Chapitre 8 :

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NeaDelancour : Merci d'avoir attendu jusque là. Voilà le prochain chapitre, que tu attends depuis juin. Je crois bien que oui! C'est la seule insulte qui soit venu à moi pour Kidd. Tu as tout à fait raison, Sabo n'est pas un bon exemple.

Alopeke2003 : Ou ça?! Je ne le trouve pas dans ma relecture de mon chapitre. Donc je ne peux pas t'aider à comprendre, désolée.

Law-Forever : Merci de kiffer mon chapitre.

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Je suis dans le port où tous les regards sont braqués sur l'énorme bateau qu'on aperçoit au loin.

Il y a plus de demoiselles hystériques que de personnes venant dire au revoir aux supernovaes. Je souris quand un groupe de filles parle d'un des commandants. Je ne dois pas écouter les conversations des gens, c'est très mal poli de ma part. Je plaide coupable, mais qu'à 50 pour cent vu qu'elles ne sont qu'à quelques mètres de moi et que leur voix portent assez bien. J'entends le chuchotement de mon frère, mon poing se serre tout seul. Ma vengeance va être terrible pour toi Ace !

-Il va ma le payer, chuchotais-je.

J'augmente un peu le vent pour qu'il arrive plus vite, et quand le navire est au port, je remarque que toutes les voiles étaient dépliées. Je fronce les sourcils de mécontentement quand je comprends qu'il m'a utilisé pour l'amener plus vite au village. Ma rage augmente quand je vois la tronche de mon « précieux » petit-frère. Je me retiens d'aller l'étriper et de le balancer dans la mer tout sourire. Déjà, il faut que je me fraye un chemin à travers cet attroupement de groupies existées. Franchement il y a quoi d'existant là-dedans ? Rien !

Mon frère est suivi par des personnes très différentes, comme un mec avec une coupe en forme de banane et un autre avec une coupe d'ananas. Le groupe de filles hurle des noms incompréhensibles à mes pauvres oreilles. Dommage que je ne porte pas de scotch sur moi. J'avance dans cette foule de fans hystériques puis je me trouve enfin devant le grandiose Moby Dick. Je tourne mon visage vers les pirates de la pire génération et de l'équipage du Yonkou.

-Où vas-tu ? , questionna le Maire de la ville.

-À la recherche de ma sœur, Monsieur le Maire, lui répondit mon frère, en partant dans la foule.

Je me concentre de nouveau sur le majestueux navire à tête de baleine, et je murmure à voix très basse :

-Donc, c'est lui le Moby Dick. Qu'est-ce qu'il est immense ! Il est plus grand que notre ville ! Il force le respect, c'est clair !

Je jette un dernier coup d'œil sur ma droite où tout le monde papote, enfin presque tout le monde. Un collègue de monsieur Portgas paraissait ennuyé par la situation, ou bien peut-être qu'il en avait rien à faire, c'est dur de déchiffrer son expression. En même temps il n'en exprime aucune. On dirait une statue.

Bref ! Je retourne à ma première occupation qui était le bateau.

-C'est mon occasion ! Je vais visiter le bateau, et prendre ma vengeance. Avant cela, j'irais dire bonjour à l'équipage et au capitaine bien-sûr, déclarais-je.

Mes jambes commencent leurs actions, j'atteins enfin la rampe avec un peu de difficulté parce qu'il y a certaines personnes qui veulent faire comme moi. Je m'arrête devant cette gigantesque et belle rampe en bois massif, je plains la personne qui à du la construire. Cela a dû lui prendre environ trois mois !

Je m'engage alors en effleurant des doigts de ma main gauche la rambarde en bois elle aussi. Au quart de celle-ci, j'entends quelqu'un crier un nom. Je me stoppe quand mon nom me parvient à l'oreille. Je me retourne tout doucement n'aimant pas être le centre de tous les regards qui m'assaillissent dans mon dos.

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