier me regarda interroger.

-Ou as-tu eu ses document?
-Un assassin ne révèle jamais ces source, Balgrufe.
-Mais de tel information, tu comprends que je me pose la question.
- Certes mais je ne peux rien dire, pour la survie de mes amis et de ma famille.

Après cette dernière phrase je remi se maudit bout de tissu noir et fis demi-tour pour me dirige vers la porte pour repartir quand le Jarl Balgrufe m'arrête et dit

- Fais attention je t'en pris, je n'ai pas envie de te perdre.
- La mort est mon lot quotidiens, je ne compte plus le nombre de fois où je l'ai frôler tu sais.....
- Certes mais fais attention, s'il te plais.
- Promis.

C'est sur cette promesse que je quitta Balgrufe, regrettent déjà de devoir partir, qu'il me vois revenir couvert de blessure, mon corps à la base pâle tacheté de bleu, mon sourire chaleureux remplacé par un grimace de douleur.
Cette simple pensé me fais mal au coeur, je sais qu'il ne supporte pas me voir partir, qu'il ne supporte pas me voir saigner, me voir souffrir, cette sensation qu'il a d'être impuissant alors que je plonge dans un sommeil peux être éternel. Comment fait il pour ne pas mourir d'inquiétude?
Je ne saurais sens doute jamais.

Une fois sortie de fort dragon je me rediriga vers l'auberge devant laquelle m'attendais mes camarade de route. Une fois tout le monde près, je me dirigea vers la porte de Blancherive et repris le chemin d'Épervine.

Nous marchions depuis des heures lorsque le corbeaux que j'avais envoyer à Brygnolf me revint, c'est à vois haute que je lu sa réponse.

-"Je comprend parfaitement ta méfiance, je n'ai pas non plus confiance en Gwenaël.
L'un de mes agent est à Épervine actuellement, je lui ai donner ordre de vous attendre.
Il s'est installée dans votre sanctuaire.
Brygnolf."
- C'est bon de savoir qu'on pourra toujours compte sur lui.
- Je ne te le fais pas dire Kéran.
-On devrais monte le campement, la nuit tombe.
-Cicéron trouve que vous avez réson.

Après cette dernière phrase on s'éloigna de la route pour trouver un petit endroits tranquille au bors de la rivière, à l'abris entre un énorme roche et des sapins, sous une bute de terre tenu par les racines des arbres alentours.
Avec l'aide de Cicéron j'installa des rochés autour de feu que Kéran avais fais. Un fois ca fini, j'attrapa mon arc et les flèches pour partir chassé de quoi mangé.

- Poisson, lapin, biche??
- Peu importe, ce que tu trouvera.
- Et toi Cicéron?
- Cicéron veux du lapin, non plutôt une vendaison, ou ou
- Une biche alors.

Et c'est sans plus de cérémonies que je disparu dans un flache de brume noir pour réapparaître une vingtaine de mèttre plus loin, armé de mon arc et mes flèches, paré à la chasse qui m'attendait.
Aussi habilement qu'un chat, je sauta et m'acrocha à une branche de sapin au dessus de ma tête, glissent comme une ombre entre les épines et les feuilles, passent d'un arbre à l'autre aussi silencieusement que la nuit. Du haut de mon perchoir, j'appersu une biche non loin de moi, j'attrapa une flèche, banda mon arc paré à tire et à abattre ma cible. A la place, c'est un loup-garou, grand de deux mètre, qui fondi sur la pauvre biche et la tua d'un coup de griffe.
Je ranga mon arme et dessendi de l'arbre sur le quel j'étais à l'abris du lycantrop et m'en approcha, mes mouvement étais d'une lenteur presque inhumaine. Une fois à porte de l'homme bête ce dernier ce retourna et tomba face à moi, visiblement surpris de voir quelqu'un s'approcher aussi près de lui sans être hostile.

-Calme-toi, je ne te veux pas de mal. Juste savoir se que tu fais la.

Pour seul réponse, il repris forme humain, c'était un homme, de 1m75 pour environs 60 kilos, des cheveux lui arrivant au bassin, à mi chemins entre le roux et le blond, des yeux bleus azur et le torse recouvert de bleu et d'entaille plus où moins profonde.

-Qui est tu?
- Aerin, Aerin ChasseSang, fils et champion de Sheogorath prince Daedra de la folie. Et toi, qui est tu?
- Rowan, champion d'Hircin prince Daedra de la chasse, père des hommes bête. J'ai du mal à croire que tu sois un homme.
- Maitre des illusion. Dis-je en révèlent ma vrais forme. Qui t'a fais sa?
- Des chasseurs de primes.

A peine sa phrase terminer, Rowan bascula vers l'arrière, merci à mes reflex surhumain de l'avoir rattrapé avant qu'il ne se fracase le crâne sur un pierre.

- Aerin t'en à pris du temps et.... c'est qui lui??
-Rowan, loup-garou, champion d'Hircin. Il est blessé et exténué.
- Je vais m'en occupé, vas retrouvé Cicéron, ce bouffon est parti te chercher.

C'est repartie pour la forêt en quête d'un Cicéron quelque peu idiot. Décidément, c'est à ce demande si j'aurais du temps pour moi.
Je fis demi-tour et  suivi les traces léser par le roux. Je passa un quart d'heure à le chercher, quand enfin je le trouva, assoupi au bors de l'eau. Décidément, il est incorrigible.
Je m'approcha du roux et le pris contre moi dans une étreinte amicale. Une discution que j'avais tenu avec Nazir me revint alors en tête. Il avait émis l'hypothèse que Cicéron avais des sentiment plus qu'amicale envers moi, bien-sûr ni lui ni moi ni croyais, mais cette idée c'est renforcé avec le temps. Si bien que je fini moi même par me demander quel sont mes sentiment à sont égard.

Je sortie de mes pense quand je senti Cicéron se blotire contre moi à se moment là, je décida qu'il étais temps de retourne au campement et c'est ce que je fis, Cicéron sur mon dos et des lapins attaché à ma ceinture.
Imagine la tête qu'à fais Kéran face à ce tableau. J'installa le fou près de feu et commenca la cuisson des lapins.
Près de dix minutes après je réveilla nos amis et commanca à manger.

Après une aussi longue journée croyer moi le someille n'a pas été dur à trouvé. C'est sous un ciel étoilé, un bon feu et mes compagnon endormi que je ferma les yeux pour essaye de trouver un bon someille réparateur que, bien entendu, je ne trouva pas.

A la place, c'est un aller pour The Shivering Isles que je trouva, ce n'est pas pour me déplaire, il fais agréable à vivre.

J'avanca dans les long couloir du palais pour arrive dans ce qui s'appelle le meilleur endroit de tout les temps.

-Papa?

Hey, voilà le chapitre trois, j'espert qu'il vous a plus, j'ai pris un peu de temps pour l'écrire je sais. Mais j'espert que vous me pardonner. ( si vous me pardonner pas je le dirais à Merunes Dagon).
Voilà, à la prochaine.

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