Chap 6

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Flashback
J'étais  tranquillement entrain t'attendre Ricardo qui finissait 1 heure après moi. J'entendis la sonnerie et me mis à regarder le portail je le vis arriver 5 minutes plus tard. Il me prit et m'emmena à part , ce que je ne compris pas. C'est vrais sa voiture étais de m'autre côté et il n'avait aucune raison de m'amener ici. Je fût la première à prendre la parole.
-Qu'est qu'on fou ici ? Tu peux m'expliquer? Je ne savais pas si j'étais stressé ou morte de rire.
-Faut que je te parle de quelque chose.
-On aurait pus en parler là-bas. Viens on y va.
Il m'attrapais le poignet pour ne pas que je parte.
-Écoute je ne peux plus être avec toi.
Je senti immédiatement mes larme monter même si je ne voulais pas y croire.
-Quoi...ma...mais pourquoi? Je savais que j'aillais craqué .
-Je ne peux pas t'expliquer mais je suis désolé ok ?
Et sur ces mots il partit tout simplement.
J'étais tellement triste que je marchais sans but dans la ville jusqu'au moment où je vis notre bar disco. On venais là pour se changer les idées, on s'amusait toujours bien . Je voulais entrer mais j'avais peur d'éclater en sanglot , encore. Au bout de 5 minute je pris mon courage à deux mains et j'entrais.
J'examinais les lieux comme si tout avais changée . C'était le cas mais que dans ma vie , le bar lui étais identique. Toujours le même avec les même tables , les même barman. Rien n'avais changer mais je n'avais jamais trouver cette endroit si vide , déprimant et différant. Je tournais la tête vers l'entré et je crus voir Ricardo je baissais la tête et sorti en sortant je vis que c'était lui, je ne me risquais pas à regarder son visage mais il avait la même tenus. Je ne pense pas qu'il m'ait vus. De l'extérieur je le vis rejoindre une femme. Il prit les clés de la chambre 203. Je savais d'où je pouvais voir cette chambre et même si mon instinct me disait de ne pas y allé , je le rendis dans le petit ruelle d'où l'on peut voir la chambre 203. Je n'arrivais pas à croire ce que je vis Ricardo étais entrain de couché ensemble. Je senti les larmes couler sur mes joue ,encore. Au moment où je voulu partir deux hommes m'en empêcha l'un d'eux me dis « Fallait pas fouiner» c'était d'ailleurs la dernière phrase que j'entendis avant de recevoir des coups. De plus en plus fort et à partir de ce moment je me mis à détester Ricardo du plus profond de mon cœur.
Fin du flashback

Amour ou famille ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant