2. Le fameux soir

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Sans prévenir Sonia je quittai donc mon bureau et me dépêchai de rentrer chez moi pour faire lui faire la surprise. Je pris donc ma voiture et fis un rapide arrêt chez le fleuriste pour acheter de magnifiques roses rouges. J'étais à présent à quelques kilomètres de chez moi, et je frémissais d'impatience à l'idée d'être sous la couette avec elle. Il faut dire que j'étais un peu en manque en ce moment. On avait rien fait de très excitant depuis trop longtemps. Une fois arrivé devant chez moi je sortis de la voiture et pressai le pas pour échapper au vent glacial qui soufflait. J'étais donc sur le pas de la porte quand soudain, je me surpris à avoir un début d'érection. Par ce froid ! Je devais réellement être affamé. C'est alors que me vint une idée. « Poussons la surprise jusqu'au bout, je ne vais pas sonner et entrer furtivement puisque j'ai les clés. ». J'ouvris donc très silencieusement la porte avant de me faufiler dans l'appartement qui bénéficiait d'une chaleur accueillante. Je refermai la porte délicatement et avançai à pas de loups jusqu'au salon. Soucieux de ne pas faire de bruit, j'évitais les lattes de parquet grinçantes. Je n'étais plus qu'à quelques mètres et je ne pouvais m'empêcher d'afficher un rictus nerveux. J'y arrivai enfin mais fus surpris de n'y trouver personne. Étrange... personne dans le salon. Peut-être dans la cuisine. Non, toujours rien. Un silence de mort régnait dans l'appartement. Quand soudain, j'entendis un bruit étouffé du côté de la chambre. Intrigué j'avançai doucement dans sa direction, et j'entendis les bruits de plus en plus fort. Je me retrouvai donc à quelques mètres de la porte de ma chambre, et les bruits devinrent plus distincts. C'était Sonia... elle gémissait. Et tandis que je m'approchai toujours aussi discrètement de la porte, je compris en entendant un gémissement plus appuyé que Sonia gémissait... de plaisir ! Ça alors, elle se doigtait dans notre lit. Je m'imaginai alors la scène : ma copine en nuisette allongée sur le lit en train de se caresser la chatte. Mon début d'érection devint alors une vraie gaule sincère, et mon rictus nerveux devint un sourire de bonheur. Je commençai vraiment à me sentir à l'étroit dans mon pantalon. Et pourquoi pas... pourquoi pas l'enlever après tout. Je me mis donc nu devant la porte en veillant à ne pas alerter Sonia en faisant du bruit. Je trouvais la situation extrêmement excitante. Affolé par ses gémissements et son souffle qui haletait, je commençai à me masturber. Je l'entendais geindre derrière la porte, c'était vraiment foutrement excitant. « Bon trêve de plaisanterie, ce soir je démonte ma meuf. » dis-je tout bas pour me motiver.
- Oh oui c'est bon !
Elle était vraiment chaude ce soir et je l'entendais bien. Je décidai donc de rentrer. Je lâchai donc ma queue déjà bien dure, qui pouvait maintenant se tenir dressée sans mon aide, et décidai de pousser la porte. J'étais donc nu la bite en avant prêt à sauter ma copine qui se touchait depuis je ne sais combien de temps. Je poussai alors la porte, qui s'ouvrit doucement dans un léger grincement...

Les boules de NoëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant