Chapitre 11, Une histoire d'amour à en couper le souffle!

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Le soleil entre dans la chambre et éclaire mon corps et celui de mon homme sur le lit. Je me lève la tête et regarde Klaus dormir. Il semble si tranquille et si paisible. Sa respiration est profonde et constante. Il est tellement beau.... Mon menton sur son torse, je le regarde pendant de longues minutes sans me lasser. Il finit par se reveiller et il se mit a rire en me voyant le fixer du regard. 

- Qu'est-ce qui te fascine autant, ma douce? me dit Klaus en m'embrassant.

- Mmm! Toi tout simplement! Dis-je en souriant 

Nous échangions quelques doses d'amour et au bout de quelques minutes je me leva avec une couverture autour de mon corps nue. Klaus me regarde avec un sourire malicieux. Le genre de sourire qui fait fondre sur place. 

- Quoi ? Pourquoi tu me regardes comme ça ? dis-je en me découvrant un peu, juste pour être un peu vilaine.

- Mmmmm! dit-il en attrapant ma taille. Tu es splendide c'est tout. 

Mon amour m'embrasse et enlève la couverture qui avait autour de ma taille. 

- À mon avis tu es mieux comme ça ma douce....

En quelques caresses nous repartons dans un ébats enflammé.

*********** Quelques heures plus tard******************

Après notre ultime débats, je finis pare aller m'habiller et aller faire du café pour moi et Klaus. Nous passons le reste de l'après-midi assis près de la cheminer de la petite maison. c'est agréable. D'être juste tout les deux, ensemble sans responsabilité apparente. Un peu avant 17 heure le téléphone de Klaus sonna. Il soupire en voyant le numéro qui est inscrit sur l'écran d'affichage.

- C'est Haley. Je dois répondre, c'est peut-être à propos de ma fille, dit-il.

Il m'embrasse et il alla répondre plus loin. Malgré la distance qu'il a mit entre nous deux, j'entendis la conversation entre les deux anciens amants.

<<<- Qu'est-ce que tu veux Haley ?

- Wow ! Quelle belle façon de répondre à la mère de ta fille!

- Tu es peut-être sa mère, mais ça veux pas dire que je t'apprécie pour autant. Viens en aux faits.

- Très bien, je vais avec Jackson en Italie essayer de chercher des réponses.

- Sur ta tribut c'est ça?

-Oui et j'ai confier  notre fille a Freya. Je ne veux pas que ta copine s'approche de notre fille compris ? Je ne lui fais pas confiance.

- Moi je lui fait confiance. Tu as pas a me dire quoi faire , ni a qui faire confiance. J'ai plus confiance en elle, que j'en ais jamais eu pour toi.>>

Le ton de Klaus a été sec pendant toute la conversation, comme si Haley n'avait jamais eut d'importance a ses yeux. Chose certaine, Haley ne m'aime pas et n'a pas du tout confiance en moi. Klaus, m'a étonné. Je croyais pas qui me fesait confiance à ce point. Il raccroche le téléphone et vient me rejoindre sur le canapé. 

- Qu'est-ce qu'elle voulait ? dis-je en fesant mine de respect.

- Tu as tout entendu, pourquoi tu demandes? dit-il l'air sombre.

- Pour te faire preuve de respect. C'est à toi de m'en parler. dis-je en lui tournant le visage vers moi.

Il prit ma main et la caressa. On se regarde, comme si on s'examinais de fond en comble. On finit pare s'embrasser et doucement il passe ses mains sous mes cuisses et il me fit le chevaucher. Je prolonge le baiser en passant mes mains sous son t-shirt. Son corps est brûlant et c'est muscles tendus. On commence un élan de tendresse, mais son cellulaire sonne de nouveau. Il tente de continuer, mais je l'en empêche en me levant d'un coup. Il me regarde hébété. Je lui sourie malicieusement et lui dis:

- Répond, on continuera plus tard. 

Je m'en alla dans une autre pièce pour montrer que je le respect et qu'il mérite ma confiance. J'ouvre le robinet pour être sûr de ne pas entendre la conversation et me prépare un café. Depuis l'arrivée des infuseur à café sur le marché, jamais je ne pouvais passer une journée sans un bon café. Je sirote mon café assise au comptoir en écoutant de la musique. Je tiens vraiment à ne rien entendre de ce qu'il pouvait dire. Au bout d'une dizaine de minutes, Klaus vient dans la cuisine l'air sombre. Je le regarde avec des points d'interrogations dans les yeux. Il me regarde et un silence persistant nous envahissait. Je me lève et alla capturer tendrement ses lèvres avant de lui demander ce qu'il se passait.

- Rebekah vient de m'expliquer qu'ils ont été attaqué. Il faut qu'on rentre, ma fille a été enlevé pendant l'attaque.

La nouvelle eut l'effet d'une douche froide pour moi. Qui aurait bien pu s'en prendre a un bébé? 

- Klaus... Je suis désolé. Sais-tu qui a fait ça ? dis-je d'une voix douce.

- Ma mère. Elle c'est dit que si nous procréons pas, elle m'enlèverais ma fille. Haley menace que si je ne règle pas cette histoire rapidement et que tu ne sortais pas rapidement de nos vie, elle partirais avec Hope aussitôt qu'on la retrouvera.

Cette autre partie de l'histoire me fit l'effet d'une autre douche froide, mais cette fois remplit de glaces. Jamais je n'aurais volontairement mise en dangers les autres. Et dans tout les cas, ce n'est pas de ma faute si sa mère est timbrée et qu'elle en a après moi et Klaus. Haley n'a pas le droit de dire quelque chose d'aussi méchant envers moi, surtout que je n'ai jamais vue la fille de Klaus et que je n'ai parlé qu'une fois avec cette garce. Je voulu parler, mais Klaus me devance.

- Je vais partir seul à la Nouvelle-Orléans. Je veux pas t'attirer plus de problèmes et je ne veux pas qu'haley continue de t'accuser de trucs dont tu n'es absolument pas responsable.

- C'est hors de question ! Je viens avec toi. Je m'inquiète autant que toi du sort de la petite, car je me dis que personne ne dois payer pour la haine qu'une personne a sur moi. Elle mérite pas ça , ce n'est qu'une enfant. Et si Haley a un problème je vais lui arranger personnellemement son compte . Dis-je sèchement.

Il me regarde durement, mais finit par hocher la tête avant de ce diriger vers la porte.

- Je vais chercher la voiture, attend moi là.

- Oublie ça, c'est des plans que tu oublie volontairement de revenir me chercher. J'ai un autre moyens qu'on se rendre plus rapidement, dis-je en allant me mettre devant lui.

- Et quel autre moyens tu veux utiliser? dit-il en soupirant.

Je souris et lui pris la mains pour nous transplanner dans son manoir à la Nouvelle-Orléans. Arriver sur les lieux en quelques secondes, Klaus me regarde en premier stupéfait, mais il finit par me rendre mon sourire. Avant que je n 'eu le temps de placer deux mots, quelques chose me plaque au sol.

Originals : she said yes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant