Attention

Une jeune femme nommée Cléa Norkwood, vivait seule. Elle était atteinte d'une maladie très graves mais aussi très mal connus. Un jour, elle eue une crise dans un supermarché. Après celle - ci, elle ne pouvait plus vivre seule. Mais elle ne supportait pas de vivre chez sa mère ou même chez sa sœur ou son frère. Elle avait l'impression de gêner. De ce fait, elle fuguait souvent. Ce qui n'arrangeait pas sa santé et son rétablissement. Sa sœur pleurait toujours pendant la recherche pour retrouver Cléa. Elle avait peur qu'il lui arrive du mal ou qu'elle rencontre la mauvaise personne au mauvais moment. Elle était hantée par cela car son mari en avait fait l'expérience mais il n'en n'était pas revenu. Et son frère eu l'idée de l'attacher chez lui pour arrêter toute cette torture morale. Mais pour que son idée voit le jour il fallait que sa mère, sa sœur et lui soient d'accord. C'est là que les problèmes commencèrent.

Un jour, pendant une réunion de famille, tous les trois discutèrent de la façon de pouvoir arrêter les fugues à répétition de Cléa. L'idée de Léo, son frère fit son apparition au milieu de ce brouhaha. L'idée fut rejetée par peur qu'elle se sente prisonnière. Après que ce dernier eu entendu ces mots, un bruit de porte qui claque se fit entendre.

Quelques jours après, Cléa eu le droit de sortir le soir. Ni son frère, ni sa sœur ne connaissaient la raison. C'était sa mère qui lui avait laissé la possibilité de le faire. C'était en quelque sorte son cadeau d'anniversaire, car oui c'était l'anniversaire de Cléa. Cette dernière était partie en boîte de nuit. Elle n'eue pas de crise, au grand soulagement de sa famille. Mais elle avait rencontré un homme. Il avait son âge, il était grand, beau, assez musclé, mais ce qu'elle ignorait c'est que son passé était chargé de délinquances assez varié. Il se prénommait Adrien, Adrien Etalia. Il était professeur de sport.

Quand elle revint chez sa sœur avec ce dernier, les choses compliquèrent. Sa sœur ne voulait pas d'homme chez elle. De colère elle partit chez son frère, qui en la voyant arrivé au bras d'un homme, lui interdit son logis pendant une semaine. De ce fait, elle passa sa nuit chez Adrien.

Aujourd'hui elle n'a pas pu être au naturel pour Noël. Sa vengeance et sa colère envers sa famille se sont encore réveiller jusqu'à devenir presque malade. Son état empire de jour en jour. Si elle continue comme ça elle mourra sans doute. Mais ce ne sera pas le cas, ses amis l'ont enfermés et lui ont fait une perf pour qu'elle vive encore de longues années. Adrien est rejeté par tous les proches de Cléa. Ils ont peur qu'il est une mauvaise influence sur elle. Pendant l'après-midi elle a écrit à sa mère.

Cher Maman,

Mon état se dégrade de jour en jour, mais mes amis s'occupent bien de moi. Je ne t'écris pas pour juste te raconter mes problèmes. Mais pour t'annoncer une grande nouvelle, bon d'accord, deux grandes nouvelles.

1) Je ne vais pas te faire un roman. Je vais être bref, clair et toutes les adjectives qui vont avec. Je vais me marier. Si tu trouves que c'est précipitée tant pis. Il me l'a demandé hier. Je te raconte : nous étions au restaurant, c'était un tête à tête. Il s'est levé de sa chaise, il est arrivé devant moi, s'est mis à genoux. Comme ce n'était pas un petit restaurant mais un avec de la musique, au même moment le violon à jouer : un air assez romantique. C'était très beau. Et il me l'a demandé en ouvrant la boîte qu'il avait dans la main et en dévoilant la bague.

2) Pour les soins, vu qu'il a de l'argent, tu n'auras plus besoin de me payer. Il s'en occupe.

Bon cela me ramène à l'idée principale qui m'a donné envie de t'écrire. Pourrais-tu venir à mon mariage. S'il te plait, j'ai envie que tu sois là.

Merci d'avance

Ta fille qui t'aime Cléa

Quelques jours plus tard, sa mère apprendra qu'elle est morte. Son futur mari l'a poignardé de dix coups de couteau.

Mais si l'histoire finirait là je n'utiliserais pas le titre « Attention ».

Après avoir purgé sa peine, le fiancé de Cléa envoya des lettres à sa future belle-sœur, au nom de Cléa. Il l'a harcelait, il lui envoyait des lettres de menace. Mais ce n'était rien par rapport à la dernière lettre que ce maraud lui a envoyé.

Salut,

T'es bonne toi, si tu veux que ta mère et ton mari vivent tu n'as qu'une seule chose à faire. Va dans l'usine désaffecter de Neuville avec 500 000€ en liquide dans un sac. Si tu appelles la police, leurs morts seront longues et douloureuses. T'a compris, salope. Tu as jusqu'à vendredi. Sinon tu sais ce qu'il va se passer et tu seras responsable.

Tic-tac tic-tac tic-tac

Cléa

Léa, la sœur de Cléa s'y rendit. Elle entra seule. Sans micro, sans vidéo, avec rien, puisque qu'elle n'avait pas appeler la police. Elle avait la peur au ventre. Quand elle le vit, sapeur grandit en elle. Les secondes qu'elle passait durait pour elle une éternité. Elle posa le sac sur la table, comme il lui avait ordonné. Les lumières se sont éteints. Es ce une coupure programmés ou pas ? Personne ne peut savoir, à part lui. Quelques secondes après, elle se retrouva ligoter avec sa mère et son mari. Lui, était parti et avait mis le feu à l'usine. Leurs morts furent longues et douloureuses.

Cinq ans après des jeunes qui passaient par là, entrèrent l'usine. Elle n'avait pas complètement brûlé. Ils découvrirent des squelettes gisant sur le sol. L'un des adolescents appela la police. Mais l'enquête sera classée sans suite, faute de témoignages, de preuves et d'indices.

Quelques semaines plus tard, le frère de Cléa et Léa, Léo se faisant justice tout seul. Il invita l'assassin de sa famille et l'empoisonna avec un mélange d'arsenic, de cyanure et mort-aux-rats. Cette préparation lui fut fatale.

Et pour ne pas purger de peine pour avoir tué cette ordure, comme il l'appelait, il se pendit.