Djamila, Allah m'a guidée! {En Correction}

62🍁Crains Allah où que tu sois

Quand on n'est arrivé, c'est une femme en jilbeb qui nous ouvrit.

Nous: As_Salamuعalaykum

Elle : Waعalaykum salam

Moi: Vous allez bien j'espère ?

Elle: oui Alhamdoulillah.

Moi: Euh.. 'Issa est là.

Elle m'a regardé façon bizarre.

Elle: 'Issa? Oui.

Moi : pouvez-vous l'appeler s'il vous plaît.

Elle: c'est de la part de qui?

Moi : Djamila.

Elle: Djamila ? C'est toi Djamila?

Moi: Oui.

Elle: oh mon mari m'a tellement parlé de vous, entrez.

Mon mari???

Elle nous invita au salon, puis monte pour appeler Issa.

Je ne cessais de regarder cette maison. Elle me rappelle tant de choses. Mon enfance, ma vie, ma mère Fatima...

_: As_Salamuعalaykum. Djamila? C'est vraiment toi?

J'ai tourné mes yeux vers lui.

Nous: Waعalaykum salam

Moi: Oui, c'est vraiment moi. Et toi, tu as beaucoup changé.

Lui: t'as vu. Muhammad, comment cv?

Muhammad : Bien Alhamdoulillah.

Issa : tu prends soin de ma cousine j'espère.

Muhammad : oui, je m'occupe bien d'elle.

Sa femme est venu nous servir un truc à boire.

Issa: et toi Djamila, toujours pareil ?

Moi : non, j'ai grave muri.

Issa: ça m'étonnerai

Moi: mais dis donc, depuis quand tu es mariée?

Lui: juste deux mois. Mais je suis fâché, vous m'avez même pas invité à votre mariage.

Moi : on savait même pas que t'étais en vie. Et comment t'as su?

Lui: Samir, je l'ai rencontré un jour, et il m'a tout expliqué. J'étais vraiment choqué.

Moi: j'imagine. Et moi, je suis choquée de te voir comme ça.

Lui: comment ça ?

Moi : tu m'as l'air différent.

Lui: oui, et je peux dire que Samir m'a beaucoup aidé. Il m'a fait ouvrir les yeux. Et Alhamdoulillah, je suis dans le dine maintenant.

Muhammad : Oh Masha-Allah.

Il nous a présenté son épouse, Mariam.

Moi: et où est tata Ami?

Le visage de Issa a un peu changé.

Moi : y'a un problème ?

Mariam (son épouse) : ma belle-maman est décédée il y'a une quinzaine de jours.

Muhammad : Allah y'a Rahmu.

Mes larmes ont commencé à couler, j'avais la main sur la bouche.

'Issa: Djamila, tu sais, maman était grave malade. Elle n'arrêtait pas de prononcer ton nom. Elle te demandait pardon sans cesse. L'as-tu pardonné? Ou bien pourrais-tu la pardonner un jour car je sais que tu dois lui en vouloir à mort de t'avoir pourri la vie, de t'avoir faire sortir d'ici.