Chapitre 1:

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Le réveil sonne, je me lève. Ambre entre dans ma chambre.

-Encore endormi la marmotte, on a cour il faut se lever.

 

Je tire la couverture. Deux mains aggrippe le rebord de l'oreiller. Ma soeur l'enlève l'oreiller.

-Si tu te lève pas maintenant, je te chatouille. 

Je crains beaucoup les chatouilles. Enfin, c'est ce que je fais croire à ma soeur. Elle tire la couverture. Je saute du lit et pars dans le couloir. À cette heure la, mes parents ne sont pas là. Je prends une bonne douche avant de mettre l'uniforme. Après, je descend en cuisine prendre deux trois truc à me mettre sous la dent. 

-Allez, c'est bientôt les vacances et l'année prochaine, tu passes au lycée avec Loan et moi. Tu verras ce sera super. 

Ambre remarque de nouveaux bleu sur mon bras. 

-Tu t'es battue ou c'est les parents.

-Un peu des deux.

-Tu pourrais au moins arreter de te battre.

-C'est pas si facile.

-Et bien apprend moi.

-NON!

A chaque fois que ma soeur me demande de lui apprendre à ce battre, je me mets dans mes états et si quelqu'un lui apprends, je le retrouve et je lui fait la peau. Après un petit quart d'heure, on part. On se sépare devant les batiments. Le collège et le lycée se trouve juste à côté. En passant devant le lycée, je fais un signe de main à mon frère qui me le rend avec un de ses plus beau sourires. Une fois dans le batiment, j'attends la sonnerie. Bien sur, comme d'habitude je rentre en cours pour une fois assise dormir. Je me fais expluser du cours et je fini dans le couloir.  À seize heure, quand sonne la fin des cours, je rentre à la maison en escortant Ambre. Loan nous rejoind à la maison une heure après. Les parents rentrent juste après Loan. 

Une fois rentré, ma mère prend la veste de mon père, va vérifier les progrets de ma soeur, fait la bise à mon frère et part ranger ses affaires dans sa chambre, tout ça sans un seul regard vers moi. Mon père se met sur la terrasse et fume quelque chose. Une fois ma mère revenue, elle me jette un regard noir, plein de méprit avant de me frapper à l'estomac. Mais je ne bouge pas, je ne geins pas, le seul fait qui trahit le coup que je viens de prendre c'est un nouveau bleu, les muscles tendus, impussant de mon frère, et les yeux de ma soeur embuer de larmes du à  l'impuissance face à mes parents. Je supporte les coup qu'enchaine ma mère sans broncher. Je me suis jurée de ne jamais frapper mes parents, alors dans ses moments, je les laisse juste se défouller avant de sortir frapper les murs ou autres. Après une dizaine de coup, ma mère rejoind mon père dehors et rit avec lui de si il avait eu un troisième enfants. Leur attitude me dégoute, mais je ne peux pas faire autrement que de me taire et de subir si je ne veux pas être arraché à ma soeur et mon frère.

-Ambre, tu as bien travaillé encore ce trimestre, je suis tellement fière de toi. Loan, pense un peu plus à tes études. Si seulement on avait un autre enfant, il aurait été brillant, solide. 

-Le rêve, mais on y peut rien, le destin n'en a pas voulu ainsi.

Je regarde ma mère droit dans les yeux et je soutiens son regard.

-Vous avez une toisième enfant, c'est moi au cas ou vous ne le savez pas, même si vous ne me calculez pas, je m'en fous, mais épargnez le spectacle à Ambre et Loan.

-T'es qui pour te permettre de nous parler sur ce ton. Reste à ta place.

Mon père se lève et viens me frapper. Une fois qu'il s'est défoullé, je saigne du nez. J'essuie du revers de ma main le sang et je plonge mon regard dans celui de mon père. 

-À ta place, je ne ferrai pas l'horreur de ce spectacle à une fille aussi fragile que ma soeur.

-J'ai horreur de dire ça, mais tu as raison, Ambre est une fille si fragile, par conséquence, te voir est une horreur, et tu retires tout de suite ce que tu viens de dire, Ambre n'est pas la soeur d'une personne comme toi.

Ma mère me donne un coup de pied dans le nez. 

-Bon, réunion. Et tu y es conviée.

Mon père ferme la fenêtre. On se réunit tous dans le salon.

-Votre mère et moi, on a décidé d'envoyer Alia chez une tante éloigné. On a convenu qu'elle serait mieux là-bas, comme ça, elle ne ferra plus un spectacle pitoyable. 

Loan serre les poing, du sang coule le long de sa main, et Ambre à voulu se lever. Je place mon bras devant elle et lui fait un petit signe de tête. Elle se rassie et baisse les yeux. 

Plein de monde pourrait penser que je déteste ma soeur parce qu'elle est la préfèré de mes parents, mais je ne la déteste pas, au contraire, je fairais tout pour la protéger.

-Bien sur, elle part à la fin de la semaine, seule. 

-Fin du conseil.

-Bien mère, bien père, votre volonté sera exaucé dans les plus bref délais. 

Mes parents nous forces à répetter ça à chaque fin de conseil, sauf que depuis bien longtemps, je ne le fais plus. Je pars dans ma chambre et je sors un grand sac. J'y entasse mes vêtements, mes livres, quelques photos de Loan, Ambre et moi. Voilà, le compte y est. Ambre arrive dans ma chambre.

-Je ne veux pas que tu partes.

-Moi non plus je ne veux pas partir, mais c'est leur choix. Et puis, je te rendrais visite aussi souvent que je le pourrais.

-Promis?

-Promis juré craché sur le planché, si je mens je vais en enfer.

-Merci. 

Elle va dans sa chambre avant de revenir, une petite boite entre les mains. 

-Tient.

Elle me tent la petite boite. Quand je l'ouvre, je vois son bracelet préfèré. C'est un petit bijoux avec de petite pierre rouge. J'ai le même en bleu. Je lui tends le mien. On mets chaqu'une le bracelet de l'autre.

-Ambre, je te promet que je ne l'enlèverais jamais.

-Moi non plus, jusqu'à notre prochaine visite, je veux que tu m'envoies des lettres d'accord?

-Oui.

Je descends mon sac. Mon frère attend en bas de l'escalier. Il me regarde rapidement avant de me tendre sa lame. C'est une dague qui n'a pas son pareil. Une lame unique. Le manche est souple et lèger tout comme la lame, mais cette dernière est particulièrement tranchante. Je lui tends une de mes lames, ma plus belle. C'est une dague tranchante, parfaite pour le lancer ou les assassinats.

-Prends soin d'Ambre.

-Prends soin de toi.

Je range sa lame dans ma botte et il fait de même avec la mienne. Avec mon frère, il nous a toujours été plus facile de communiquer par la lame plutôt qu'avec des mots.

-On se revoit bientôt.

-Ok.

Avec mes parents, quand ils ont dit à la fin de la semaine, c'était plus à la tomber de la nuit. Je passe devant mes parents et je sors. Un seul regard en arrière pour mon frère et ma soeur. 

En bas, une voiture m'attends.

-Alia Wélium?

-Ouais. Et vous?

-Rib, le chauffeur.

-Ok.

Je lace mon sac à l'arrière et je monte à l'avant. Dans ma main j'ai gardé un petit souvenir de la maison, une statuette en forme de chat, il se gratte l'oreille. Je collectionne les petites statuettes. Mais mes parents les ont toutes cassé. J'en est trouvé une pas beaucoup de temps avant mon départ.

Et c'est ainsi que je suis partie de chez moi, pour rejoindre une mystèrieuse tante pour un futur, qui devrait s'avère être meilleur.

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Je suis désolé, mais ce chapitre est court, le prochain sera plus long.

La vengeance de Démone.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant