Chapitre 6

926 53 14
                                    

PARKINSON! C'est Parkinson la seconde préfète en chef, celle avec qui je vais devoir partager la salle des préfets, je suis tellement soulagée. Elle me regarde d'un regard noir puis son regard passe à la surprise quand elle voit ma fille sur mes genoux.
«- Alors Granger ta pas attendu à ce que je peux voir? » me dit-elle en désignant ma petite Rose.
«- Miss Parkinson, miss Granger a recueilli une orpheline de la guerre, adressée lui des excuses maintenant. ». Elle ne s'excusa absolument pas.
«- miss Granger, miss Parkinson il est temps de vous montrer vos appartements. Elle se leva est on la suivit. On passa par Un couloirs mais pas n'importe lequel, ce couloir, celui où tout a commencé avec lui.
Flashback:
La guerre est finie, on a dit adieu au dernier mort, après cela il c'était tous mis à se parler et se réconforter, moi j'avais fait apparaître un verre de whisky pur feu et oui la gentille et sage Granger avait changer trop choqué par les ravage de la guerre, par les deuils, par beaucoup trop de désastre et de mort que personne ne peut supporter, seul l'alcool était sa bouée de sauvetage mais je me suis trop accroché à cette bouée qu'elle a crevé et ma enfoncé au plus profond des néant des  profondeurs. J'avais pris la soudaine idée d'aller me promener dans les couloirs enfin se qu'il en restait. Quand je l'ai vu dans le même état pitoyable que moi, au début j'avais trouvé sa drôle lui faire ça, il a tourné la tête son regard me fit l'effet d'un électrochoc, pas pour de l'amour ou autre chose mais pour la tristesse qu'il contenait en lui ,il ne veut pas pleurer, il ne veut pas crier , il ne veut rien faire à par essayer de la faire revivre, celle qui est à ces pied , la seule qui le connaît par cœur, sa mère.
Oui Narcissa Malloy est a ses pied,  magnifique mais pale, elle est sans vie c'est sûr. Je me suis rapprochée de lui , j'ai vu son visage malgré le peu de lumière, une larme perlais son visage, je la vis s'écraser sur le sol, je lui tendis la main.
« - il faut te relever, tu sais je la connaissais pas mais qu'elle pouvait être gentille, je sais qu'à se moment tu me demande de partir d'aller retrouver mes amis de te laisser seul mais non je vais pas le faire car j'ai vécu ça est ce n'est pas se qu'il y a de plus beau, de toute qu'est-ce qu'il y a de beau dans le monde ?...
- rien.....
-exactement mais c'est ce que tu pense en se moment car rappelle toi les bon moments passer avec ta mère, relève toi est plus tard tu pourras en parler à quelqu'un qui compte pour toi , qui pourra te guérir de ça, te soutenir mais surtout te rendre heureux.....
-laissez-moi Granger...
- non,....oui tu as bien entendu malfoy je vais rester là jusqu'à ce que tu te relèves... » à partir de se moment il me pris la main est se releva, on parti dans la nuit en parlant de tout est de rien pour essayer d'oublier sans la bouée de secours........

J'espère que vous avez bien aimé ce chapitre, désolé si il y a des fautes d'orthographe, je veux savoir, aimer vous ce concept de flashback ?

Ton enfant [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant