-Ouest ce que je suis ?-demande le garçon à peine réveillé-
-Net'inquiète pas tu es chez moi, tu es tombé dans les pommes et vueque vous vivez trop loin on t'a porter ici.-Dit je doucement en luitendant la bouteille d'eau- Ecoute je suis médecin interne, je penseque tu à du attrapé la grippe est ce que tu pourrais me décriretes symptômes ?-Continuai-je en posant le thermomètre près deson oreille °Bipbip 39,7°- Tu es très fiévreux.
-Jeme sens fatigué, j'ai des courbature, le nez qui coule et uneimpression de mal de tête affreux.
-Humdans ce cas reste bien allongé je vais te préparer du thé etquelque médicaments.-Je me lève du lit et retourne dans la cuisinesuivit de prés par son frère inquiet-
Labouilloire chauffe doucement, le regard du jeune homme se perd surles photos du frigo. Je reste silencieuse face à sa mine réfléchitet sort les médicament dont son frère aura besoin, je les déposedoucement sur le petit plateau.
-Tune pense pas que tu devrais avertir tes parents?-Demandais-jedoucement au grand brun-
-Jen'ai pas envie de les inquiété inutilement, après la tisane enrentrera je pense qu'il pourras marcher et auras repris des forcesd'ici la.-M'annonce José-
-Jene suis pas sur que ton frère puisse réellement ce déplacé dansson état actuel, il à l'air d'avoir vraiment mal et je suppose quela fièvre va vite remonté, mais peut être que vos parents pourronsle conduire jusqu'au médecin ou à l'hôpital.-Je prend le petitplateau et retourne au près du malade-
Ilc'est rendormis, son frère l'observe puis lui tapote l'épaule afinde lui faire prendre les médicaments. Il ouvre les yeux et bafouillequelque mots à peine inaudible, je me rapproche alors afin d'écouté.
-Floc'est dégueu cette tisane.- Flo ? Pourquoi appelle t-il sontfrère ainsi -
-Boitet tait toi tu dit n'importe quoi.-Le regard du jeune homme àchanger et peu à peu je sens la colère qui l'envahie-
-Ilà raison ce n'est pas très bon, c'est un mélange d'épices saaidera les médicaments à baissé la fièvre.-Je me relève etretourne dans mon salon.-
Intriguéepar sa réactions, des centaines de questions fuse dans ma tête. Jeme calme en essayant de me recentré sur mes pensées en allumant unecigarette, baigné dans un silence total j'en profite pour écoutéma messagerie vocal. Quelque minutes plus tard, je me redresse etm'étire longuement, cette semaine n'ai pas de tout repos, entre leboulot, la maison, les cours, et maintenant un patient à domicile lavieille de mon jour de repos. Je souffle la dernière fumé, etreprend le chemin de la chambre, j'entend les garçons parlais entreeux ils ont l'air de se disputé je ne devrais peut être pas entréedans la pièce si la tension est palpable je ne sais pas comment jedevrais réagir.
Aprèsquelque minute j'enclenche la poignée de porte et entre doucementles observant en silence.
L'ainéece lève et sort me laissant seule avec le cadet, qui lui tente de serelevé tant bien que mal, je lui fait signe de rester allongé etm'assoit à ses côtés.
-Est-ceque tu te sent mieux ?-Dit-je en observant les vêtementsmouiller du jeune homme-
-J'aifroid, mais j'ai l'impression d'aller mieux.-il tremble légèrement-
-Tudevrais te déshabiller pour ne pas rester dans tes vêtementsmouiller.-je rougis en voyant son regard surpris-
-Je..Je doit tout enlevé ? -il bafouille ses quelques mots attendantmon approbations-
-Ouisauf tes sous vêtements tu peut les garder.-Je n'ose pas leregarder-
-J'aivraiment de grosse courbature au niveau du dos, j'ai du mal à bougerles bras peut tu m'aider?-Il lève ses bras et se mets face à moi-
Jel'aide à enlevé son premier pull, la seconde est un peu pluscomplexe bloqué par les manches serré et la vue de son torse rendemes gestes brouillons et mes joues encore extrêmement rouge sonproche de son visage.
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Rend moi fou.
أدب الهواةJe raccroche juste derrière lui avant de lui tapoté l'épaule, il se retourne et se mets à me fixer, malgré ma robe j'ai cette impression d'être nue face à lui. Je sort le téléphone de ma pochette avant de lui tendre en souriant.