10- The party

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Si vous ne vous rappelez plus de ce qu'il c'était passé juste avant, hé bien c'est avec grand plaisir que je vais vous remémorer ma situation.

Plus tôt dans la journée pendant du shopping avec ma mère, j'ai surpris une conversation entre deux filles de mon lycée au sujets de ragots sur moi.
Pas très classe la nouvelle réputation.

Halley est ensuite arrivée chez moi m'annonçant qu'elle voulait participer à une fête où je ne voulais pas du tout me rendre mais que je devais y aller avec elle.
On est donc allées à cette fête ensemble.

Arrivées là nous avons été accueillies par Astrid qui est directement venue me lancer des conneries à la gueule.

Et alors que j'avais demander à Halley que l'on ne se sépare pas trop durant la soirée, elle s'est éclipsée à peine dix minutes après notre arrivée.

Je me suis donc retrouvée seule au milieu de la foule dansante.

Voilà!

Cela faisait une longue heure que je tournait en rond entre le salon et la cuisine. Je partais à la cuisine pour me prendre un verre et dès qu'un couple m'avait piquer ma place, pour pouvoir se bécoter, à mon retour je devais me trouver un nouveau siège.

Les musiques qui passaient sont toutes bonnes, enfin sauf les moments où les sons « Alexandrie Alexandra » de Claude François et « Tu veux mon zizi » de Franky Vincent sont passés c'était juste trop malaisant.

J'étais assise dans un nouveau siège quand une main s'approcha de moi.

Un garçon souriant se tenais devant moi la main tendue attendant que j'accepte son invitation à danser.

En plus d'être un beau garçon, il était aussi un bon danseur.

J'espère pouvoir tenir le rythme.

Allons ça va aller, c'est pas comme si tu ne savais pas danser non plus.

Nous dansions tant que nous étions presque les seuls qui semblaient encore capable de bien danser. Certains s'étaient assis et discutaient et d'autres ressemblaient à des zombies vue leur état. Mon cavalier et moi les regardions puis avons pouffé de rire ensemble.

Deux heures plus tard la quantité d'alcool avalée commence à se faire sentir. Je suis plus heureuse, plus souriante et pleine d'énergie; sans raison. Mon partenaire, lui par contre, a l'air de fatigué.
Mais il commence à être plus collant et entreprenant. Ses mains descendent lentement sur mes fesses et il les attrape.

Son regard change petit à petit, il passe d'un simple partenaire de danse amusé à un chasseur de proies affamé. Je comprends donc qu'à ses yeux je passe de partenaire de danse à une petite bonne proie facile. Il me bloques contre le mur, place son genou droit entre mes cuisses et m'embrasse le cou.

Encore...

Mon verre coule sur sa tête, le long de son corps. J'espère que ça le refroidira.

Quand il se rends comptes qu'il est tout mouillé, il me regarde furieusement et me baffes violemment.
Le coup fut dur à encaisser. Je lui fout un bon coup de poing sur le nez et je m'en vais.

Arrrhh...
Putain ça fait mal !

Je m'en vais dans la salle de bain à la recherche de nécessaire pour me soigner la main.
Je me rafraîchis le visage et essuies le mascara coulant.

Décidément, ils te penseront toujours comme ça. Mais tu n'y es pour rien.

Je me mis à sangloter.

RegardsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant