•CHAPITRE 63•

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J'ouvre la porte et là, je reste estomaqué ! Je reste bouche bée devant la splendeur de la chambre. Tout est exotique et l'ambiance est chaleureuse. Le lit deux places est digne d'un magazine de décoration d'intérieur. En plus de ça, il a l'air super confortable. J'ai juste envie de sauter dedans. C'est tellement beau que j'ai l'impression d'être dans un rêve. Pincez moi! AÏE ! Apparemment, mes pensées sont sorties de ma bouche, car Clark me pince vraiment, ce petit con.

- Tu m'as dit de te pincer donc chose dite, chose faite ! Où sinon, tu comptes rester planter devant l'entrée encore longtemps ? Moi aussi, j'aimerais bien voir à quoi cette chambre ressemble, dit-il en me poussant légèrement.

Je décide de rentrer dans la pièce en prenant ma valise au passage et Clark peut enfin admirer la chambre. En même pas deux secondes, je le vois déjà en train de sautiller dans le lit.

 En même pas deux secondes, je le vois déjà en train de sautiller dans le lit

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Par ailleurs, Clark ne manque de se vautrer avec le drapé du lit. Je pouffe d'un léger rire et je vais immédiatement le rejoindre. Je prends mon élan et je lui saute dessus sans qu'il puisse dire quoique ce soit. J'entends juste un "Aïe". Bon, je vais aller me faire pardonner. Je me mets en califourchon sur lui et je l'admire. Il me regarde donc je ne peux que le regarder. Ses petits yeux marrons foncés me font craquer de plus en plus. Puis il se met à sourire. Si en plus de ses beaux yeux, il me sourit, je ne peux que fondre devant lui. Je lui renvoie mon plus beau sourire juste avant de rejoindre ses lèvres. Elles m'ont manqué. Il se laisse faire et notre baiser s'éternise. J'y mets un terme quand je suis à bout de souffle. Tout à coup, je sens des mains venir se balader dans le creux de mes hanches et puis me chatouiller. Je déteste quand on me fait des guilis-guilis, car je crains de fou. Je ne suis pas le seul à mon avis. Je me mets à gigoter de partout, je ne m'en rend même pas compte, car au final, je me retrouve sous Clark qui, clairement, me domine. Puis il s'arrête d'un coup et se lève.

- ON EST EN VACANCES DONC TOUS À L'EAU! Nathan, lève ton petit cul et déshabille-toi, crie-t-il.

J'ai à peine le temps de poser le pied au sol que Mr SMITH est déjà en caleçon, près à sauter dans l'eau turquoise. Je m'empresse de faire comme lui et je le dépasse en sautant le premier dans l'eau depuis notre terrasse. Je m'attendais à entrer en contact avec de l'eau froide, mais pas du tout, l'eau doit être à 25°. La température idéale. Je regarde Clark qui se trouve encore sur la terrasse.

- Et bah Clarkounet ! Tes jambes tremblent où je rêve ? Ris-je.

-Ta gueule ! J'arrive ! Lance-t-il.

Et plouf, il est dans l'eau. Il me rejoint et on profite ensemble de l'eau et de la vue qui s'offre à nous. Il doit être 10 h à peu près, car à mon avis, je perds la notion du temps. Je pensais être plus fatigué que ça en arrivant ici, mais pas du tout, je me sens bien. Nous faisons des petites longueurs et par moment, j'embête Clark quand il essaye de rester stable en flottant sur l'eau. Je ne peux pas rester sage. Il s'approche de moi avec un regard de tueur. Je commence à prendre la fuite, mais il me rattrape en me serrant contre lui. Mes jambes viennent naturellement s'entourer autour de ses hanches. Il dépose des baisers langoureux dans mon cou. Ce genre de baiser avant que les choses dérapent. Ça ne me déplaît pas, mais on ne devra pas sortit de l'eau maintenant au risque que mon érection se fasse remarquer. Il m'en faut peu pour me rendre fou. Finalement, il se décolle de moi et dépose son front contre le mien. Je le vois sourire. Il est tellement mignon.

- Ce n'est pas que cette situation me déplaît, bien au contraire, mais ça te dis-

- Qu'on aille manger quelque chose?! OUI ! M'exclamais-je.

Il me sourit et je comprends très vite qu'il pensait à la même chose. Il me dit de monter sur l'échelle qui nous mène sur le terrasse. Je passe en premier et j'entends un sifflement. C'est bien évidemment l'homme qui se trouve encore dans l'eau. Je le regarde et je vois bien que lui, il reluque quelque chose d'autre sur mon corps. Ses yeux sont braqués sur mon "petit" cul comme il le dit.

- Ne te gêne surtout pas hein ?! Dis-je avec un petit rire amusé.

- Comme tu le vois, je ne me gêne pas pour mater hein ! En passant, ton caleçon blanc est mi-transparent, répond-il simplement.

Je remonte rapidement l'échelle puis les escaliers en direction de la terrasse.

Hors Contrôle [BxB]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant