La coupe du monde.[hugo Lloris]. [Antoine Griezmann]. [Emilia Bloom].

Chapitre 8

Point de vue Emilia.

On descendit sur le parking. Antoine nous attendait contre sa voiture.
Il avait mit un jean et une chemise blanche.

- Il est jean alors moi aussi je peux me changer et mettre un pantalon ! Dis-je à Erika.

- Hors de question ! Cette robe te vas très bien.

- Non j'ai horreur de cette chose!

- Arrête tu es resplendissante.

- Ouais c'est ça ! Râlais je.

On s'avança vers la voiture. Antoine embrassa Erika puis me regarda avant de se prendre un fou rire interminable. Je croisais les bras mécontente.

- C'est bon t'as fini ? Lâchais je énervée.

- Oui... Hahaha... C'est... Haha... Juste que... Haha... Toi Emy en robe... Hahaha!

- Tu peux remercier ta femme ! Grondait je.

- Emy soit sympa s'il te plaît. Intervint Erika.

- N'empêche tu es magnifique! Me complimenta Antoine. Sérieusement ça te va bien.

J'entrai dans la voiture à l'arrière et claquait la portière.
Antoine s'installa au volant et Erika à côté de lui.
Quelques minutes plus tard, Antoine se gara devant une magnifique maison.

- En fait c'est chez qui ?

- Une maison de vacances de Jen-Yves.
Répondit Antoine.

- C'est qui lui ? Demandais je.

- Jean-Yves? L'ostéo!

- Bon on y va ? Proposa Erika.

Raphaël nous rejoignit et nous fit la bise.

Puis Paul nous rejoignit.

- Emy t'es en robe ? J'y crois pas ! Impossible !

- Improbable. Rectifia Erika.

- La commissaire en robe ! Cria Kylian.

Je soupirais et partit me chercher à boire.

- Ça te va bien cette robe. Me dit quelqu'un derrière moi. Je me retournai et croisais le regard d'un des joueur... Euh je ne sais pas son nom.

- Euh... Merci.

- Je suis Ousmane Dembele.

- Ah c'est toi ? Enchantée.

- De même !

- Tu es le numéro combien ?

- Le 11, après Kylian, mais avant Coco.

- C'est qui Coco ?

- Corentin Tolisso. C'est lui là-bas.

Il me le désigna du doigt.

- Ah d'accord merci.

- De rien.

- Eh Ousmane ! T'es partis? L'appela Kylian.

- Désolé je dois y aller. Me chuchota-t-il.

- À plus ! Le saluais je.

- À plus.

Je soupirais et je terminais mon verre.
Je me servi de noix de cajoux. Sans mentir j'en pris beaucoup, il faut dire que j'avais vraiment faim.

- Tu as l'air affamé! Remarqua une voix derrière moi [encore une fois], mais cette fois-ci je tombais nez-à-nez avec le capitaine de l'équipe, Hugo Lloris.

- En effet. J'ai oublié de déjeuner ce dîner.

- Oublier ?

- J'étais plongée dans mon travail. Je n'ai pas vu le temps passer.

- Tu dois vraiment aimer ton travail?

- En effet. J'aime beaucoup ce travail.

- C'est un avantage, se lever le matin et avoir un vrai but pour la journée, qui nous enthousiasme. C'est fantastique.

- C'est pareil pour toi le matin ?

- Oui, c'est une chance qui n'est pas donnée à tout le monde.

- Hum... Je tenais à m'excuser pour mon manque de respect en vers toi depuis qu'on s'est rencontrés à la mi-temps contre l'Australie.

- Ce n'est pas grave. J'avais besoin qu'on me bouste un peu. Je ne suis pas en super forme en ce moment.

- Je l'ai appris trop tard pour tes relations avec ta femme. Et j'en suis désolée. Je sais que ce n'est pas facile à vivre.

- Tu le sais?

- Euh... Oui. Soupirais je.

- Comment ça ?

- J'ai été marié moi aussi... Mais si ça ne t'embête pas je n'ai pas très envie d'en parler maintenant.

- je... Je ne savais pas. Oui je comprend ce n'est pas grave.

- Excuse moi. Lui dis je en partant rejoindre Antoine. Je ne me sens pas à l'aise avec Hugo. C'est vraiment bizarre la sensation que j'ai quand je lui parle. J'allai lui raconter mon histoire alors que je ne le connaissais pas ? N'importe quoi !

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Voilà le chapitre 8.
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madckeira19