Chapitre deux

17 0 0
                                    

- On attend quoi?

Je repris mon chapeau le mis sur ma tête et enfila ma cape. Je me dirigea vers le vitrail qui se trouvais dans la pièce le poussa pour dévoilé le passage qui se trouvais derrière. Je me retourna et fis un geste de la main pour que Cicéron me suive se que se dernier fis un grand sourire au lèvres. Quelque minutes plus tard nous étions sorti du tunnel, le vent du nort de Bordeciel étais frais, se qui annonçait le retour de l'hiver, j'enfonca ma tête dans mon chapeau et réajuster le col de ma cape afin de ne pas avoir froid. Je me retourna pour faire face à Cicéron, je ne le voyais pas tres bien car il fesais encore noir mais je pouvais distingué sa silhouette même dans la pénombre. Je marcha en direction de l'auberge, une fois arrivé j'entra suivi de mon ami et avanca vers le contoir et demanda mon sac habituelle, se qui veux dire un havresac contenant des provisions pour plusieurs jours, quelque potion de soin et de vigueur, une dague de fer en cas de besoin et quelque plante au propriété médicinales.

- 40 ceptimes comme d'habitude ?
- Tout juste, et même 30 si je peux vous demandé une faveur?
-Quoi donc?
-Kéran est revenu de l'Enclum et est allé à Blancherive.
- Il compte sûrement allé à l'autel d'Azura. dis-je pensive.
- Je suppose, puis-je vous demander de le ramener?
- Si je le croise, je lui dirais.

Après avoir dit quelque autre phras je pris l'havresac et sorti de l'auberge, dehors le neige tombais de plus en plus fort si fort qu'on ne voyais à pas plus d'un mètre devant sois. Je pris l'une des trois lanternes devant l'auberge et parti en direction de Blancherive.
Après un jour de marche nous décidions de nous arrêté pour nous reposer, j'écris une lettre et l'acrocha à la patte d'un corbeau, cette mission ne m'inspire pas confiance alors autemps demander de l'aide,

- Vas à Faillaise et donne cet lettre à Brygnolf.

Comme seul réponse l'oiseau me donna deux coup de bec sur le rever de la main. Je possa mon regard sur Cicéron qui c'était endormie sa tête posé sur mes cuisses, j'écoutais les crépitement du feu tout en fredonne ragnard le rouge. A la fin de la chanson ou devrais-je dire fredonnement je déposa mon regard sur l'homme endormie qui a ma grande surprise ne l'étais plus. Je fixa le feu en silance pendant quelque seconde avant que Cicéron le brise.

-Pouvez vous chanté?
-Que voulez-vous entendre exactement?
- A vous de choisir.

Je pris une grande inspiration et commenca à chanté.

Les ailes d'Alduin on assombri les cieux.
L'ombre noir à rugi elle a semé le feu.
Ils ont tenté de fuir, tenté de résisté mais n'on pus que périr dans l'horreur des brasier.
Qui peux nous sauvé d'Alduin et de sa noir colère, quel héro sur le champ peux livré cette guerre.
Mais si Alduin l'emporte l'homme est mort à jamais consumé par l'ombre des ailes noir déployer.
Et vinrent les parleurs en ces terribles temps qui plus dur que l'hiver devinre un combattant vinrent.
Et monta la musique le glas du destructeur le doux chant de Bordeciel le Thu'um salvateur.
Les Parleurs nous sauvèrent d'Alduin et de sa rage, ils nous léguèrent la voix la voix d'une nouvel âge.
Si Alduin est éternel l'éternité n'est plus, terminé son histoire les dragons disparu.

Lorsque j'eu terminée,je déposa mon regard sur Cicéron qui m'avais fixé durent tout au long de la chanson,

- Vous chanté bien oreille noir.
- Merci.

Se dernier reposa sa tête sur mes cuisses et s'endormi à nouveau. A croire qu'il n'a pas dormir depuis des mois. L'antendant greloter je pris ma cape et le recouvri avec pour éviter qu'il attrape froid. Je ferma les yeux, bersé par les bruit de la nature je m'endormi à mon tour.
Le lendemain matin, après avoir réveille Cicéron je parti remplir nos gourde à la rivière non loin de notre campement improvisé. Je polongea ma gourde dans l'eau et fis de même avec celle de Cicéron, une fois plaine je la resortie de la rivière et la remi dans ma sacoche. Je ramassa ma dague qui avais glissé de ma manche et la remi à sa place. Je me releva et parti rejoindre Cicéron , on leva le campement et après 3 heures de marche nous étions arrivé à Mortal.
Je me dirigea directement vers la scierie et m'adressa à un jeune homme.

- Bonjours madame que puis-je faire pour v...... O-oreille noir?! Ils ont tous un problème, crier à ma simple vus, c'est à croire qu'ils sont tous le même personnes.
- Ne parle pas si fort, tu veux que tout Mortal nous entende?
- Non, bien sur que non.
- Bien, as-tu vus Kéran dernièrement?
- Oui, il a quitté l'auberge se matin et est parti en direction de Blancherive.
- Merci pour tout.
- Au plaisir de vous servir oreille noir.

Je me mit donc en route pour Blancherive en espérant croisé Kéran en chemin. Pur fruit du hasard, le voilà.

-Kéran, dis-je d'une voix asser forte pour qu'il puisse m'entendre.
-Aerin, je croyais qu'on se rejoindrait à Blancherive??
- Oui moi aussi, mais que veux-tu le hasard fait bien les choses, repondis-je d'une voix amusée.
-T'es,... comment dire..... Plus féminin...... que d'habitude.

Ouais j'aurais dû vous le dire plus tôt, en réalité je ne suis pas une femme, mais un homme. Et sa même la confrérie noir ne le sais pas, il n'y a que Kéran qui le sais, du moin dans mes amis, et je peux vous dire que c'est pas vraiment ce que j'ai le plus. A oui, Nazir le sais aussi, en même temps, la première fois qu'il est venu me donner un contrat, il fallais, bien sur, que je sois torse nu. Depuis il frappe à la porte, juste pour être sûr de ne plus avoir de surprises.

- Ouais, je sais que veux tu, c'est l'armure qui me fais ressembler d'avantage à une femme. L'excuse la plus nul que Tamriel ai connu.

Après lui avoir fais un petit signe de la main pour lui dire que je lui expliquerait plus tard, on se remi en route pour Blancherive.
Cicéron c'était mis en tête de marche devant nous se qui m'offri la possibilité d'expliquer à Kéran l'énorme mensonge que je lui ai servi tout a l'heure en guise de réponse à sa question, question que Cicéron n'avais pas entendu, chance pour moi et Kéran.
Après lui avoir expliqué que Cicéron et tous mon entourage, saufe bien sur lui, mes géniteur et Nazir, n'étais pas au courant qu'en réalité je suis un homme, et se fus long a expliqué. Quand j'eu terminé, nous étions arrivé à destination. C'est vous dire le temps que sa à pris.
Une fois en ville, nous fimes une halte à la forgeciel pour acheter une nouvelle arme à Kéran, se qui a pris plus d'une heure, suite à quoi nous sommes aller prendre une chambre pour trois à la Jument pavoiser. Rien de mieux qu'un bon repas pour finir la journée.
Après avoir mangé et bu une chope avec mes camarade, je remonta directement à ma chambre afin de me glisser dans des draps bien chaud et finir par tombé dans les bras de Morphée. Quel journée.

Hey voilà le chapitre deux comme promi, j'espert que sa vous a plus et je vous dite à je ne sais quand pour la suite.

L'âge Daedrique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant