81🍁Coeur brisé 💔

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Je marche doucement vers la chambre, ouvre la porte et....

Moi : Salamع...

Et là ....
Surprise de ma vie.

Non, mais je rêve ?

Je vois Fati, cette fille qui me pourrissait la vie au village.

Cette fille...
Dans ma maison ?
Dans ma chambre ?
Sur mon lit ?
Et avec mon mari ?
Non mais, je rêve ???

J'étais comme paralysée. Elle elle dormait dans les bras de Muhammad, tandis que l'autre qui me sert d'époux me regarde, comme s'il avait vu un fantôme.

Mes larmes menaçaient de tomber.

Que dois-je faire ?

Avancer et donner une bonne raclée à cette fille ?

Ou reculer et garder mon calme.

Oui. C'est mieux ainsi.

Ça servirait à quoi de s'énerver pour rien?

Je ferme la porte avec un coeur meurtri. Au même moment, les enfants courent vers moi.

Hamza: Maman, où est papa?

Moi: euh.... Lui.... Il est.... Occupé. Oui, c'est ça. Il est occupé.

Bah oui, j'ai pas menti.

N'est-il pas occupé à veiller sur cette.... Non Astaghfiroul-lAllah.

Halima : mais maman, pourquoi tu es triste ?

Moi: triste ?

Hamza: oui.

Moi: Venez, vous allez vous coucher

Hamza: sans voir Papa ?

Moi: Vous le verrez demain in shâ Allâh

Eux: In shâ Allâh .

Je suis allé avec eux dans leur chambre.

Après m'être occupée d'eux, ils sont se sont couchés, chacun sur leur lit.

Quant à moi, je ne sais même pas quoi faire en vraie.

Je descends en bas, pour prendre une tenue légère dans la valise que j'ai ramenée.

Après m'être habillée, la taupe avait enfin décidé de sortir de son trou.

Lui: As_Salamعalaykum

Moi:(avec un ton calme) Waعalaykum Salam.

Je ne redis plus rien.

Muhammad : tu ne dis rien.

Moi: Que dire?

Muhammad : je ne sais pas moi.

Moi: Moi aussi, à part que monsieur me doit des explications.

Lui: raison pour la quelle je suis là.

Il prit une pause, puis reprend.

Lui: Djamila, avant tout, je te demande de garder ton calme.

Moi: oh ne t'inquiète pas pour ça. Mon calme, je le garde depuis que je t'ai vu sur mon lit avec une autre femme.

Lui : cette femme dont tu parle, est la mienne, et donc elle a les mêmes droits que toi.

Moi : pardon ?

Lui: tu m'as bien entendu Djamila. Serai-je fou d'être avec une femme qui ne m'est pas licite ? Fati a les mêmes droits que toi sur moi, car c'est aussi mon épouse.

Djamila, Allah m'a guidée! {En Correction}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant