Son cerveau
S'acidifie
Sous la domination cruelle
De ses pensées neutres.
La folie cérébelleuse
S'acquiesca
À son dessein
De constante ivresse
Atténuant par le sang déguisé
En franges
Sur ses dents,
Ses gencives assoiffées.
Immobile,
Hébété,véxé,
Son regard transperca les morceaux luisants
De son miroir projecteur
Qui,
Fragilisé par le temps baladeur,
Se brisa
Dans un suicide regrettable.
Sa charmante imag
S'imprimant si souvent
Dans cette plaque vitrée opaque,
À présent démolie,
Se convertit
en reflet invisible
À travers l'infini migratoire...
© Azor Hoang-Nghi
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Que les Ténèbres soient !
Poesía" Que les Ténèbres soient! "... Du coup, cela vous paraît terrifiant, non? Comment définissez-vous " Ténèbres "? Si par ce mot, certains déduisent "l'obscurité profonde, l'ignorance, l'horreur et l'incertitude" ; à moi, au contraire, cela me paraît...
