82🍁Que d'ennuis 😔.

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Le lendemain, après m'être occupé de mon tendre époux que j'aime tant, on dit au-revoir aux enfants, car on devait sortir(sous le regard haineux de Fati). Mais je dois me méfier, car je sais qu'elle prépare un très mauvais coup.

A notre retour, Muhammad est passé à l'Institut pour déposer des dossiers. Je l'ai devancé à la maison et j'ai trouvé Halima dans le jardin entrain de chanter, des paroles d'amour(bon, je ne détaille pas).

Quoi?

Moi: Halima, viens là

Elle: Oui Maman

Moi: c'est quoi ces paroles malsaines qui sortent de ta bouche ?

Halima : c'est Tante Fati qui me les a apprises.

Moi: quoi ?

Non là s'en est trop.

Je peux très bien gérer le fait qu'elle me pourrisse la vie, qu'elle s'attaque à moi, mais pas à mes enfants. Car leur éducations, est trop importante pour moi.

Arrivée au salon, je vois Hamza en larmes.

Moi: pourquoi tu pleures mon chéri?

Lui: c'est(snif) c'est tante Fati. Elle m'a trouvé entrain de regarder des dessins animés, elle a zappé la chaine puis a mit de la musique avec des images mauvaises. Je lui ai dit que c'est haram, qu'elle ne devait pas changer la chaine et elle m'a frappé.

_: Comme ça, on apprend à ses enfants de mentir ?

Moi: Toi, je peux très bien gérer si tu t'attaque à moi, mais pas à mes enfants. Je fais de mon mieux pour les éduquer et c'est pas toi qui va tout gâcher, ok?

Elle: tu me fais rire

Moi: t'es qu'une garce.

Elle: je sais, imbécile.

Moi(en lui enlevant sa perruque) : répète ?

Elle: salle garce, comment oses-tu enlever mes cheveux

Moi: tes faux chevaux tu veux dire. T'es qu'une peste !

Et là, elle me gifla.

Moi: salle trainée, tu va regretter de m'avoir fait ça.

Et là, je lui saute dessus, étant donné que j'étais plus forte qu'elle, je lui ai donné une bonne raclée. J'étais comme possédée. Malheureusement, on fut séparé par Muhammad.

Lui: Djamila !

Ok, il n'y a que moi?

Mais pas question de la laisser cette femme.

Lui: Djamila !

Moi: mais c'est elle qui...

Lui: tu crois que je ne t'ai pas entendu ? Maintenant tu arrêtes!

Moi: pas avant d'avoir donné une bonne leçon à cette ( gifle de ma part) vipère !

Et là, il me soulève, m'amène dans la chambre.

Il ouvre la porte et me jette avec force sur le lit.

Lui: maintenant, tu te calmes!

Moi: crie pas moi sur moi Muhammad.

Lui: Djamila, tu me déçois. Depuis quand tu te comportes ainsi ?

Moi: mais c'est elle voyons

Lui: mais moi, c'est toi que j'ai vu et entendu.

Moi: et tu la défends en plus ?

Lui: je ne la défends pas. Je t'ai amené ici pour mettre y fin, maintenant, tu te calmes et la fermes ! Tu me déçois Djamila, tu me déçois beaucoup. Depuis quand tu parle mal comme ça ?

Djamila, Allah m'a guidée! {En Correction}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant