A l'issue d'une sortie pédagogique, durant un voyage en Italie dans la région du Lazio, je marchais devant, à une vitesse assez importante, contente d'être proche de cette flore dominante, majestueuse et magnifique.
Devant moi, deux chemins se manifestaient. L'un possédait des fleurs aux mille couleurs, l'autre faisait ressortir une obscurité éblouissante. Me sentant comme une aventurière je décidai de ne pas attendre le reste du groupe et pris le chemin ténébreux. Le soleil était lumineusement sombre. Soudainement, un froid glacial se fit sentir.
Quelques temps après, je vis des ombres qui m'encerclèrent. "Qui était elle?", "Qu'est ce qu'elle me voulait ?", ces questions tournèrent et retournèrent longuement dans ma tête. Je me fit paralysée par l'immense peur qui me rongeait, depuis, déjà un long moment. Les ombres aussi ne bougeaient pas, elles restaient comme des statues. Ensuite, quand ma peur fut moins intense et que j'eus pu bouger, je pris la fuite, trébuchai sur un tronc d'arbre mort, qui se transforma aussitôt en poussière. Les ombres me rattrapèrent, elles me ligotèrent, fouillèrent, et on m'arracha des mains mon portable, qui ne captai plus, ainsi que mon tournevis clé à molette de poche. Je n'osais plus bouger, ni crier "à l'aide". J'étais clouée à l'arbre auquel on m'avait ligoté. Quelques moments après, le crépuscule tomba et la nuit vint à son tour. Certes la légende du pendentif de carras violets, racontait que toutes personnes portant ce dernier serait maudite pour l'éternité. Ma famille m'avait mise en garde contre cette histoire. Mais pour moi, ce n'était qu'un vulgaire mythe antique. Les êtres spatiaux temporels revinrent avec leur dîner,-"Ouf"- un pauvre sanglier innocent victime de leurs appétit. une autre question me vint à l'esprit : "Si je n'était pas leur festin, à quoi je leur servait?". En pensant à cette question je pris le couteau de Mao, leur chef, je me libérai et m'en fuis. Les gardes qui n'avait pas le droit de manger avec Mao, me remarquèrent et donnèrent l'assaut. Je me battais de toute mes forces restantes contres ces dénonciateurs et ils me firent comprendre que leur peuple était les gardiens de cette parties de la forêt et que l'autre appartenait aux fées et elfes. Ma raison prit le dessus dans mon esprit, et je me mis à rire en apprenant cette nouvelle impossible. "Étais- je en plein rêves?", je ne savais pas point et tous semblaient si réel. Ils me parlèrent en mime car ils ne parlait ni français, ni anglais, ni italien, ils communiquaient avec un autre dialecte, diffèrent de ceux des humains.
En voyant Mao qui arrivait, je fut terrorisée. Je remarquait que le ciel mettait ses filtres de plus en plus ténébreux, comme si il éprouvait le même sentiment. Mao, d'un coup inimaginable, d'une force extraordinaire prit son lance- flammes - comme celui que les allemands utilisaient durant la Première Guerre Mondiale - il se mit à dévaster toute la forêt. Par chance, j'ai pu l'éviter en me cachant dans un fossé créer par gisement de terrain. Caché dans ce trou, j'étais clouée au sol, à cette terre. J'eus un ressentit de paralysie de frayeur. Je sentit que la fin était proche, mon sang se glaçait seconde après seconde. Il n'était plus très loin, je le sentais à cause de son odeur de canidé humide et de plastique brûlé.
Un long moment après, en voyant le feu me brûler de part et d'autre de mon corps, je m'éveillai en sursaut. Je criai de toutes mes forces et de toutes mes douleurs. Toutes les filles et une poignée de garçons de mon étage accoururent. J'étais recouverte de brûlures énormes. Je saignais de partout. Et mes camarades me posaient mille et une question à la suite. Enfin, une seule composé de deux me trottait dans la tête "Qui étaient les ombres et Mao, que j'ai vu et est- ce un rêve ou bien devrais je dire un cauchemar?".
Je me réveillais une seconde fois dans un lit d'hôpital, entourer de tous mes camarades et toutes les professeures accompagnatrices et organisatrice de ce voyage. "Qu'est ce qui ce passait?!", je ne vis plus rien. Puis j'étais dehors, en France, avec ma famille. "Que s'était il passé?" "Qu'est ce qui m'était arrivé?". Les réponses je ne les connaissais pas. Personne ne l'ai connaissait. Sauf, peut être Dieu, s'ils ont est croyant.
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Short StoryC'est un ensemble de nouvelles, qui n'ont rien avoir les unes avec les autres.