Chapitre 10, part 1

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Lorsque George arriva de l'autre côté de la frontière de verre Alceo eu l'impression que pour lui le temps s'était arrêter : il n'avait pas changer d'un pouce. Il avait les mêmes cheveux blanchis avant l'heure, les yeux gis-vert un peu perdu, le visage maigre au pommettes saillantes. Il ne se tenait pas beaucoup plus droit que la première fois, comme s'il luttait pour rester debout alors que le poids des reproches pesaient sur ses épaules. Il s'assit sans qu'on est a tirer sa chaise. Malgré son air malade et frêle son frère commença avec un sourire :

« - Tu as l'air d'aller bien aujourd'hui.

- Ça va, sa voix fuyante et tremblotante était douce à l'oreille, plus vivante que la première fois.

- Il ne t'ont pas mit à l'isolement cette fois ?

- Non, cette semaine il y a eu une bagarre et c'est les gars qui m'en voulait qui ont été mit au trou. Alors j'ai été plutôt tranquille.

- Ça se vois.

- Toi aussi, ça va ?

- Oui, comme tu peut le voir je participe à la formation d'un petit jeune. Alcéo tu te souvient ?

- Désolé, fit il en secouant la tête.

- C'est normal, tu n'étais pas bien. »

George sembla gêner d'apprendre que ses visiteurs l'avaient vu dans un état lamentable. Il était toujours une étole froissée mais cette fois son esprit décousus semblait avoir été rapiécé. L'oméga malmena ses mains d'une respiration forte.

« - On va commencer, tu te sent d'attaque ? Demanda son frère en voyant que la conversation était rompus.

- Je crois que oui.

- Bien. Tu te souviens du témoignage que tu as fait au pompier quand ils sont arrivé sur les lieux ?

- Non ... c'était confus ... tout était aller si vite ...et .... Je ne sais plus ce que j'ai dit. C'est trop embrouiller.

- Bien. Et à la police ? »

Il y eu un silence comme si l'oméga avait plonger dans ses souvenirs et peinait à ce sortir de ce flot vivace dans son esprit. Il palissait à vu d'œil.

« - George ? l'appela Jérôme. Qu'à tu dis à la police quand elle t'a demander ce qui s'était passer.

- Ce qu'on m'avais expliquer. Je n'ai pas bien compris ce qu'il s'est passé ... Je sais juste que ... Je savais juste que j'avais fait quelque chose d'horrible. Que je suis un monstre. »

Il avait dit ça avec un dégoût qui ne ressemblait pas à celui qu'on porte à soit même, emplis de honte. Sa phrase semblait sortir des lèvres d'un autre, pleine de haine, mortifié.

« - Tu n'est pas un monstre. Est-ce vrai que tu as rencontrer quelqu'un avant d'aller au poste ?

- Oui, toi.

- Tu te souviens de ce que je t'ai dit ?

- Tu n'as pas parler ... Ou alors pas beaucoup ... Il y avait maman et papa. Et les pompier, et la police aussi. Quand ils sont parti toi aussi tu n'étais plus là. Il n'y avait que papa ...

- Tu as donc été seul avec notre père ?

- Oui, si maman était là elle n'a rien dit, rien fait et je ne l'ai pas vu.

- Vous avez parlez ensemble, toi et notre père ?

- J'étais assis. Et lui debout, je m'en souviens car je voyait tout d'en bas, son regards descendait vers moi. Il faisait toujours ça tu sais quand ... »

Présumé coupableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant