Chapitre 10

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Pdv Izuku
Après les événements de la pause déjeuner le vendredi, la journée à suivi son cours de manière parfaitement normal.

Mais le soir, en quittant le lycée avec Eijiro, Kacchan et Todoroki-kun, des messes basses attirent mon attention.

Izuku: Je peux savoir ce qu'on me cache ?

Katsuki: Bien sûr. J'aurais juste besoin de ça.

Et il me prit mon téléphone de ma poche.

Izuku: Kacchan rends le moi !

Katsuki: Et c'est envoyé !

Izuku: Qu'est-ce qui est envoyé ? Eijiro il se passe quoi ?

Eijiro: Desolé j'avais besoin de Bakugou pour déverrouiller ton téléphone.

Izuku: Et pourquoi faire ?

Todoroki: C'est bon, elle a répondu, c'est ok.

Katsuki: Tiens merci bien.

Il me remit mon téléphone dans les mains.

Izuku: On m'explique ?

Todoroki: Tu va pouvoir passer le week-end chez ton copain, tu a dès maintenant l'accord de ta mère.

Eijiro: Surprise ! Merci les gars.

Katsuki: Mais de rien.

Izuku: Mais je, je, j'ai pas d'affaires, rien !

Eijiro: T'inquiètes pas, on se débrouillera, je peux bien te prêter quelques affaires pour deux jours.

Izuku: Et bien... d'accord.

Eijiro: Cool !

Et c'est ainsi qu'au lieu de me raccompagner chez moi, on se dirigea vers chez Eijiro.

D'abord accompagné de Kacchan et Todoroki-kun, on se sépara à la gare, les deux passant le week-end ensemble chez Kacchan.

Dans le train, une chose me vient à l'esprit qui me chagrine un peu.

Izuku: C'est la première fois que je vient chez toi et je ne pourrais rien voir. Que ce soit ta maison ou tes parents.

Eijiro: T'en fais pas pour si peu, ça sera certainement pas la dernière fois, t'aura d'autres occasions et avec un peu de chance, l'alter s'annulera avant qu'on ne soit de retour au lycée.

Izuku: Sûrement oui.

J'ai senti mes joues se réchauffer quand il a dit que ce ne sera pas la dernière fois. Je me suis mis à sourire bêtement. J'espère qu'il n'y a avait pas d'enfants dans le train sinon je leur ai fait peur.

Eijiro: Je ne sais pas à quoi tu penses mais ça a l'air de te rendre heureux.

Izuku: Oui, parce que je pense à toi.

Et ce n'est que lorsque j'ai prononcé cette phrase que je me rends compte de ce que j'ai dit. Au mon dieu quel idiot ! Je me cache dans mes mains tellement je suis gêné. Je n'ose même pas imaginer la tête de Eijiro.

Eijiro: Tu m'en vois ravi.

Sa voix était super proche non ? Je sens son souffle près de mon oreille, ça ne m'aide pas à diminuer la sensation de chaleur sur mes joues ça, bien au contraire.

Eijiro: Haha tu es trop mignon.

Izuku: Je ne suis pas... mignon.

Eijiro: Bien sûr que si tu l'es mon petit Izu.

Je ne répond rien et le laisse me prendre dans ses bras. Ce n'est pas désagréable après tout.

On continue à parler de tout et de rien durant le chemin jusqu'à arriver chez lui.

L'amour est aveugleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant